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1172 documents disponibles
26 septembre 2024
Lancement du 6e Appel à projets - Programme de recherche du CRPTQ An English message will follow Chers chercheurs, chercheuses et partenaires de recherche, Le Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ) lance son 6e Appel à projets dans le cadre de son Programme de recherche. Le financement
offert correspond à la ''partie privée'' souvent nécessaire dans le montage financier d’un projet de recherche collaborative. Un financement additionnel devra compléter le montage financier du projet. La proposition de recherche doit répondre aux priorités de recherche 2024-2025 du CRPTQ. Enveloppe disponible : 450 000 $ Date limite du dépôt : 10 janvier 2025 (16h00 pm) Annonce des projets financés : Début du mois de mars 2025 Le Programme de recherche du CRPTQ est possible grâce à la collaboration financière des Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Pour déposer un projet : Guide du 6e appel à projet du CRPTQ Formulaire de la demande Visitez notre site web : www.crptq.ca Call for the 6th Projects - CRPTQ Research Program Dear Researchers and Research Partners, The Quebec Potato Research Consortium (CRPTQ) is launching its 6th Call for Projects as part of its Research Program. The funding offered corresponds to the "private sector portion" often required in the financial structuring of a collaborative research project. Additional funding will be needed to complete the financial structure of the project. The research proposal must align with the 2024-2025 research priorities of the CRPTQ. Available funding: 450,000$ Submission deadline: January 10, 2025 (4:00 PM) Announcement of funded projects: Early March 2025 The CRPTQ Research Program is made possible thanks to the financial collaboration of the Quebec Potato Producers (PPTQ). Visit our website: www.crptq.ca
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29 juillet 2024
Accueil À propos Comité Utilisation Références Foire aux questions JUILLET 2024 - L'ensemble des documents et du contenu de la Base de connaissances effluents d'élevage, qui était sur le Bureau Virtuel, a été transféré sur Agri-Réseau dans le filtre Base de connaissances effluents d'élevage. La Base de connaissances
effluents d’élevage vous offre un dossier complet sur la caractérisation des charges fertilisantes des effluents d’élevage au Québec. Des protocoles et des valeurs reconnus L'intéressé y trouvera des protocoles en vue de la caractérisation à la ferme des charges fertilisantes réelles des effluents d'élevage de même que des valeurs référence, qui pourront guider le conseiller dans l’élaboration de plans agroenvironnementaux de fertilisation (PAEF) ou de bilans de phosphore des entreprises agricoles qui font appel à ses services. Un site interactif Une vaste documentation de référence vous permet de trouver l’essentiel de l’information nécessaire. Au besoin, une Foire aux questions répond à la plupart des interrogations concernant les productions laitière, bovine, ovine, de volaille, d’œufs d’incubation ou de consommation et de porc. Votre question ne s’y trouve pas? Vous avez alors la possibilité de la soumettre à un comité d’experts. Les contributions ainsi reçues permettent d’accroître la connaissance et d'améliorer l'interprétation sur le sujet de même que d'en faciliter sa diffusion dans la communauté. Avis aux agronomes Aux termes de la Politique de formation continue de l’Ordre des agronomes du Québec, la lecture de certains documents à caractère scientifique est reconnue comme une activité d’auto-apprentissage. --> Mission Mettre à la disposition du public la connaissance et l'expertise à jour en matière de valeurs référence, de caractérisation et d'évaluation de la charge fertilisante des effluents d'élevage. Objectifs Fournir aux intervenants du secteur agricole (agronomes, conseillers agricoles et professionnels du secteur) et aux
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27 juillet 2024
QUESTIONemoticonans le cadre d’une demande de C.A pour un nouveau lieu d’élevage, la caractérisation des effluents ne peut être réalisée expliquant que je dois utiliser les valeurs de référence. Or, si j’utilise sans trémies-abreuvoirs, car le bâtiment d’élevage sera muni de trémies sèches et bol économiseurs, mon volume
sera nettement supérieur au volume établit par l’ingénieur qui prends le volume généré par tête de 4.2 L/jours au lieu de 6.8 L/jour. Il y a une non-correspondance de l’information entre l’ingénieur et l’agronome et le MELCC s’attend à avoir une cohésion au niveau de l’établissement du volume. Qu’est-il possible de faire dans une telle situation? Si j’utilises sans trémies-abreuvoirs, la capacité de la structure d’entreposage devient alors insuffisante…mais l’ingénieur me dit être à l’aise avec une production estimé par tête de 4.2 L/jour malgré l’absence de trémies-abreuvoirs. Je sais plus où me placer. RÉPONSE: Les calculs de l’ingénieur et de l’agronome répondent à deux objectifs différents. Les calculs de l’ingénieur visent à évaluer la capacité d’entreposage d’un lieu d’élevage, alors que les calculs de l’agronome visent à évaluer la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage dans le but de réaliser un bilan de phosphore répondant aux exigences réglementaires du REA. Nous vous rappelons que le guide du CRAAQ précise que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevage actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. (page 4 du guide) Dans une demande de CA, le MELCC analysera les calculs des professionnels en tenant compte des consensus et règles de l’art établis dans chacune des professions. Donc, il est très possible que les valeurs de volumes utilisées par l’ingénieur soient différentes de celles utilisées par l’agronome. Dans la situation que vous proposez, comme il s’agit d’un nouveau lieu d’élevage, il a été convenu que l’agronome
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27 juillet 2024
QUESTION: Lorsqu'une entreprise prévoit installer des trémies sèches avec bols économiseurs d'eau en production de porcs engraissement, faut-il utiliser les valeurs de références validées pour porcs en croissance avec trémies-abreuvoir ou sans trémies-abreuvoir? À priori, lorsqu'on consulte la note 7 de la grille du CRAAQ,
il faudrait utiliser sans trémies-abreuvoir puisque cette catégorie incluait les systèmes avec économie d'eau. Cependant, les ingénieurs utilisent 4.2 L/jours (donnée avec TA) lors de l'utilisation de trémies sèches et bols économiseurs d'eau, lequel est contraire à la note de la grille de référence, par contre, les structures construites ne débordent pas. Également, il est inscrit dans la note que les systèmes avec économies d'eau étaient sous représentés lors de l'échantillonnage laissant sous-entendre que le volume établit de 6.8L pourrait être inapproprié pour un système avec économie d'eau. Que devons-nous utiliser dans un tel cas? Comment le volume peut être jugé adéquat pour la détermination du volume par les ingénieurs pour le dimensionnement des structures d'entreposage, alors que selon la grille de référence, 6.8 L (sans TA) doit être considéré plutôt que 4.2 L (avec TA)? RÉPONSE: Le nouveau guide du CRAAQ « Valeurs références pour les volumes et les concentrations d’éléments fertilisants dans les effluents d’élevage », précise que ces valeurs peuvent être utiles lors de la valorisation par épandage des déjections animales pour la planification de la fertilisation des cultures et pour l’établissement de la production annuelle de phosphore (P2O5) d’un lieu d’élevage. Le guide précise aussi que les valeurs références ne reflètent pas nécessairement la situation des élevages actuels et que l’option privilégiée pour obtenir des valeurs représentatives est la caractérisation des effluents d’élevage. D’ailleurs, les valeurs références pour la production porcine proviennent d’un projet de recherche initié en 2000. Donc, en réponse à votre question,
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27 juillet 2024
RÉPONSE: Pour ce qui est de la caractérisation, elle devra être réalisée lorsque le mode d’élevage sous gestion solide aura été effectif pendant au moins douze mois. À ce moment, le protocole de caractérisation des fumiers (production d’œufs de consommation) devra être utilisé. En attendant les valeurs issues de la caractérisation
des déjections animales, vous pouvez utiliser les valeurs d’une caractérisation des déjections animales de ce lieu d’élevage valide ou les valeurs références publiées par le CRAAQ en 2007 pour les porcs sous gestion liquide. Pour ce qui est des élevages en conversion sous gestion solide, le CRAAQ n’a publié aucune valeur référence. Par conséquent, l’agronome n’a d’autres choix que de faire réaliser des bilans alimentaires correspondant à chaque phase de croissance, d’utiliser les données résultant de la caractérisation des fumiers d’une autre entreprise qui opère la même conduite d’élevage que celle projetée par votre client ou d’utiliser les données d’une autre source fiable (organisme gouvernemental ou de certification ou revue de littérature) si vous réussissez à en obtenir. L'utilisation du bilan alimentaire pourra aussi, dans une certaine mesure, servir d'outil selon certains critères afin de déterminer la charge de phosphore produite par le lieu d'élevage.Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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27 juillet 2024
RÉPONSE : Les valeurs présentées à l’annexe 7 du REA sont utilisées pour évaluer la production annuelle de phosphore d’un lieu d’élevage à des fins administratives, par exemple, pour déterminer si une entreprise agricole est soumise ou non à l’obtention d’un PAEF. Alors que les valeurs références du CRAAQ sont utilisées
pour déterminer la production annuelle de phosphore lorsqu’une entreprise agricole est en cours de caractérisation des effluents d’élevage, mais n’a pas encore obtenu les données découlant de deux années de caractérisation consécutives. Dans ce dernier cas, l’unité de référence pour évaluer l’inventaire moyen annuel d’une maternité est le nombre de truies et verrats. Comité de coordination effluents d'élevageCette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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27 juillet 2024
QUESTION : Quelle valeur de production de phosphore doit-on considérer pour les porcs lourds (120 kg) ? Suivant les valeurs références (CRAAQ 2007), un gain de poids de 80,3 kg pour les porcs équivaut à un rejet de 3,93 kg P2O5, soit 0,049 kg P2O5/kg de gain (en rotation et avec réduction eau dilution). Peut-on utiliser
ce même critère pour les porcs lourds, gain de 95,3 kg X 0,049 kg P2O5/kg gain = 4,67 kg P2O5? RÉPONSE: Nous vous rappelons que l’entreprise agricole est tenue de procéder à la caractérisation des déjections animales selon un protocole reconnu, soit le protocole de caractérisation des lisiers de porc, publié par le CRAAQ en 2008. Donc, votre PAEF devra faire l’objet d’une recommandation à cet égard pour la saison de culture 2010. En l’absence de données issues d’une caractérisation, il est convenu que le conseiller utilise les valeurs références les plus récentes, notamment les valeurs références pour la production de porc publiées par le CRAAQ en avril 2007. Selon cette référence, la production de phosphore par unité d'inventaire (place), pour un élevage en rotation avec système d’économie d’eau, serait de 3,93 kg de P2O5 (1,8 m3 X 0,95 X 2,3 kg P2O5/t). Cependant, le tableau I (1) de l'Ordre des agronomes du Québec précise que lorsque les effluents d'élevage n'ont pas été caractérisés et que le conseiller présente des valeurs supérieures aux fourchettes (moyenne majorée de l'écart-type) proposées par la référence du CRAAQ, celles-ci sont acceptées, mais l'agronome doit fournir des explications. Comme l'augmentation des rejets de phosphore pour des porcs plus lourds ne se fait pas de façon proportionnelle, le conseiller devra valider cette valeur à l'aide d'un bilan alimentaire. Cette façon de faire serait valable dans le cas d'une entreprise qui possède déjà des bâtiments en production. Dans le cas d'une entreprise qui n'exploite pas ou ne possède pas encore de bâtiment, et qui présente une demande de certificat d'autorisation, l'absence d'historique
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27 juillet 2024
À propos des valeurs de référence des charges fertilisantes des effluents d'élevage pour la production bovine, existe-t-il des valeurs pour les animaux passés au pâturage ou ce sont les mêmes que celles inscrites dans les grilles de la période transitoireCette question et réponse fait partie de la foire aux questions de
la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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27 juillet 2024
J’aurais souhaité que vous m’apportiez quelques éclaircissements concernant le document `` Valeurs références pour les volumes et pour les concentrations d’éléments fertilisants en production porcine CRAAQ 2007`` et plus précisément sur les coefficients d’inventaire (IM), présentés au tableau de la page 5. Pour le porcelet
sevré en bande, celui-ci est de 0,99. Si je considère la définition donnée en page 3, celle-ci se lit comme suit : ``L’inventaire moyen annuel s’obtient en calculant le nombre total de jours d’occupation du bâtiment d’élevage par chaque porc de l’élevage par période de 365 jours et tient compte des vides sanitaires et des mortalités. Ainsi, l’unité d’inventaire (UI) exprime des informations par unité d’inventaire moyen annuel``. Pour les élevages de mes clients, l’application de ce coefficient avec le nombre de place-porcelet n’exprime malheureusement pas la réalité de l’UI. Les élevages en bandes varient légèrement, mais ont tous sensiblement des UI qui se rapprochent de l’exemple suivant : (L’exemple ne tient pas compte des mortalités) Pouponnière fictive de 100 places IM= ((100 porcelets * 50 jours) + (100 porcelets * 51 jours) + (100 porcelets * 49 jours) + (100 porcelets * 51 jours) + (100 porcelets * 49 jours) + (100 porcelets * 50 jours) + (100 porcelets * 25 jours) = 32500 jours-porcelet/365 jours = 89,04 porcelets Donc, pour 100 places de pouponnière, l’UI est de 89 porcelets et le coefficient associé serait de 0,89. Si on applique ce coefficient sur 365 jours, on obtient le nombre de jours de présence dans le bâtiment, soit 325 jours, ce qui donne 40 jours de vide sanitaire ou une moyenne de 6,15 jours de vide par lot. Si ma compréhension de la façon de calculer le coefficient d’IM est bonne. Je me pose la question suivante : qu'est-ce qui expliquerait un coefficient IM de 0,99 pour les porcelets en bande ? Selon ce coefficient, nous aurions donc moins de 4 jours de vide sanitaire annuellement. Il semble peu probable que la moyenne québécoise
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27 juillet 2024
QUESTION: J'ai un client qui fait du porc de 6-120 kg en bande ce qui veut dire qu'il prend les porcs après le sevrage jusqu'à la fin. Je me demande comment convertir les volumes de la grille CRAAQ 2007 de porcelets sevrés et porcs en croissance pour avoir mon volume total à la fin de l'année ainsi que l'analyse du lisier.
Je ne peux pas prendre les deux volumes et les additionner puisque je n'ai pas les deux catégories en même temps pendant toute l'année mais en alternance. Je ne peux pas utiliser les données de la caractérisation pour l'instant puisque la production n'est pas encore commencée. RÉPONSE: Selon le cas que vous présentez, nous comprenons que le bâtiment reçoit les porcelets après le sevrage, et ceux-ci sont engraissés jusqu’à 120 kg. Par conséquent, il est effectivement difficile d’appliquer les calculs de la référence CRAAQ 2007 pour la production porcine pour évaluer la production annuelle de phosphore et les volumes de lisiers produits car ni le mode de production, ni les poids à la sortie ne correspondent à la référence. Toutefois, il serait possible d’avoir recours à deux méthodes. Des données publiées par le CRAAQ en 2005 proposaient des valeurs de charges de phosphore (P2O5) par 1 000 kg de gain de poids. Cette référence indiquait une charge de 7,9 kg de phosphore/1 000 kg de gain pour les porcelets (5,3 à 25 kg) et de 14,9 kg de phosphore/1 000 kg de gain pour le porc en croissance (26 à 105,3 kg) avec trémies-abreuvoirs. Donc, à partir d’une projection de gain de poids total par phase de croissance, il serait possible d’estimer une production annuelle de phosphore. Pour ce qui est du volume de déjections animales produites, la même référence indiquait un volume de 5,2 l/kg GPM (gain de poids moyen) pour les porcelets et de 6,3 l/kg GPM pour le porc en croissance. Cependant, la façon la plus juste de procéder serait d’évaluer la production annuelle de phosphore à partir d’un bilan alimentaire d’un bâtiment déjà existant et ayant ce mode de production
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