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406 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
Nouveau
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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Nouveau
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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Mise à jour
27 mars 2024
Il s'agit d'une affiche décrivant les meilleures conditions d'entreposage des bleuets sauvages cultivés dans la région du Lac-Saint-Jean, incluant des facteurs tels que la température d'entreposage, le type de polymère, entre autres. Les réponses variables comprennent des paramètres tels que la couleur externe, la perte
de poids et le contenu total en solides solubles. Cette expérience démontre qu'il est possible de modifier la date de commercialisation des fruits d'un mois.
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14 mars 2024
Le Grand inventaire de mauvaises herbes du Québec arrive au Centre-du-Québec à partir de la saison 2024. Nous sommes à la recherche de 574 champs, toutes cultures confondues, autant en régie conventionnelle (incluant le semis direct) comme en biologique. Les participants pourront profiter du dépistage gratuit de jusqu'à
3 champs par entreprise. À terme, le Grand inventaire permettra de : obtenir une vision d’ensemble et actuelle de la distribution des mauvaises herbes au Québec; déterminer la fréquence et l’abondance des mauvaises herbes dans les principales cultures de chaque région agricole du Québec; évaluer les différents facteurs influençant la dynamique des mauvaises herbes et effectuer un constat de l’évolution des mauvaises herbes au cours de ces 40 dernières années. Si vous souhaitez participer au projet, vous pouvez vous inscrire en remplissant le formulaire disponible ici : https://tinyurl.com/grand-inventaire-2024 ou contacter l’équipe de malherbologie du CÉROM à l’adresse : [email protected] ou par téléphone au 450 464 2715 poste 237.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur 161
sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative: Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur
161 sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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