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632 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
02 novembre 2025
L’altise à tête rouge (Systena frontalis) est un ravageur majeur des pépinières ornementales au Québec. Les adultes percent le feuillage de petits trous, réduisant la valeur esthétique des plants et compromettant leur mise en marché. Jusqu’à récemment, la lutte reposait principalement sur des pulvérisations foliaires fréquentes,
bien que l’on sache maintenant qu’une grande proportion des larves se développe dans le substrat. Ce projet visait à identifier des insecticides à faibles risques efficaces, appliqués en bassinage ou en pulvérisation, afin de diversifier les outils de lutte à la disposition des producteurs. Réalisé de 2022 à 2024 à la pépinière expérimentale de l’IQDHO, ce tamisage a permis d’évaluer plusieurs matières actives et agents biologiques pour réduire les populations d’altises et les dommages au feuillage. Les résultats contribuent à améliorer la gestion intégrée de ce ravageur tout en favorisant des approches plus durables. Ce projet a été financé par le programme Prime-Vert - Sous volet 3.1 –Appui au développement expérimental, à l'adaptation technologique et au transfert technologique des connaissances en agroenvironnement - Appui au Plan d’agriculture durable – Appui au développement de la lutte antiparasitaire intégrée (ADLAI) – Appel de projets ciblé.
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02 novembre 2025
L’altise à tête rouge (Systena frontalis) est un ravageur majeur des pépinières ornementales au Québec. Les adultes percent le feuillage de petits trous, réduisant la valeur esthétique des plants et compromettant leur mise en marché. Jusqu’à récemment, la lutte reposait principalement sur des pulvérisations foliaires fréquentes,
bien que l’on sache maintenant qu’une grande proportion des larves se développe dans le substrat. Ce projet visait à identifier des insecticides à faibles risques efficaces, appliqués en bassinage ou en pulvérisation, afin de diversifier les outils de lutte à la disposition des producteurs. Réalisé de 2022 à 2024 à la pépinière expérimentale de l’IQDHO, ce tamisage a permis d’évaluer plusieurs matières actives et agents biologiques pour réduire les populations d’altises et les dommages au feuillage. Les résultats contribuent à améliorer la gestion intégrée de ce ravageur tout en favorisant des approches plus durables. Ce projet a été financé par le programme Prime-Vert - Sous volet 3.1 –Appui au développement expérimental, à l'adaptation technologique et au transfert technologique des connaissances en agroenvironnement - Appui au Plan d’agriculture durable – Appui au développement de la lutte antiparasitaire intégrée (ADLAI) – Appel de projets ciblé.
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22 juillet 2025
Au Québec, le thuya est une espèce phare de l’horticulture ornementale. Pourtant, sa fertilisation azotée, essentielle à sa qualité et sa croissance, reste sensible aux aléas climatiques. Cette fiche technique présente les résultats d’un projet de recherche mené par l’IQDHO (2023-2025), qui évalue l’efficacité de la fertigation
— une méthode d’apport d’engrais via l’irrigation — dans la culture du thuya en champ. L’étude démontre que la fertigation dynamique, ajustée selon les besoins de la plante et les conditions du sol, peut améliorer l’efficacité des apports, optimiser la qualité des plants et limiter les pertes environnementales, notamment en période de sécheresse. En conclusion, la fertigation constitue une avenue prometteuse pour une gestion plus durable et efficiente de l’azote, particulièrement dans un contexte de changements climatiques et de pénurie de main-d’œuvre.
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12 mars 2025
En horticulture ornementale, la production de thuyas est appréciée notamment pour leur esthétique et leur rusticité, toutefois, elle nécessite des quantités élevées d’engrais azoté (environ 150 kg d’azote par hectare). Afin d’assurer une croissance optimale en production, il est d’autant plus important d’améliorer la fertilisation
tout en minimisant les pertes de nutriments dans l'environnement. L’équipe de recherche de l’IQDHO s’est intéressée davantage à cet enjeu avec son projet de « Évaluation de la fertigation dans la culture de thuyas en champ – IA221719 ». Cette étude récente, réalisée sur deux ans, a démontré que l'efficacité de la fertilisation, qu'elle soit granulaire, par fertigation ou hybride, dépend fortement des conditions de pluviométrie. En période de sécheresse et de faible humidité, la fertigation offre un avantage, car elle favorise la percolation de nitrate jusqu'à la rhizosphère des thuyas. En revanche, dans des conditions de sol humide, la fertilisation granulaire se révèle plus performante, grâce à une diffusion progressive et une solubilisation plus lente. Article paru dans le journal Gestion et techologie agricoles (GTA) : jeudi 6 mars 2025 et sur le Blogue de l'IQDHO
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19 février 2025
Le mildiou est causé par un pseudo-champignon de la famille des Oomycètes du genre Peronospora. En 2023 et 2024, les conseillers de l’IQDHO ont remarqué une augmentation des cas de cette maladie, spécialement sur les basilics et les coléus, qui représentaient 70 % des observations dans les serres. Cet article vous explique
comment reconnaître la maladie et la prévenir. Article paru dans le journal Gestion et technologie agricole (GTA) : jeudi 6 février 2025 et sur le Blogue de l'IQDHO.
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21 mars 2025
Une plantation de thuyas nécessite environ 150 kg d'azote par hectare et par année pour garantir une croissance optimale. En général, cette quantité d'engrais est appliquée sous forme granulaire, répartie en trois apports de 50 kg chacun, assurant ainsi une disponibilité continue en azote durant toute la saison de croissance.
Toutefois, les changements climatiques ont profondément modifié le régime des précipitations, perturbant la dynamique de l'azote dans les sols. L'augmentation de la fréquence des événements météorologiques extrêmes, comme les périodes prolongées de sécheresse ou, à l'inverse, les précipitations intenses, impacte non seulement la disponibilité en eau pour les cultures, mais aussi la répartition et l'efficacité des engrais azotés dans le sol. Face à ces défis, les producteurs doivent adapter leurs pratiques en optant pour une gestion plus précise et dynamique de la fertilisation azotée. Parmi les solutions prometteuses, la fertigation se distingue. Ce Projet a été financé par l'entremise du Programme Innov'Action en agroalimentaire, en vertu du Partenariat canadien pour l'agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec. Consulter la fiche synthèse
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11 mars 2025
La production ornementale, incluant la production d’arbres de Noël, génèrent 432 millions de dollars de ventes annuelles avec des superficies totales de 18 000 hectares en 2022 au Québec. La qualité visuelle des plants produits est un des principaux critères de vente aux consommateurs. En lien avec cet aspect, plusieurs
éléments permettent d’optimiser cette qualité tout en assurant la durabilité environnementale et économique des entreprises. Dans cet article il est question de seuil de tolérance et d'intervention et des 5 étapes essentielles de la gestion intégrée des ennemis des cultures (GION). Ainsi se termine le projet initié par Québec Vert 'Gestion intégrée d’organismes nuisibles en pépinière et dans les arbres et sapins de Noël'. 22-2026-PAD-QV. Projet financé par le programme Prime-Vert, sous-volet 2.2, dans le cadre du Plan d'agriculture durable 2020-2030 (PAD) du MAPAQ. Article publié dans la revue Québec Vert : décembre 2024/janvier 2025 et publié sur le blogue du site de l'IQDHO.
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18 janvier 2025
Il n’est pas rare d’observer des pucerons dans les productions de fleurs annuelles. Comment combattre ce ravageur qui laisse sur son passage des exuvies et du miellat pouvant mener à la formation de moisissure noire et à la déformation des végétaux?? Est-ce utopique de penser qu’en production ornementale en serre, les prédateurs
puissent remplacer l’usage d’insecticides de synthèse pour lutter contre ce ravageur?? Est-ce quelque chose de réalisable, de viable d’un point de vue économique?? Article publié dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA) : jeudi 12 décembre 2024 et sur le Blogue de l'IQDHO.
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31 octobre 2024
L’IQDHO a débuté un projet en 2020 pour mieux comprendre l’hivernage. Dans le but d’optimiser ce processus, il est important de comprendre 1) quels sont les éléments thermodynamiques qui influencent l’hivernage, 2) quantifier la performance des différentes méthodes utilisées en pépinières ornementales et 3) s’assurer de
leur faisabilité économique. Cette fiche technique a été rédigé à l'intention des producteurs pour mieux connaître, choisir et mettre en place des protections hivernales sur des plantes produites en contenant. Cette fiche technique a été rédigée dans le cadre du projet IA219131 « Caractérisation et optimisation des protocoles d'hivernage à l'aide de couvertures hivernales en pépinières ornementales » réalisé de 2020 à 2023 par l’IQDHO grâce à une aide financière du Programme Innov’Action agroalimentaire, un programme issu de l’Accord Canada-Québec de mise en œuvre du Partenariat canadien pour l’agriculture conclu entre le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et Agriculture et Agroalimentaire Canada.
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19 janvier 2025
Au courant de l’été, le bulletin d’information horticole international HortiDaily publiait un article au sujet d’un auxiliaire de lutte biologique peu connu et des développements récents pour sa commercialisation en Europe. Le thrips prédateur Franklinothrips vespiformis est présenté comme un nouvel outil prometteur
pour la lutte contre les thrips ravageurs exotiques. Par thrips exotiques, on fait référence aux espèces autres que le thrips des petits fruits ou le thrips de l’oignon, les espèces généralement observées sur les plantes ornementales produites en serre au Québec et ailleurs dans le monde. Cet article explore le sujet et met en perspective cette nouveauté. Article paru dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA) : jeudi 19 septembre 2024 et sur le Blogue de l'IQDHO
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