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938 documents disponibles
09 mai 2025
*** Encore quelques places disponibles *** Difficile d’identifier les vers fil-de-fer? Apprenez à les reconnaître avec précision! Participez à une formation pratique offerte par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ)
et le Centre de recherche sur les grains (CÉROM) pour perfectionner vos compétences liées à l’identification des ravageurs des semis, en particulier les vers fil-de-fer présents au Québec. Grâce à l’observation à la loupe binoculaire, vous apprendrez à distinguer ces ravageurs avec précision. Face aux modifications réglementaires du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs en matière de pesticides, le secteur agricole doit s’adapter. Cette formation vous donne des outils nécessaires pour poser un diagnostic éclairé et formuler des recommandations agronomiques solides. L’événement sera aussi l’occasion de découvrir l’application VFF QC, une alliée essentielle pour évaluer les risques liés aux vers fil-de-fer dans vos cultures et saisir vos données de dépistage. Formateurs Jean-Philippe Légaré – LEDP M. Légaré détient un baccalauréat en biologie et une maîtrise en entomologie de l’Université Laval. Depuis 2010, il travaille au LEDP du MAPAQ, où il prend part, au sein de l’équipe d’entomologie, à une variété de projets en phytoprotection. Ses domaines d’expertise comprennent l’identification des ennemis des cultures, qu’ils soient indigènes ou exotiques, ainsi que la surveillance phytosanitaire des terres agricoles du Québec pour le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP). Il est également engagé dans la diffusion de connaissances spécialisées en phytoprotection et contribue activement à plusieurs projets de recherche visant à améliorer la gestion des ravageurs et à assurer la protection des cultures. Julien Saguez – CÉROM M. Saguez est biologiste-entomologiste. En 2016,
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06 mai 2025
Les taches alternariennes (TA) sont parmi les maladies les plus préjudiciables des cultures de crucifèresfleurs au Québec. Le problème prend de l’ampleur depuis 2018, notamment dans la culture du brocoli qui s’avère très vulnérable à la tache noire alternarienne (Alternaria brassicicola). Depuis deux ans, le comité de recherche
du RAP Crucifères intègre dans sa programmation des activités de recherche pour documenter la problématique. En fait, bien que les taches alternariennes constituent une maladie commune dans les crucifères, la sévérité des dommages qu’elles causent est un problème récent. L’équipe du RAP Crucifères au CIEL effectue, dans le cadre de ses activités de surveillance phytosanitaire, une veille scientifique pour mettre à jour les connaissances de cet ennemi préoccupant en Amérique du Nord, notamment. Durant la saison 2024, nous avons effectué un essai de sensibilité des cultivars de brocoli dans le but d’améliorer la gestion des taches alternariennes dans cette culture très sensible à A. brassicicola. Parallèlement à cet essai, des semences des lots utilisés pour l’essai ont aussi été analysées afin de quantifier la contamination des semences à Alternaria brassicicola. Ce projet répond à l’objectif No 1 du Plan d’agriculture durable (PAD) : réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement. En effet, la tache noire alternarienne est parmi les ennemis les plus préjudiciables pour la santé et l’environnement dans les crucifères-fleurs. La sélection de cultivars moins sensibles à la maladie contribue à réduire les besoins en fongicides. Par ailleurs, dans le but de mieux comprendre l’arrivée des spores dans le champ, des capteurs de spores ont été installés sur le site de l’essai de cultivars, implanté dans un champ de brocoli et de choufleur de 30 hectares. De plus, afin d’explorer la présence d’Alternaria brassicicola dans le sol, postrécolte, une campagne d’échantillonnage de sols a été menée à l’automne 2024 sur des sites
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02 mai 2025
Le blanc est une maladie fréquente au Québec qui peut causer des baisses de rendements et affecter la qualité des fruits. Il demeure difficile d’établir le niveau d’acceptabilité de cette maladie au champ et de bien cibler les traitements. Ainsi, des applications fongicides contre ce champignon sont réalisées de manière
régulière tout au long de la saison. Plusieurs des expériences réalisées au cours des dernières années ont permis de démontrer que l’alternance entre les fongicides biologiques et conventionnels offrait souvent des résultats comparables ou supérieurs aux traitements conventionnels ou biologiques seuls. Ce projet a pour but d’évaluer l'efficacité de l'utilisation préventive de biofongicides et fongicides à moindre risque dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la fraise. Les résultats de 2021 démontrent que les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels présentent un bon potentiel pour protéger les plants et les fruits contre le blanc, de manière aussi efficace que le témoin commercial. On remarque cependant que la stratégie débutant par un fongicide à risque réduit a mieux performé que celle débutant par un fongicide conventionnel. Ce résultat pourrait s’expliquer du fait du calendrier de traitement ; un produit efficace a peut-être été utilisé à un moment où les risques de maladie étaient élevés, permettant un bon contrôle de la maladie, ce qui a contribué à limiter sa progression par la suite. La stratégie qui consistait à traiter avec des fongicides à risques réduits jusqu’à l’apparition de la maladie a également présenté un bon intérêt pour la protection des fruits et des plants contre le blanc. Les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels aux 14 jours auraient également une efficacité, mais moindre. Il n’a pas été possible de confirmer ces résultats en 2022 et 2023, bien que la maladie ait été présente sur le site d’essai, la pression
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02 mai 2025
Le blanc est une maladie fréquente au Québec qui peut causer des baisses de rendements et affecter la qualité des fruits. Il demeure difficile d’établir le niveau d’acceptabilité de cette maladie au champ et de bien cibler les traitements. Ainsi, des applications fongicides contre ce champignon sont réalisées de manière
régulière tout au long de la saison. Plusieurs des expériences réalisées au cours des dernières années ont permis de démontrer que l’alternance entre les fongicides biologiques et conventionnels offrait souvent des résultats comparables ou supérieurs aux traitements conventionnels ou biologiques seuls. Ce projet a pour but d’évaluer l'efficacité de l'utilisation préventive de biofongicides et fongicides à moindre risque dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la fraise. Les résultats de 2021 démontrent que les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels présentent un bon potentiel pour protéger les plants et les fruits contre le blanc, de manière aussi efficace que le témoin commercial. On remarque cependant que la stratégie débutant par un fongicide à risque réduit a mieux performé que celle débutant par un fongicide conventionnel. Ce résultat pourrait s’expliquer du fait du calendrier de traitement ; un produit efficace a peut-être été utilisé à un moment où les risques de maladie étaient élevés, permettant un bon contrôle de la maladie, ce qui a contribué à limiter sa progression par la suite. La stratégie qui consistait à traiter avec des fongicides à risques réduits jusqu’à l’apparition de la maladie a également présenté un bon intérêt pour la protection des fruits et des plants contre le blanc. Les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels aux 14 jours auraient également une efficacité, mais moindre. Il n’a pas été possible de confirmer ces résultats en 2022 et 2023, bien que la maladie ait été présente sur le site d’essai, la pression
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