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Les choix du pilote
16 septembre 2024
Dans un contexte économique en perpétuelle évolution, les entreprises du secteur porcin sont confrontées à des défis sans précédent pour maintenir leur rentabilité et assurer leur pérennité. Soumises à des facteurs majoritairement exogènes imposés par l’environnement d’affaires, les organisations se doivent d’adopter une
posture d’efficacité, d’optimisation, d’agilité, de résilience et de créativité pour perpétuer leur création de valeur.
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16 septembre 2024
« Je ne veux pas me péter les bretelles, mais je réussis à démontrer aux femmes qu’il y a moyen d’avoir la flamme, de s’impliquer et de faire une différence en agriculture », affirme la présidente des Agricultrices, Valérie Fortier, qui s’est notamment donné comme mission de susciter l’engagement des femmes et de favoriser
leur adhésion au sein des instances décisionnelles.
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09 septembre 2024
Rapport scientifique Au Québec, l'industrie porcine est le deuxième secteur agroalimentaire en importance. Cependant, l'intensification de la production rend plus probables les problèmes sanitaires, qui peuvent causer des problèmes économiques aux producteurs et réduire le bien-être animal. Le lavage et la désinfection
des bâtiments d'élevage jouent un rôle primordial pour maintenir un statut sanitaire élevé, qui permet de contrôler les maladies, d'éviter les épidémies et de ralentir la dégradation de la santé des bâtiments. De plus, les pressions environnementales exigent une production plus durable, ce qui rend la réduction de la quantité d'eau utilisée très importante. Dans ce contexte, ce projet vise à optimiser les paramètres des opérations de lavage pour assurer de bonnes conditions sanitaires en minimisant la quantité d'eau utilisée dans les bâtiments porcins. L'hypothèse principale avancée est que l'optimisation des méthodes de lavage permettra non seulement d'améliorer l'hygiène du bâtiment, mais également de réduire de manière significative la consommation d'eau nécessaire pour les opérations de nettoyage. Tout d'abord, ce projet a permis d’étudier des stratégies pour évaluer rapidement l'efficacité de lavage et les niveaux de propreté des matériaux. Deux méthodes ont été identifiées comme étant à la fois simples et prometteuses pour servir d'indicateurs de propreté : la méthode de bioluminescence de l'adénosine triphosphate (ATP) et la méthode de réaction enzymatique utilisant le Biofinder. La méthode ATP permet de détecter la contamination bactérienne et non bactérienne présents sur une surface, tandis que la méthode Biofinder utilise des enzymes pour détecter la présence de biofilms. Ensuite, l’optimisation des paramètres des opérations de lavage a été étudié dans le but de garantir des conditions sanitaires optimales, c'est-à-dire réduire la présence de bactéries et de résidus organiques en minimisant la consommation d'eau. Pour ce faire, trois paramètres
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09 septembre 2024
Fiche technique Dans l’industrie porcine, il est essentiel d’évaluer rapidement la propreté des installations après les processus de lavage afin de prendre des mesures correctives et de maintenir des conditions sanitaires adéquates. Cependant, les méthodes d’inspection traditionnelles, telles que le décompte des colonies
bactériennes sur des plaques de culture, peuvent s’avérer trop longues pour le producteur. L’IRDA a répertorié et étudié des méthodes alternatives qui fournissent des indicateurs simples et efficaces pour surveiller les niveaux de propreté des bâtiments porcins. Deux techniques ont été retenues : la technique de bioluminescence de l’adénosine triphosphate (ATP) (méthode biochimique) et la technique de réaction enzymatique utilisant le produit BioFinder (méthode chimique). Les deux techniques fournissent en quelques secondes le niveau de propreté des surfaces après les processus de nettoyage. Les techniques de bioluminescence de l’adénosine triphosphate (ATP) et de réaction enzymatique utilisant le Biofinder permettent au producteur de suivre lui-même le niveau sanitaire à la suite des procédures de lavage. De plus, ces techniques ont été identifié
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09 septembre 2024
Fiche technique En production porcine, l’eau est utilisée principalement pour abreuver les animaux et les refroidir, ainsi que pour le lavage des bâtiments. Selon les éleveurs de porcs du Québec (ÉPQ), pour des protocoles de lavage similaires, la quantité d’eau utilisée varie considérablement d’un producteur à l’autre.
En effet, un sondage auprès des producteurs a révélé que la consommation d’eau utilisée pour le lavage des bâtiments porcins varie de 77 à 383 L/cage/lavage en maternité, de 2 à 25 L/place/lavage en pouponnière et de 2 à 82 L/place/lavage en engraissement (CDPQ,2023). Le type de plancher, le type de matériaux, l’opérateur, les méthodes de lavage et les paramètres adoptés sont les facteurs qui affectent la consommation d’eau. L’optimisation des paramètres de lavage, tel que l’utilisation d’eau chaude (> 35 °C ou 95 °F), peut réduire la consommation d’eau de 31%, le temps de lavage de 24% et la présence de bactéries et de résidus organiques sur les surfaces de 45 % (selon le test d’ATP). L’adoption de certaines pratiques de lavage peut entraîner de gains significatifs de réduction de gaspillage d’eau et des impacts économiques positifs.
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