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Plusieurs articles ont été publiés récemment sur la possibilité de nanoencapsuler des huiles essentielles. En octobre 2013, une équipe de chercheurs brésiliens poursuivait sur cette lancée en publiant un article dans la revue scientifique Colloids and Surfaces. Ils ont vérifié l’utilisation de nanoparticules de gomme de cajou et d’alginate pour encapsuler de l’huile essentielle d’une plante tropicale, Lippia sidoides, qui est reconnue pour avoir des propriétés antibactériennes. Ces nanoparticules se sont révélées efficaces pour encapsuler l’huile essentielle à 55 %. Pour les huiles encapsulées, les expériences in vitro ont démontré que la libération de 45 à 95 % de l’huile s’effectuait en 30 à 50 heures. La libération suivait le patron cinétique standard utilisé dans la libération de médicament, nommé la cinétique de Korsmeyer-Peppas.
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Organisation : Cellule de veille Nano #13
Auteur(s) : France Brunelle
Date de publication : 30 mai 2014
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