
Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Cain Lamarre
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
26965 documents disponibles
14080 archives disponibles

Nouveau
23 juillet 2025
Premiers foyers de mildiou dépistés dans le concombre, le 22 juillet. Quelques cas de tache plectosporienne dans la courgette. Blanc davantage présent dans les cucurbitacées les plus avancées. Taches foliaires stables ou en légère augmentation. Chrysomèles moins présentes, mais davantage de cas de flétrissement bactérien
visibles. ÉTAT DES CULTURES Le temps chaud et humide s'est poursuivi en début de période, le 16 juillet, mais dès le 17 juillet, de la pluie et des orages, dans plusieurs secteurs, ont mis fin à la séquence de chaleur et d'humidité. Pour le reste de la période, prenant fin le 22 juillet, la température est demeurée dans les normales. Quelques nuits ont été fraîches. Une fois encore, les précipitations (souvent sous forme d'orages forts) ont été très variables d'une région à l'autre. La croissance des cucurbitacées est de bonne à variable selon les quantités d'eau reçues et le type de sol. Les récoltes de concombres, cornichons et courgettes se poursuivent. La qualité est généralement bonne. Le sommaire agrométéorologique cucurbitacées vous présente le tableau des précipitations et des degrés-jours cumulés pour chacune des régions. FOYERS DE MILDIOU DANS LE CONCOMBRE Un premier foyer de mildiou (Pseudoperonospora cubensis) a été dépisté pour la première fois cette année, le 22 juillet, dans du concombre de transformation, dans Lanaudière. Pour consulter la stratégie de traitement et voir des symptômes de la maladie à différents stades, dans le melon brodé et dans le concombre, consultez le bulletin d'information N° 3 du 2 juillet 2025. TACHE PLECTOSPORIENNE DANS LA COURGETTE Des foyers de tache plectosporienne (Plectosphaerella cucumerina/Plectosporium tabacinum) ont été dépistés dans la courgette en Estrie et en Montérégie. Plectosporium tabacinum est un champignon commun dans les sols et sur
Lire la suite

Nouveau
23 juillet 2025
Les conditions plus fraîches ralentissent le mûrissement des fruits. Hausse des signalements d'anthracnose et de drosophile à ailes tachetées, mais leur incidence demeure faible. Résultats finaux du dépistage du petit carpocapse, de la pyrale des atocas et de la mouche du bleuet. Fin des avertissements pour la
saison 2025. STADES DE DÉVELOPPEMENT Plus tôt ce printemps, les conditions fraîches et humides qui sont survenues durant la floraison n'ont de toute évidence pas nuit à la pollinisation et à la mise à fruits (nouaison). La floraison abondante à ce moment laissait présager une bonne saison à venir. Et ça se confirme! Les collaborateurs du sous-réseau Bleuet en corymbe sont unanimes : la récolte s'annonce encore très bonne cette année, avec un bon calibre des fruits. Les conditions plus fraîches des derniers jours ont été les bienvenues, ce qui a ralenti le mûrissement des fruits qui était un peu trop rapide au goût de certains. La récolte est maintenant débutée dans la majorité des régions du Québec. Pendant la récolte, les bleuetiers poursuivront leur croissance avec une 2e pousse annuelle actuellement observable chez certains cultivars (photo de droite ci-dessous). Début des fruits bleus Cultivar 'Patriot' Centre-du-Québec, 22 juillet 2025 Photo : Julie Street, agr. (club Dura-sol Drummond) Débourement d'un bourgeon terminal et croissance d'une 2e pousse annuelle Cultivar 'Toro' Chaudière-Appalaches, 23 juillet 2025 Photo : Christian Lacroix, agr. (MAPAQ) Régions 'Patriot' Bourgeons à fruits Bourgeons à feuilles Montérégie Récolte Pousse printanière : fin croissance Début 2e pousse (croissance estivale) Laurentides et Lanaudière Récolte Pousse printanière : fin croissance Début 2e pousse (croissance estivale) Estrie, Centre-du-Québec et Mauricie Début récolte Pousse printanière : fin croissance Début 2e pousse (croissance estivale) Chaudière-Appalaches et Capitale-Nationale Véraison à début récolte Pousse printanière
Lire la suite

Nouveau
23 juillet 2025
STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA CHRYSOMÈLE RAYÉE DU CONCOMBRE EN SERRE De nombreux cas de flétrissement bactérien causé par Erwinia tracheiphila, transmis par la chrysomèle rayée du concombre (Acalymma vittatum), ont été signalés ces dernières semaines dans les serres. Cet insecte est le principal vecteur de la bactérie
responsable de cette maladie. Une fois la plante infectée, la maladie progresse rapidement, compromettant la production et entraînant des pertes de rendement importantes (voir photos 1 et 2). Photos 1 et 2. Plants de concombres présentant des symptômes de flétrissement bactérien Source : C. Baez, agr. Les adultes de la chrysomèle rayée du concombre causent également des dommages aux feuilles, aux tiges et aux fleurs des plants de concombre. Ils provoquent aussi des blessures superficielles sur l’épiderme des fruits, ce qui réduit leur attractivité (photos 3 et 4). Par ailleurs, leurs larves, qui vivent dans le sol, s’attaquent aux racines, affaiblissant le système racinaire et rendant les plantes plus vulnérables à d’autres maladies, notamment la fusariose vasculaire (Fusarium oxysporum sp.). Photos 3 et 4. Dommages aux fleurs et aux fruits causés par la chrysomèle rayée du concombre Source : C. Baez, agr. Aucun insecticide ni bio-insecticide n’est actuellement homologué contre la chrysomèle dans les serres de concombres, ce qui rend les mesures préventives essentielles pour limiter les pertes. L’installation de filets sur les côtés ouvrants et les entrées d’air constitue une stratégie de base incontournable pour empêcher l’entrée de l'insecte. Cependant, malgré la présence de ces filets, de nombreuses serres connaissent chaque saison d’importantes infestations. Dans la majorité des cas, les chrysomèles pénètrent par de petits trous causés par l’usure, ou par des portes mal fermées ou laissées ouvertes. Une fois à l’intérieur, elles se multiplient rapidement grâce aux conditions favorables qu’elles y trouvent, ce qui
Lire la suite
Nouveau
22 juillet 2025
Au-delà des nombreux bénéfices environnementaux qu'ils procurent, les arbres peuvent aussi être des alliés précieux de la production maraîchère. Différents aménagements agroforestiers peuvent être réalisés pour augmenter le rendement, réduire le stress hydrique et devancer la maturité des cultures. Ils peuvent aussi
réduire l’érosion éolienne des sols organiques et sableux. De plus, ces aménagements participent à la lutte contre les ravageurs et à la pollinisation des cultures, et peuvent réduire les dérives de pesticides et augmenter la recharge des nappes phréatiques et des étangs d’irrigation. Enfin, ils peuvent permettre de diversifier la production, produire du bois raméal, améliorer le bien-être des travailleurs, favoriser l’agrotourisme et contribuer à l’adaptation aux changements climatiques. Lorsque la production maraîchère est pratiquée en serres, des haies brise-vent peuvent réduire les coûts de chauffage et les coûts de déneigement, en plus de diminuer les bris causés par le vent. Ce cahier offre une synthèse des principaux bénéfices de l’agroforesterie pour la production maraîchère, les principes d’aménagement et de gestion permettant de les favoriser, les limites et incertitudes, et les précautions à prendre pour minimiser les risques et inconvénients. Il est basé sur une vaste revue de littérature, ainsi que des entrevues individuelles avec une quinzaine d’intervenants d'expérience de différentes régions. Le lecteur ou la lectrice y trouvera ainsi des arguments et des chiffres richement documentés, pour aller au-delà des mythes et réalités au sujet des arbres sur les fermes maraîchères au Québec.
Lire la suite

Nouveau
22 juillet 2025
POURRITURE À SCLÉROTES DU SOYA : LE RISQUE D’APOTHÉCIES DEMEURE VARIABLE SELON LA RÉGION T. Copley1, B. Duval2 et V. Samson2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Aucune nouvelle apothécie n’a été observée récemment. Comparativement à la semaine dernière, moins de régions présentent actuellement
des conditions propices au développement d'apothécies. Toutefois, les modèles prévisionnels indiquent un risque élevé dans certaines MRC : des Collines-de-l'Outaouais (Outaouais), Lotbinière, Les Appalaches et Montmagny (Chaudière-Appalaches), ainsi que Portneuf, et la Jacques-Cartier (Capitale-Nationale). Les prévisions de risques sont en date du 21 juillet 2025 et comprennent les prévisions météorologiques anticipées jusqu’au 27 juillet 2025. Les spores infectent la culture à travers les fleurs et c’est aux stades de floraison (R1 à R3) qu’une première intervention peut être envisagée. Comment déterminer si vos champs sont à risque et si une application de fongicide est réellement justifiée? Plusieurs facteurs favorisent l’apparition et la progression de la maladie, notamment : Un historique de la maladie dans le champ; Un sol humide dans les 5 premiers centimètres; Le stade de développement du soya (les spores infectent le soya à travers des fleurs flétrissantes, soit les stades R1 à R3). Si les fleurs ne sont pas présentes, le champ n’est pas à risque; Le niveau de résistance du cultivar utilisé; Des rangs fermés à plus de 50 %, favorisant un microclimat humide; Des températures fraîches (< 22 °C); La densité élevée du peuplement, qui contribue également à mantenir un sol humide. Rappelons que les sclérotes nécessitent un minimum de dix jours de sol humide pour produire des apothécies, et ce dans les 5 premiers centimètres. Des températures élevées et des bons vents aident à sécher la surface du sol, surtout quand les rangs ne sont pas encore fermés. Il est donc important de suivre vos champs, en prenant soin de : Noter
Lire la suite
Nouveau
22 juillet 2025
Au Québec, le thuya est une espèce phare de l’horticulture ornementale. Pourtant, sa fertilisation azotée, essentielle à sa qualité et sa croissance, reste sensible aux aléas climatiques. Cette fiche technique présente les résultats d’un projet de recherche mené par l’IQDHO (2023-2025), qui évalue l’efficacité de la fertigation
— une méthode d’apport d’engrais via l’irrigation — dans la culture du thuya en champ. L’étude démontre que la fertigation dynamique, ajustée selon les besoins de la plante et les conditions du sol, peut améliorer l’efficacité des apports, optimiser la qualité des plants et limiter les pertes environnementales, notamment en période de sécheresse. En conclusion, la fertigation constitue une avenue prometteuse pour une gestion plus durable et efficiente de l’azote, particulièrement dans un contexte de changements climatiques et de pénurie de main-d’œuvre.
Lire la suite
Nouveau
21 juillet 2025
Au-delà des nombreux bénéfices environnementaux qu'ils procurent, les arbres peuvent aussi être des alliés précieux de la production maraîchère. Différents aménagements agroforestiers peuvent être réalisés pour augmenter le rendement, réduire le stress hydrique et devancer la maturité des cultures. Ils peuvent aussi
réduire l’érosion éolienne des sols organiques et sableux. De plus, ces aménagements participent à la lutte contre les ravageurs et à la pollinisation des cultures, et peuvent réduire les dérives de pesticides et augmenter la recharge des nappes phréatiques et des étangs d’irrigation. Enfin, ils peuvent permettre de diversifier la production, produire du bois raméal, améliorer le bien-être des travailleurs, favoriser l’agrotourisme et contribuer à l’adaptation aux changements climatiques. Lorsque la production maraîchère est pratiquée en serres, des haies brise-vent peuvent réduire les coûts de chauffage et les coûts de déneigement, en plus de diminuer les bris causés par le vent. Ce cahier offre une synthèse des principaux bénéfices de l’agroforesterie pour la production maraîchère, les principes d’aménagement et de gestion permettant de les favoriser, les limites et incertitudes, et les précautions à prendre pour minimiser les risques et inconvénients. Il est basé sur une vaste revue de littérature, ainsi que des entrevues individuelles avec une quinzaine d’intervenants d'expérience de différentes régions. Le lecteur ou la lectrice y trouvera ainsi des arguments et des chiffres richement documentés, pour aller au-delà des mythes et réalités au sujet des arbres sur les fermes maraîchères au Québec.
Lire la suite
21 à 30 sur 26965
- Coup de coeur
- À lire plus tard
- + Créer un dossier