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12 novembre 2025
Voici les diapositives du webinaire "Rappel réglementaire en matière de pesticides", qui a été présenté le 16 octobre 2025, par M. Jacques Fadous, agronome et coordonnateur en matière de pesticides à la Division des pesticides (MELCCFP). Ce webinaire s’adressait directement aux apiculteurs et aux intervenants de la filière
apicole. Ces diapositives vous permettront d'en apprendre davantage sur le régime de permis et de certificats présentement en viguer, ainsi que sur les récentes modifications réglementaires concernant l’utilisation des pesticides, en particulier pour les produits employés en apiculture. Plusieurs questions couramment posées par les apiculteurs sont abordées dans ce document, notamment: Quelles sont les obligations légales et les exigences en lien avec les pesticides apicoles? Quelle est la différence entre un permis et un certificat? Quel cours ou certification doivent être suivis pour appliquer les traitements contre le varroa dans les ruches? Un permis est-il nécessaire pour acheter et appliquer les traitements contre le varroa dans les ruches? Y a-t-il des produits pour lesquels ce n'est pas nécessaire? Un permis ou une certification est-elle nécessaire pour vendre des pesticides apicoles? Y a-t-il des obligations spécifiques? Pour obtenir davantage d'informations, consultez la page Pesticides sur le site web du gouvernement du Québec.
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11 novembre 2025
Nous sommes un groupe d'étudiants en génie mécanique, génie robotique de l'Université de Sherbrooke. Dans le cadre de notre cours Création de produits innovants, nous nous intéressons à une problématique dans le but d'offrir un produit pour le régler. Notre équipe s'est arrêté sur la présence du Varroa destructor dans les
ruches. Le but de ce sondage est d'obtenir votre opinion sur notre solution qui serait la détection du Varroa dans les ruches grace à un système non-invasif autonome attaché à chaque ruche. Ce système vise à détecter et suivre l'état de chaque ruche pour planifier et quantifier des traitements adéquats ainsi que cibler les ruches "bombe à varroa" pour limiter la propagation du parasite.
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11 novembre 2025
L’amarante tuberculée est une mauvaise herbe très difficile à contrôler, considérée comme l’une des plus problématiques en agriculture. Elle a été détectée pour la première fois au Québec en 2017, en Montérégie-Ouest. Jusqu’en 2022, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides
(groupes 2, 5, 9, 14 et 27), incluant des cas de résistance à l’atrazine (groupe 5) et à la mésotrione (groupe 27), même lorsqu’ils sont appliqués en mélange. Certaines populations montrent une résistance à quatre groupes d’herbicides, ce qui complique leur gestion. La lutte intégrée repose sur une intervention rapide dès la détection, avec des stratégies adaptées au profil de résistance, déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ces derniers offrent l’avantage de fournir des résultats plus rapidement, mais nécessitent une connaissance préalable des mutations impliquées. Le projet visait à développer des méthodes moléculaires pour détecter rapidement la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test moléculaire pour le groupe 14 a été mis au point et transféré au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP-MAPAQ) en 2019. Depuis 2020, 114 tests ont été réalisés. Concernant la résistance à l’atrazine, elle serait liée à une augmentation de l’activité des glutathion-S-transférases, notamment le gène AtuGSTF2, identifié comme candidat principal. Des marqueurs moléculaires ont été développés et sont en cours de validation. Enfin, des études d’expression génique et une analyse GWAS (Genome Wide Association Study) ont permis d’identifier des gènes et régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance à la mésotrione.
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10 novembre 2025
Ce document présente un bilan carbone positif pour la Montérégie »dans les des haies agroforestières de cette région.Trente-six haies agroforestières ont été analysées pour mesurer les stocks de carbone dans la biomasse, le sol et la litière. Les résultats confirment qu'elles permettent une séquestration significative,
notamment grâce à la biomasse. Cette pratique agro-environnementale favorise une agriculture durable et pourrait être soutenue par les marchés du carbone.
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07 novembre 2025
L’amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus) est l’une des mauvaises herbes les plus difficiles à contrôler et a été détectée pour la première fois au Québec en 2017. Depuis, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides, et certaines à quatre groupes, incluant l’atrazine et
la mésotrione. Pour limiter sa propagation, il est essentiel de mettre en place rapidement des stratégies de lutte adaptées au profil de résistance, lequel peut être déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ce projet visait à développer des méthodes moléculaires rapides pour détecter la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test pour le groupe 14 a été créé et transféré au LEDP en 2019, et des marqueurs liés au gène AtuGSTF2, associé à la résistance à l’atrazine, sont en cours de validation. Pour la mésotrione, des analyses d’expression génique et une étude GWAS ont permis d’identifier des gènes et des régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance.
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06 novembre 2025
Ce projet avait pour objectif d’améliorer les capacités de diagnostic et de surveillance phytosanitaire au Québec en développant des outils moléculaires innovants. Il s’est concentré sur trois complexes pathogènes majeurs : le complexe Phytophthora dans les sapins de Noël, les bactérioses de l’oignon et les formes spéciales
de Fusarium oxysporum dans les cultures maraîchères. Les travaux ont permis de concevoir un test qPCR spécifique à Phytophthora abietivora et de mettre au point un outil de séquençage IonTorrent pour détecter plusieurs espèces du complexe. Un outil basé sur la technologie MinIon a également été développé pour le diagnostic des bactérioses de l’oignon. Enfin, des marqueurs PCR et qPCR ont été adaptés pour identifier différentes formae speciales de Fusarium oxysporum responsables de la fusariose dans des cultures comme la tomate, l’oignon, l’épinard, la laitue, le concombre, la fraise et le céleri. Les connaissances acquises sur la génétique de ces pathogènes ouvrent la voie à l’utilisation future des technologies de séquençage de troisième génération pour des diagnostics rapides et précis.
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06 novembre 2025
Ce projet avait pour objectif d’améliorer les capacités de diagnostic et de surveillance phytosanitaire au Québec en développant des outils moléculaires innovants. Il s’est concentré sur trois complexes pathogènes majeurs : le complexe Phytophthora dans les sapins de Noël, les bactérioses de l’oignon et les formes spéciales
de Fusarium oxysporum dans les cultures maraîchères. Les travaux ont permis de concevoir un test qPCR spécifique à Phytophthora abietivora et de mettre au point un outil de séquençage IonTorrent pour détecter plusieurs espèces du complexe. Un outil basé sur la technologie MinIon a également été développé pour le diagnostic des bactérioses de l’oignon. Enfin, des marqueurs PCR et qPCR ont été adaptés pour identifier différentes formae speciales de Fusarium oxysporum responsables de la fusariose dans des cultures comme la tomate, l’oignon, l’épinard, la laitue, le concombre, la fraise et le céleri. Les connaissances acquises sur la génétique de ces pathogènes ouvrent la voie à l’utilisation future des technologies de séquençage de troisième génération pour des diagnostics rapides et précis.
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06 novembre 2025
Ce projet a consisté à répondre à l’objectif principal qui vise à évaluer la capacité d’identifier par séquençage à haut débit (SHD) des organismes phytopathogènes bactériens et fongiques qui infectent des pommes de terre et des plantes en grandes cultures, et en cultures maraîchères. En partenariat avec le Laboratoire
d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) et le Laboratoire de phytopathologie du CEROM, nous avons obtenu et traité des échantillons provenant de nos partenaires entre 2019 et 2022. Nous avons validé les protocoles d’extraction d’acides nucléiques nécessaires selon le type d’échantillon, développé les protocoles de séquençage haut débit sur plateforme MiSeq et MinION (Livrable L3). Au total cinq systèmes de détection ont été retenus pour l’évaluation sur MiSeq et deux systèmes sur MinION. Des tests additionnels ont également permis d’évaluer l’approche NanoMiSeq permettant de soumettre moins d’échantillons en même temps à la phase de séquençage. Cette approche sera plus adaptée au débit analytique du LEDP en saison estivale. Nous avons de plus évalué une approche de préparation de librairie en une seule étape qui permet de réduire les coûts d’opération reliés à l’analyse par SHD. Nous avons également développé un nouvel outil informatique permettant de créer des bases de références taxonomiques en regroupant des séquences de plusieurs bases de données de référence publiques et selon le système d’amplification utilisé pour le SHD. Cet outil (ASVMaker) a été publié dans la revue « Plants » (Annexe 2-4). La base de données taxonomiques de référence spécifiques produite avec cet outil s’intègre dans notre stratégie de double identification (application pour les données obtenues par MiSeq et NanoMiSeq) Nos résultats montrent un fort potentiel des approches SHD pour identifier les genres pathogéniques ciblés (Livrable L2). Pour certains d’entre eux (essentiellement des genres fongiques), il est possible d’identifier des
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06 novembre 2025
Ce projet a consisté à répondre à l’objectif principal qui vise à évaluer la capacité d’identifier par séquençage à haut débit (SHD) des organismes phytopathogènes bactériens et fongiques qui infectent des pommes de terre et des plantes en grandes cultures, et en cultures maraîchères. En partenariat avec le Laboratoire
d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) et le Laboratoire de phytopathologie du CEROM, nous avons obtenu et traité des échantillons provenant de nos partenaires entre 2019 et 2022. Nous avons validé les protocoles d’extraction d’acides nucléiques nécessaires selon le type d’échantillon, développé les protocoles de séquençage haut débit sur plateforme MiSeq et MinION (Livrable L3). Au total cinq systèmes de détection ont été retenus pour l’évaluation sur MiSeq et deux systèmes sur MinION. Des tests additionnels ont également permis d’évaluer l’approche NanoMiSeq permettant de soumettre moins d’échantillons en même temps à la phase de séquençage. Cette approche sera plus adaptée au débit analytique du LEDP en saison estivale. Nous avons de plus évalué une approche de préparation de librairie en une seule étape qui permet de réduire les coûts d’opération reliés à l’analyse par SHD. Nous avons également développé un nouvel outil informatique permettant de créer des bases de références taxonomiques en regroupant des séquences de plusieurs bases de données de référence publiques et selon le système d’amplification utilisé pour le SHD. Cet outil (ASVMaker) a été publié dans la revue « Plants » (Annexe 2-4). La base de données taxonomiques de référence spécifiques produite avec cet outil s’intègre dans notre stratégie de double identification (application pour les données obtenues par MiSeq et NanoMiSeq) Nos résultats montrent un fort potentiel des approches SHD pour identifier les genres pathogéniques ciblés (Livrable L2). Pour certains d’entre eux (essentiellement des genres fongiques), il est possible d’identifier des
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