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02 mai 2025
Le blanc est une maladie fréquente au Québec qui peut causer des baisses de rendements et affecter la qualité des fruits. Il demeure difficile d’établir le niveau d’acceptabilité de cette maladie au champ et de bien cibler les traitements. Ainsi, des applications fongicides contre ce champignon sont réalisées de manière
régulière tout au long de la saison. Plusieurs des expériences réalisées au cours des dernières années ont permis de démontrer que l’alternance entre les fongicides biologiques et conventionnels offrait souvent des résultats comparables ou supérieurs aux traitements conventionnels ou biologiques seuls. Ce projet a pour but d’évaluer l'efficacité de l'utilisation préventive de biofongicides et fongicides à moindre risque dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la fraise. Les résultats de 2021 démontrent que les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels présentent un bon potentiel pour protéger les plants et les fruits contre le blanc, de manière aussi efficace que le témoin commercial. On remarque cependant que la stratégie débutant par un fongicide à risque réduit a mieux performé que celle débutant par un fongicide conventionnel. Ce résultat pourrait s’expliquer du fait du calendrier de traitement ; un produit efficace a peut-être été utilisé à un moment où les risques de maladie étaient élevés, permettant un bon contrôle de la maladie, ce qui a contribué à limiter sa progression par la suite. La stratégie qui consistait à traiter avec des fongicides à risques réduits jusqu’à l’apparition de la maladie a également présenté un bon intérêt pour la protection des fruits et des plants contre le blanc. Les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels aux 14 jours auraient également une efficacité, mais moindre. Il n’a pas été possible de confirmer ces résultats en 2022 et 2023, bien que la maladie ait été présente sur le site d’essai, la pression
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02 mai 2025
Le blanc est une maladie fréquente au Québec qui peut causer des baisses de rendements et affecter la qualité des fruits. Il demeure difficile d’établir le niveau d’acceptabilité de cette maladie au champ et de bien cibler les traitements. Ainsi, des applications fongicides contre ce champignon sont réalisées de manière
régulière tout au long de la saison. Plusieurs des expériences réalisées au cours des dernières années ont permis de démontrer que l’alternance entre les fongicides biologiques et conventionnels offrait souvent des résultats comparables ou supérieurs aux traitements conventionnels ou biologiques seuls. Ce projet a pour but d’évaluer l'efficacité de l'utilisation préventive de biofongicides et fongicides à moindre risque dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la fraise. Les résultats de 2021 démontrent que les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels présentent un bon potentiel pour protéger les plants et les fruits contre le blanc, de manière aussi efficace que le témoin commercial. On remarque cependant que la stratégie débutant par un fongicide à risque réduit a mieux performé que celle débutant par un fongicide conventionnel. Ce résultat pourrait s’expliquer du fait du calendrier de traitement ; un produit efficace a peut-être été utilisé à un moment où les risques de maladie étaient élevés, permettant un bon contrôle de la maladie, ce qui a contribué à limiter sa progression par la suite. La stratégie qui consistait à traiter avec des fongicides à risques réduits jusqu’à l’apparition de la maladie a également présenté un bon intérêt pour la protection des fruits et des plants contre le blanc. Les stratégies de rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels aux 14 jours auraient également une efficacité, mais moindre. Il n’a pas été possible de confirmer ces résultats en 2022 et 2023, bien que la maladie ait été présente sur le site d’essai, la pression
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02 mai 2025
Suivi des plantes de blé d'automne pour déterminer l'impact du gel sur ceux-ci. Vergette du Canada résistante au glyphosate : quoi faire en début de saison. Bonne pratique aux semis : consigner l'information des semences utilisées. EST-CE QUE LE GEL NOCTURNE RÉCENT A EU UN IMPACT SUR LE BLÉ D'AUTOMNE? S. Mathieu1,
B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ) Les températures sont descendues sous le point de congélation dans plusieurs secteurs dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Compte tenu du stade physiologique du blé d’automne qui varie entre le stade « tallage » et la montaison, la majorité des secteurs ne semblent pas avoir atteint la durée et les températures critiques pour endommager le blé. Un suivi peut toutefois être requis pour certains champs. Le gel des tissus qui forment l’épis (apex) est critique pour le blé d'automne : si ces tissus gèlent, les dommages seront majeurs et le rendement en sera affecté. À la montaison, une température de -4 °C pendant plus de deux heures peut causer des dommages aux points de croissance. Au stade « tallage », une température de -11 °C serait nécessaire pour réduire le nombre de talles et causer des dommages (voir tableau 1). Tableau 1 : Températures pouvant causer des dommages en fonction du stade physiologique du blé d'automne, symptômes et impact potentiel sur le rendement Stade du blé Température (d'une durée de 2 heures) pouvant causer des dommages Symptômes liés au gel Impact probable sur le rendement Tallage -11 °C Chlorose des feuilles, brunissement du bout des feuilles, odeur d'ensilage Faible à modéré Montaison -4 °C Mort du point de croissance, jaunissement ou brunissement des feuilles Modéré à sévère Gonflement -2 °C Stérilité des florets, épis coincés dans la gaine, dommages au bas des tiges, décoloration du feuillage. Modéré à sévère Source : Université du Nebraska Les conséquences de l'effet du gel dépendent des éléments suivants : La température atteinte, la durée du gel et le stade
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Fraise, Bulletin d'information No 1 : Les applications printanières d’herbicides dans les fraisières
01 mai 2025
Les applications printanières d’herbicides dans les fraisières
01 mai 2025
La compaction des sols agricoles est un frein majeur au rendement des cultures. La compaction en profondeur est celle qui est le plus difficile à résoudre. Cette problématique est grandissante dans les régions méridionales du Québec, dans la plaine de Montréal et le Centre-du-Québec où les cultures annuelles sont plus présentes
et intensives et où le parc de machinerie est grandissant. La compaction profonde est engendrée par le passage de machinerie dont le poids dépasse 3 500 kg par roue et est exacerbé lorsque l’humidité du sol augmente. Lorsque la profondeur de la compaction est supérieure à 60 cm (24 po), les équipements de sous-solage standard ne peuvent accomplir le travail et les exploitants se retrouvent sans solution. Il est essentiel de développer des techniques capables de résoudre cette problématique. Une entreprise agricole de la Mauricie aux prises avec cette problématique a voulu tester une méthode alternative de sous-solage profond avec une charrue-taupe sans pose de drain souterrain. Les résultats de cet essai démontrent qu’il est possible de résorber une problématique de nappe perchée lorsqu’elle est causée par de la compaction profonde. De plus, cette technique permet de restituer partiellement la productivité de la zone affectée. Cette technique est transposable dans d’autres entreprises aux prises avec la même problématique.
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