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16 juillet 2019
Avons-nous besoin de fongicides pour le soya au Québec?
04 mars 2016
Évaluation de  l'impact et des interactions de l'utilisation de traitements de semences et de fongicides foliaires sur les paramètres agronomiques dans la culture du soya en lien avec la pression des ravageurs et de maladies.
13 juillet 2018
La pourriture à sclérotes chez le soya
29 juin 2016
Ce document présente l'état des connaissances sur l’utilisation des fongicides foliaires en grandes cultures (céréales, maïs, soya). Plus spécifiquement, cette revue de littérature propose les éléments pertinents à considérer liés à l’utilisation des fongicides foliaires tels que les impacts agronomiques (rendement, qualité), économiques (rentabilité) et agroenvironnementaux (effets sur l'environnement et la santé humaine). De plus, les solutions alternatives à leur utilisation ainsi les principales maladies fongiques retrouvées au Québec et ce, pour chacune des grandes cultures (céréales, maïs et soya) y sont incluses. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 28 juillet 2023
28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des céréales.   SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE?  Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1    1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 9 juillet 2020
09 juillet 2020
Cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne : les seuils d’intervention atteints dans plusieurs champs. Présence de criquets et autres insectes défoliateurs. Comment faire face à la pourriture à sclérotes dans le soya. Fusariose de l’épi : des cartes prévisionnelles sont disponibles. Puceron du soya : le suivi du RAP commence la semaine prochaine.   DÉPISTAGE DE LA CICADELLE DE LA POMME DE TERRE DANS LA LUZERNE RECOMMANDÉ Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) et Huguette Martel, agr. (MAPAQ) Depuis une dizaine de jours, plusieurs champs de luzerne font l’objet d’une surveillance et certains d’entre eux, en Mauricie, en Estrie et en Montérégie, ont largement dépassé les seuils d’intervention. Considérant l’impact que cet insecte peut avoir sur le rendement et la qualité du fourrage, les producteurs sont invités à dépister leurs prairies, en particulier dans leurs luzernières en implantation, et ce, avant de voir des symptômes apparaître. Le dépistage des insectes devrait se faire tous les 5 à 7 jours. Le suivi pourrait être nécessaire jusqu’à la mi-août, moment où les cicadelles cessent de se reproduire.  Dépendamment du niveau des populations de l’insecte, qui doit être évalué par un dépistage avec un filet fauchoir, du stade et de la hauteur de la luzerne, la meilleure stratégie pourrait être de devancer la coupe et de surveiller les populations par la suite. Pour en savoir plus sur la biologie de l’insecte, comment le dépister et les stratégies d’intervention, référez-vous à la fiche technique La cicadelle de la pomme de terre dans la luzerne.  Certaines variétés de luzerne offrent une tolérance intéressante face à l’insecte grâce à la présence de poils sur les feuilles. Ces poils sont moins développés lors de l’année de l’implantation. De plus, en cas de fortes infestations, ces variétés peuvent tout de même subir des pertes de rendement. Malgré tout, les producteurs sont invités à vérifier si Lire la suite
29 juillet 2016
Puceron du soya - Les populations moyennes du puceron du soya sont encore faibles cette semaine - Dépistage toujours recommandé dans la région de Lanaudière - Début du dépistage recommandé dans la région des Laurentides - Attention à l’application de fongicides foliaires qui nuiraient aux ennemis naturels du puceron du soya. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 11, 7 juillet 2023
07 juillet 2023
Sclérotiniose (soya) : risques, efficacité des fongicides. Charançon de la silique : abondance en Chaudière-Appalaches et en Abitibi-Témiscamingue. Cols d'oie (maïs) : dépister les chrysomèles des racines et évaluer les dommages. Effets de la grêle (maïs et soya). Tache brune dans le soya. Herbicides : attention au stade du soya.     SOYA : RISQUES DE SCLÉROTINIOSE ET EFFICACITÉ DES TRAITEMENTS FONGICIDES Y. Faucher1, T. Copley2 et Y. Dion1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison. La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia sclerotiorum, causant la sclérotiniose (pourriture à sclérotes). Toutefois, le risque réel dépend des conditions spécifiques du champ, de l’état de la culture et des conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages les plus récents de sclérotes, au cours de la dernière semaine, dans 28 champs de soya repartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent jusqu’à maintenant de rares développements d’apothécies. Des observations sur le développement d’apothécies ont été notées seulement à deux sites, soit un en Montérégie-Ouest et un autre dans la Capitale-Nationale. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au CÉROM indiquent des risques moyens ou élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie dépend aussi de la capacité des spores du champignon à infecter la plante. Plusieurs conditions doivent être réunies pour le développement de la maladie. L'avertissement N° 10 du 4 juillet dernier présente les facteurs de risque à prendre en compte pour évaluer le risque Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 3 juillet 2020
03 juillet 2020
Traitements herbicides tardifs : quelques éléments à prendre en considération. Nouveaux cas de vers gris rapportés au Bas-Saint-Laurent. Comment faire face à la pourriture à sclérotes dans le soya. État de la situation des insectes pouvant affecter le canola.   TRAITEMENTS HERBICIDES TARDIFS : QUELQUES ÉLÉMENTS À PRENDRE EN CONSIDÉRATION Brigitte Duval, Véronique Samson et Julie Breault, agronomes (MAPAQ) Pour plusieurs champs, les traitements herbicides sont terminés ou en voie de l’être. Environ 7 à 10 jours après les traitements, c’est le moment de vérifier leur efficacité. Une des causes possibles d’un traitement qui n’aurait pas eu l’efficacité attendue est la sécheresse. Elle peut avoir réduit l’efficacité des produits qui nécessitent une pluie pour les activer, comme c'est le cas pour plusieurs antigraminées. Pour plus d’information sur le désherbage et le temps sec, consultez l’avertissement Nº 4 du 26 mai 2020. Si un traitement supplémentaire est envisagé pour contrôler les échappées de mauvaises herbes, certains éléments doivent être pris en considération. Le stade de la culture ou certaines mauvaises herbes peuvent être trop avancés pour que le traitement soit sécuritaire pour la culture ou efficace. Vérifiez l’étiquette des herbicides pour vous assurer de respecter les stades maximaux et, au besoin, ajustez la dose et la quantité de bouillie en conséquence selon les directives des étiquettes. Par exemple, certains herbicides ne peuvent pas être appliqués dans le soya si celui-ci est en fleurs. D’ailleurs, plusieurs ont remarqué une floraison hâtive du soya cette année, ce qui peut être dû au stress causé par la sécheresse et la chaleur. Dans le maïs également, certains herbicides appliqués à un stade avancé peuvent causer des symptômes de phytotoxicité et nuire au développement. Par exemple, dans le maïs tolérant au glyphosate, à partir du stade 9 feuilles du maïs, les épis en formation peuvent être affectés par une application de glyphosate. A Lire la suite
22 juillet 2016
Puceron du soya - Les populations de pucerons sont encore faibles cette semaine, à l’exception d’un champ de la région de Lanaudière. Il est recommandé de commencer le dépistage dans cette région. - Attention à l’application de fongicides foliaires et autres insecticides qui nuiraient aux ennemis naturels du puceron du soya. Lire la suite
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