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13 août 2025
Premier cas de mildiou confirmé dans la pomme de terre en Montérégie; intensifiez la surveillance de vos champs. PREMIER CAS DE MILDIOU DE LA POMME DE TERRE Le mardi 12 août 2025, un cas de mildiou (Phytophthora infestans) a été observé dans un champ de pommes de terre de la Montérégie. Il s’agit du premier cas
de mildiou rapporté dans la pomme de terre au Québec pour 2025. Des mesures de contrôle ont été mises en place dès la découverte des symptômes et ces derniers seraient limités à quelques feuilles. C’est le deuxième cas de mildiou recensé au Québec cette saison-ci, le premier cas ayant été confirmé dans une serre de tomates du Centre-du-Québec, le 29 juillet dernier. La saison dernière (2024), la présence de la maladie dans la pomme de terre dans la province avait été détectée le 13 août, également en Montérégie. Les producteurs situés dans le secteur touché, mais aussi dans ceux avoisinants, devraient prendre les mesures en conséquence. Cela comprend, entre autres : Dépistage plus intensif des champs pour y détecter toute trace de la maladie; Poursuite de la protection fongicide, selon les conditions météorologiques en cours, jusqu’au défanage complet de la culture. Bien couvrir le feuillage des plants lors de la pulvérisation. Assurez-vous d’alterner les groupes de résistance des produits. Usage de produits appropriés, particulièrement près de la zone touchée (voir ci-dessous une liste des produits proposés). Une liste des produits homologués pour le contrôle du mildiou est disponible sur le site Web de SAgE pesticides et/ou sur celui du Profil ontarien pour la protection des cultures. Si vous soupçonnez la présence du mildiou dans un de vos champs, contactez votre conseiller agronomique et/ou un conseiller du MAPAQ du bureau régional le plus proche pour obtenir de plus amples informations et prendre les mesures nécessaires. En cas de doute, les producteurs sont encouragés à soumettre un
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07 août 2025
Pas de nouveau cas confirmé de mildiou. Manque d’eau. Chancre bactérien en hausse. MÉTÉO ET ÉTAT DES CULTURES Alors que le sud de la province a reçu très peu de précipitations, les régions de Chaudière-Appalaches et de la Capitale-Nationale ont connu des averses isolées et quelques épisodes de grêles causant
certains dommages aux cultures. Les rosées étaient tout de même bien présentes. Les températures de jour étaient modérées et les nuits fraiches, voire froides : le thermomètre est descendu jusqu'à 7 °C, et même à 2 °C à Montmagny. Le sommaire agrométéorologique solanacées vous informe des précipitations et du cumul des degrés-jours entre le 30 juillet et le 5 août 2025, et depuis le 30 avril : Précipitations des sept derniers jours Sommaire des degrés-jours base 15 Spécial phytoprotection bio 2025 est publié. Ce bulletin présente la liste des produits phytosanitaires à usage agricole homologués dans les cultures horticoles au Canada et acceptés par les organismes de certification biologique. PROBLÈMES ABIOTIQUES Comme la semaine dernière, les particules fines dans l’air provenant des feux de forêts de l’Ouest canadien ont réduit la luminosité. Puisque les températures étaient modérées, cela n’a pas causé de stress significatif sur les cultures. On remarque encore quelques coups de soleil. Des désordres liés à l’irrigation sont également rapportés dont les fentes de croissance, le fendillement et la pourriture apicale. Étant donné que les sols sont plutôt secs dû aux faibles précipitations, il est d’autant plus important d’être assidu avec les arrosages pour éviter ces problèmes. En période de sécheresse particulièrement, l’irrigation par goutte à goutte maximise l’efficacité des arrosages. Aussi, l’utilisation de tensiomètres permet de valider que les quantités d’eau apportées sont suffisantes pour les besoins des cultures. MALADIES Mildiou Il n’y a pas eu de nouveau cas de mildiou rapporté ni confirmé cette
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30 juillet 2025
PREMIER CAS DE MILDIOU DÉTECTÉ DANS LA TOMATE DANS UNE SERRE DU CENTRE-DU-QUÉBEC Un premier cas de mildiou de la pomme de terre, causé par le pathogène Phytophthora infestans, a été détecté dans une serre individuelle en culture biologique, qui n’avait pas d’antécédant de cette maladie. Des problèmes de ventilation et
d’irrigation ont créé un environnement chaud et humide, favorable au développement de la maladie. L’infestation semble être à ses débuts car seulement les feuilles basales étaient atteintes, pas les tiges ni les fruits. Le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ a confirmé l’identification de la maladie dans cette serre; c'est la souche US-23 qui est identifiée dans cet échantillon. Le mildiou représente une menace majeure pour les cultures de solanacées, notamment la tomate et la pomme de terre, qui sont particulièrement vulnérables. Cette maladie se diffuse rapidement et peut détruire les plants en très peu de temps. En serre, elle peut également toucher les poivrons et les aubergines. Les producteurs du Centre-du-Québec, région où a été détecté ce premier cas, sont invités à être d’autant plus vigilants, mais la maladie pourrait se propager dans d’autres régions, puisque les spores peuvent être transportés par le vent sur de grandes distances. ASPECT RÉGLEMENTAIRE Cette maladie est visée par la Loi sur la protection sanitaire des cultures et le Réglement sur la culture de pommes de terre qui stipulent que, lorsque la présence du mildiou est confirmée ou qu’un indice de cette présence est constaté, les plants infectés doivent être détruits et des mesures doivent être prises pour éviter la propagation de la maladie, notamment l’application de fongicides homologués. La maladie n’est pas à déclaration obligatoire, sauf dans les zones de cultures protégées mises en place dans certaines municipalités des régions suivantes : Bas-Saint-Laurent, Saguenay–Lac-Saint-Jean, Côte-Nord et Nord-du-Québec SYMPTÔMES
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18 août 2025
PREMIER CAS DE MILDIOU DANS LE CONCOMBRE EN SERRE Depuis quelques semaines, le RAP Cucurbitacées signale des cas de mildiou (Pseudoperonospora cubensis) dans des concombres en champ des régions de la Montérégie, de Lanaudière et des Laurentides. Cette semaine, un premier cas en serre a également été rapporté
dans une installation située au sud de la province. Cette maladie, facilement transportée par le vent, pourrait se manifester dans d’autres serres du Québec au cours des prochaines semaines. La température optimale d’infection du mildiou se situant entre 15 et 25 °C, la baisse des températures observée à partir de la mi-août pourrait favoriser sa sporulation et sa dissémination. Le mildiou du concombre est une maladie virulente qui entraîne une détérioration rapide du feuillage et une baisse de production. Il se manifeste d’abord sur les feuilles âgées, par de petites taches angulaires jaunes à verdâtres, délimitées par les nervures (photos 1 et 2). Sur la face inférieure, ces taches présentent un duvet gris constitué de sporanges, sacs contenant les spores (photo 3). Au fur et à mesure que la maladie évolue, les taches s’étendent et virent au brun rouille. Les feuilles se dessèchent en se repliant vers le haut et finissent par mourir, tout en demeurant fixées à la tige. Photos 1 et 2 : Taches jaunes à verdâtres sur la face supérieure, et duvet gris sur la face inférieure des feuilles Source : Yves Martin, agr. (MAPAQ) Photo 3 : Duvet gris sur la face inférieure d'une feuille de concombre Source : LEDP Pour germer, les spores du mildiou ont besoin d’eau libre sur le feuillage. En conditions d’humidité relative élevée, une période de mouillure de 2 heures, à des températures entre 18 et 23 °C, suffit pour provoquer une infection généralisée en serre. Cette infection est d’autant plus favorisée lorsque l’hygrométrie ambiante est très élevée (supérieure à 85 %). PRINCIPAUX MOYENS POUR PRÉVENIR ET LUTTER CONTRE LE MILDIOU DU CONCOMBRE
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14 août 2024
Premier cas de mildiou de la pomme de terre confirmé en Montérégie; intensifiez le dépistage. PREMIER CAS DE MILDIOU DE LA POMME DE TERRE Le mercredi 14 août 2024, le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ a confirmé la présence de mildiou (Phytophthora infestans) sur un
échantillon de pomme de terre provenant de la Montérégie. Il s’agit du premier cas de mildiou officiellement rapporté au Québec pour 2024. C'est la souche US-23 qui a été identifiée dans cet échantillon. Cette souche, qui a également été retrouvée dans les échantillons de mildiou en 2022 et en 2023, est agressive sur la tomate et sur la pomme de terre. Des mesures de contrôle ont été mises en place dès la découverte des symptômes. La saison dernière (2023), la présence du champignon dans la province avait été détectée le 25 juillet, en Mauricie. Les producteurs situés dans le secteur touché, mais aussi dans ceux avoisinants, devraient prendre les mesures en conséquence. Cela comprend entre autres : Dépistage plus intensif des champs pour y détecter toute trace de la maladie; Poursuite de la protection fongicide, selon les conditions climatiques en cours, jusqu’au défanage complet de la culture. Bien couvrir le feuillage des plants lors de la pulvérisation. Assurez-vous d’alterner les groupes de résistance des produits. Usage de produits appropriés, particulièrement près de la zone touchée (voir ci-dessous une liste des produits proposés). Une liste des produits homologués pour le contrôle du mildiou est disponible sur le site Web de SAgE pesticides et/ou sur celui du Profil ontarien pour la protection des cultures. Si vous soupçonnez la présence du mildiou dans un de vos champs, contactez votre conseiller agronomique ou un conseiller du MAPAQ du bureau régional le plus proche pour obtenir de plus amples informations et prendre les mesures nécessaires. Quoique le mildiou ne soit
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14 août 2024
Premier cas de mildiou confirmé dans la pomme de terre en Montérégie : intensifiez le dépistage. Rappel des facteurs de risque et documents à consulter. PREMIER CAS DE MILDIOU DE LA POMME DE TERRE Le mercredi 14 août, le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du
MAPAQ a confirmé la présence de mildiou (Phytophthora infestans) sur un échantillon de pomme de terre provenant de la Montérégie. Il s’agit du premier cas de mildiou officiellement rapporté au Québec pour 2024. C'est la souche US-23 qui a été identifiée dans cet échantillon. Cette souche, qui a également été retrouvée dans les échantillons de mildiou en 2022 et en 2023, est agressive sur la tomate et sur la pomme de terre. Quelques autres foyers dépistés sont soupçonnés dans la même région, mais ne sont pas encore confirmés par le laboratoire. Des mesures de contrôle ont été mises en place dès la découverte des symptômes. Si vous soupçonnez la présence du mildiou dans un de vos champs, contactez votre conseiller agronomique ou un conseiller du MAPAQ du bureau régional le plus proche pour obtenir de plus amples informations et prendre les mesures nécessaires. Quoique le mildiou ne soit pas une maladie à déclaration obligatoire en dehors des zones de culture protégées, notez qu'il s'agit d'un organisme nuisible réglementé en vertu du Règlement sur la culture de pommes de terre (RCPT). L’article 6 de ce règlement indique que le propriétaire ou le gardien d’un bien infecté (dont une parcelle en culture) doit prendre des mesures pour éviter la propagation du mildiou, notamment par la destruction des végétaux infectés. Ainsi, ces mêmes exigences demeurent si la découverte de la maladie était faite dans des champs d’autres solanacées, à proximité de champs de pommes de terre. Conditions optimales pour le développement de la maladie Humidité relative élevée (> 90 %) ou mouillure
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15 juillet 2024
Premiers foyers de mildiou du concombre signalés le 15 juillet 2024, dans deux champs de concombres de transformation en Montérégie et dans Lanaudière. Dans les champs de concombres frais, de melons brodés ainsi que de concombres de transformation du sud du Québec, il est fortement recommandé de faire une
pulvérisation de fongicide antimildiou. RECOMMANDATION DE TRAITEMENT CONTRE LE MILDIOU DU CONCOMBRE Les premiers foyers de mildiou du concombre (Pseudoperonospora cubensis) ont été dépistés hier, le 15 juillet 2024, dans un champ de concombres de transformation de la région de la Montérégie, puis dans Lanaudière. Les lésions sont nouvelles et la sporulation active. Le mildiou peut attaquer les plants à tous les stades de développement. Puisque cette maladie peut être très destructrice dans les champs de concombres et de melons brodés laissés sans protection fongique, nous vous recommandons de faire une pulvérisation préventive de fongicide antimildiou dans les champs de concombres de transformation ainsi que dans les champs de concombres frais et de melons brodés du sud du Québec. Pour les champs des régions de Québec et de la Chaudière-Appalaches, des pulvérisations préventives de chlorothalonil (BRAVO ZN) ou de mancozèbe (p. ex. : DITHANE RAINSHIELD) peuvent grandement réduire le risque, s'il n'y a pas d'historique de la maladie sur l'entreprise. En production biologique, des solutions à base de cuivre appliquées en prévention, avant la pluie, peuvent aider à freiner le développement du pathogène. Fongicides homologués* et recommandés pour lutter contre le mildiou du concombre** Fongicide matière active et NOM COMMERCIAL Groupe de résistance Taux d'application Délai d'attente avant la récolte (jour) Nombre maximal de traitements Note Fongicides à utiliser maintenant puisque la maladie est présente au Québec et que le risque d'infection est grand. Mandipropamide
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11 août 2023
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) souhaite vous informer de la présence dans plusieurs régions du Québec de la maladie du mildiou (Phytophthora infestans), affectant les productions de pommes de terre et de tomates. Cette maladie très agressive peut causer des pertes économiques
importantes pour les producteurs agricoles. Les structures qui permettent à cet organisme de se reproduire (spores) sont facilement transportées par le vent et peuvent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres, propageant ainsi la maladie. Celle-ci se développe rapidement et les plantes atteintes peuvent être détruites en quelques jours. En raison de ce risque, le mildiou est donc l’affaire de tous. Sa présence doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ si elle est détectée dans une zone de culture protégée (i.e. Bas-Saint-Laurent et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Dans toutes les régions, c’est une maladie réglementée : des mesures doivent être prises pour éviter sa propagation et détruire les végétaux infectés. Le mildiou ne pose pas de risque pour la consommation humaine : les tubercules de pommes de terre et les tomates issus de plantes infectées peuvent être consommés sans danger. Toutefois, pour éviter la propagation de la maladie, les tubercules récoltés dans les jardins ne doivent pas être entreposés pour une longue période ou replantés l’année prochaine. Voici le document d’information du MAPAQ. Pour toute question à cet effet, nous vous invitons à communiquer avec votre direction régionale du MAPAQ.
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21 juin 2023
Premier cas de mildiou du concombre signalé aujourd’hui, le 21 juin 2023, dans un champ de concombres frais en Montérégie. Dans les champs de concombres frais, de melons brodés ainsi que de concombres de transformation du sud du Québec, il est fortement recommandé de faire une pulvérisation de fongicide
antimildiou. RECOMMANDATION DE TRAITEMENT CONTRE LE MILDIOU DU CONCOMBRE Un premier cas de mildiou du concombre (Pseudoperonospora cubensis) a été signalé aujourd'hui, le 21 juin 2023, dans un champ de concombres frais de la région de la Montérégie. Les lésions sont nouvelles et peu nombreuses, la sporulation active. Le mildiou peut attaquer les plants à tous les stades de développement. Puisque cette maladie peut être très destructrice dans les champs de concombres et de melons brodés laissés sans protection fongique, nous vous recommandons de faire une pulvérisation préventive de fongicide antimildiou dans les champs de concombres de transformation ainsi que dans les champs de concombres frais et de melons brodés du sud du Québec. Pour les champs des régions de Québec et de la Chaudière-Appalaches, des pulvérisations préventives de chlorothalonil (BRAVO ZN) ou de mancozèbe (p. ex. : DITHANE RAINSHIELD) peuvent grandement réduire le risque, s'il n'y a pas d'historique de la maladie sur l'entreprise. En production biologique, des solutions à base de cuivre appliquées en prévention peuvent aider à freiner le développement du pathogène. Fongicides homologués* et recommandés pour lutter contre le mildiou du concombre** Fongicide matière active et NOM COMMERCIAL Groupe de résistance Taux d'application Délai d'attente avant la récolte (jour) Nombre maximal de traitements Note Fongicides à utiliser maintenant puisque la maladie est présente au Québec et que le risque d'infection est grand. Mandipropamide + Oxathiapiproline ORONDIS ULTRA 40 + 49 400-600 ml/ha (162-243
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30 juillet 2020
Premier cas de mildiou du concombre signalé aujourd’hui, le 30 juillet 2020, dans un champ de concombres de la rive nord de Montréal. Dans les champs de concombres de transformation, de concombres frais du sud du Québec, faites une pulvérisation de fongicide antimildiou si le dernier traitement remonte à plus de 7 jours.
RECOMMANDATION DE TRAITEMENT CONTRE LE MILDIOU DU CONCOMBRE Un premier cas de mildiou du concombre (Pseudoperonospora cubensis) a été signalé aujourd'hui, le 30 juillet 2020, dans un champ de concombres de la rive nord de Montréal. Puisque cette maladie peut être très destructrice dans les champs de concombres laissés sans protection, nous vous recommandons de faire une pulvérisation préventive de fongicide antimildiou si votre dernier traitement remonte à plus de 7 jours, et ce, dans les champs de concombres de transformation, de concombres frais du sud du Québec et dans les autres champs qui ont des antécédents de mildiou. Fongicides homologués et recommandés pour lutter contre le mildiou du concombre* Fongicide matière active et NOM COMMERCIAL Groupe de résistance Taux d'application Délai d'attente avant la récolte (jour) Nombre maximal de traitements Note Fongicides à utiliser maintenant puisque la maladie est présente au Québec et que le risque d'infection est grand. Mandipropamide + Oxathiapiproline ORONDIS ULTRA 40 + 49 400-600 ml/ha (162-243 ml/acre) 0 4 Appliquer dans au moins 100 L d’eau/ha. Cyazofamide TORRENT 400SC 21 150-200 ml/ha (61-81 ml/acre) + SNI ou surfactant organosilicié (150 ml/ha ou 61 ml/acre) 1 6 Appliquer dans 200 à 600 L d’eau/ha. Amétoctradine + diméthomorphe ZAMPRO 40 + 45 0,8-1,0 L/ha (0,3-0,4 L/acre) 1 3 Appliquer dans au moins 200 L d’eau/ha. L’ajout d’un adjuvant de dispersion/pénétration est recommandé. * Seuls les fongicides ayant fait l’objet d’essais au Michigan et en Ontario et qui ont démontré une très bonne efficacité
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