Vous avez manqué l'édition 2019 du Symposium sur les bovins laitiers? Voici l'ensemble des informations présentées lors de cette journée ainsi que les différents contenus qui ont été rendus disponibles.   Le producteur laitier québécois à l'ère du numérique : perceptions, utilisation et enjeux Annie Royer Ph.D., Sciences économiques, professeure agrégée au Département d'économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval Mme Annie Royer a obtenu son doctorat en sciences économiques à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en 2009. Elle a ensuite été chercheure postdoctorale à l’Université de Wageningen aux Pays-Bas. Elle est maintenant professeure au Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation à l’Université Laval et est titulaire de la Chaire d’analyse de la politique agricole et de la mise en marché collective. Son programme de recherche est pluridisciplinaire et touche l’analyse de la mise en marché collective des produits agricoles, la coordination verticale dans les filières agroalimentaires, les politiques agricoles, les analyses institutionnelles et l’innovation, notamment les enjeux entourant l’agriculture de précision. Résumé de la présentation Portrait de l'utilisation actuelle des technologies numériques par les producteurs laitiers du Québec et principaux enjeux sur les données numériques. Contenu de la conférence Présentation PowerPoint (non disponible) Les acides gras dans l'alimentation de la vache - Quoi? Pouquoi? Comment? Rachel Gervais Ph.D., agronome, professeure au Département des sciences animales, Université Laval Mme Rachel Gervais a obtenu son doctorat en sciences animales à l’Université Laval et a effectué un stage postdoctoral à l’Université de Gand en Belgique. Elle est professeure au Département des sciences animales de l’Université Laval, responsable des cours de nutrition animale et d’application des nouveaux concepts en alimentation des bovins. Ses intérêts de recherche Lire la suite

La vitamine B12 présente dans le lait de vache s’assimile beaucoup mieux que les suppléments vitaminiques. On peut aller chercher dans un verre de lait 50 % des besoins quotidiens en vitamine B12 d’un adulte. Les résultats de cette étude, menée au Centre de recherche et de développement d'Agriculture et Agroalimentaire Canada à Sherbrooke, ont été publiés dans le British Journal of Nutrition en 2014 . Dans une nouvelle étude parue en 2018, les scientifiques ont pu démontrer que la vitamine B12 présente dans d’autres types de produits laitiers s’assimilait mieux qu’un supplément synthétique. La version anglaise de cet article est disponible sous le titre: It is a proven fact that vitamin B12 is better absorbed from dairy products Lire la suite

Le secteur des produits laitiers biologiques québécois a connu une forte croissance au cours de la dernière décennie, que ce soit pour le lait, le beurre, le fromage ou le yogourt. Voici un des 8 articles réalisés dans le cadre du projet Série journalistique sur le bio au Québec financé par le Programme d’appui à la mise en marché des produits biologiques du MAPAQ, réalisé par la Filière biologique du Québec au printemps 2013. Lire la suite

L'échantillon de lait du contrôle laitier vous offre déjà une multitude d'informations utiles pour la gestion de votre troupeau: composants, cellules somatiques, urée, BHB (acétonémie), gestation, etc. Imaginez qu'on puisse également mesurer les émissions de méthane de votre vache dans son lait. Utopie? Non, réalité. Lire la suite

Séminaire en sciences animales à l'Université Laval. Résumé des pratiques optimales entre le colostrum maternel et le colostrum en poudre et les méthodes d'alimentation (sous la mère, bouteille à suce et gaveuse). Basé sur des articles scientifiques, s'applique aussi pour le veau de boucherie. 

Document pdf de 501 Ko.Cette publication propose une couverture statistique de la consommation canadienne de produits laitiers sur une période de trente ans. L'analyse vise à dégager des tendances de consommation de produits laitiers au Canada et aux États-Unis ainsi qu'un examen des tendances de consommation des produits substituts ou complémentaires. Lire la suite