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25 novembre 2025
Préparer la prochaine saison : 3 gestes concrets pour réduire les pesticides
Grandes cultures, Avertissement No 27, 21 novembre 2025
21 novembre 2025
NEIGE PRÉCOCE : PLANIFIER LA RÉCOLTE DU MAÏS-GRAIN M.-E. Cuerrier1, B. Duval1, Y. Faucher1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ)   Avec les sols saturés d’eau et la neige résiduelle, il est préférable de ne pas se précipiter pour la récolte : le sol ne supporte pas encore le poids des équipements et entrer maintenant dans les champs risquerait de provoquer de la compaction, ce qui nuirait à la santé du sol l’année prochaine et qui aurait un effet sur le bon développement des cultures et leur résilience face aux différents aléas. Idéalement, il faudrait attendre que la neige fonde et que le sol gèle profondément, ce qui pourrait se produire au début ou à la mi-décembre, selon l’évolution des températures, des précipitations ainsi que des conditions propres à chaque région et à chaque champ. Conditions automnales difficiles Alors que le début de l’automne a été particulièrement clément et sec, les précipitations des dernières semaines ont détrempé les champs, rendant les chantiers de récolte difficiles. À cela s’ajoute l’arrivée hâtive (10 novembre) des premières bordées de neige qui sont demeurées au sol, compliquant les travaux dans plusieurs régions où la récolte du maïs-grain n’est pas terminée. Selon l'État des cultures, en date du 14 novembre, environ 70 % des superficies en maïs-grain avaient été récoltées à l’échelle du Québec. Les régions de la Montérégie, de la Mauricie, de Lanaudière, de l’Estrie, de la Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec comportent encore des superficies non récoltées dans une proportion variant de 10 à 70 %.   Champ de maïs enneigé, Chaudière-Appalaches, 18 novembre 2025 Source : Colline Chih, agr., M. Sc. (OBV de la Côte-du-Sud)     Scénarios possibles Avec les précipitations de pluie des dernières semaines et les épisodes de neige récents, les sols peuvent être saturés d’eau. Leur portance est réduite en raison de l’effet isolant de la couverture de neige et de la chaleur accumulée dans le sol. Lire la suite
20 novembre 2025
Grandes cultures, Bulletin d'information No 5 : Votre trousse « Vers fil-de-fer » pour 2026
03 novembre 2025
Liste des hybrides de maïs sans enrobage insecticide de semences ou certifiés biologiques disponibles pour la saison 2026
Grandes cultures, Avertissement No 26, 26 septembre 2025
26 septembre 2025
NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : C'EST LE BON MOMENT DE FAIRE ANALYSER LE SOL POUR LE DÉTECTER Publication originale 2023 : I. Fréchette3, B. Duval1 et V. Samson1 Mise à jour 2025 : A. Dionne2, C. Rieux1, V. Samson1, S. Chaussé3 et M. St-Laurent1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ); 3 Professionnel de recherche (CÉROM) Le nématode à kyste du soya (NKS) est actuellement la plus grande menace pour la culture du soya à l’échelle mondiale : impossible à éradiquer, il peut entraîner jusqu’à 30 % de pertes de rendements sans symptômes apparents. Heureusement, il est possible de le contrôler à l’aide de bonnes pratiques agronomiques. Encore faut-il faire analyser les sols selon un protocole précis pour identifier quels champs sont atteints. La période idéale pour dépister le NKS est à l’atteinte de la maturité du soya ou tout juste après sa récolte. C’est à ce moment que les densités de kystes sont les plus élevées et qu’il est le plus probable de détecter leur présence dans un champ. La technique d’échantillonnage consiste à échantillonner 25 prélèvements de sol à l’aide d’une sonde ou d’une tarière en s’assurant d’introduire l’outil de biais dans la zone racinaire. Puis, il suffit de mélanger les prélèvements, de prélever 1 litre de ce mélange de sol/racines et de l’envoyer au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ (accéder au formulaire de demande d’analyse). Si le NKS est détecté, la meilleure stratégie consiste à effectuer une rotation avec des cultures ne pouvant pas être infectées, comme le maïs ou le blé. Lorsque les populations ne sont pas trop élevées, il est également possible d’utiliser des cultivars de soya tolérants. Même si ce ver microscopique peut être transporté par le vent ou les oiseaux, il se propage surtout par le déplacement du sol. Il est donc recommandé de mettre en place des mesures de biosécurité à la ferme (nettoyage de la machinerie, nettoyage des bottes et autres équipements, Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 25, 19 septembre 2025
19 septembre 2025
Ver-gris occidental du haricot : pensez à évaluer les dommages aux épis de maïs. Gestion automnale de la vergerette du Canada résistante au glyphosate. VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : PENSEZ À ÉVALUER LES DOMMAGES AUX ÉPIS DE MAÏS J. Saguez1, V. Samson2 et C. Rieux2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Comme nous vous l’avons mentionné dans un précédent avertissement, c’est le moment de l’année idéal pour évaluer les dommages causés par le VGOH dans vos champs de maïs. C’est également souvent une période propice pour observer les larves. L'évaluation des dommages avant les récoltes permet : D'évaluer combien d'épis ont été endommagés par l'insecte; De déterminer s'il y a de la fusariose ou d'autres maladies dans les épis à la suite des dommages causés par le VGOH; De déterminer si la stratégie de lutte utilisée en 2025 a été efficace; De planifier si une méthode de lutte doit être envisagée en 2026.   L’évaluation des dommages aux épis consiste à éplucher 100 épis répartis aléatoirement dans le champ (10 épis à 10 endroits distincts ou 5 épis à 20 endroits). Cela donnera une idée du taux d’infestation par cet insecte. Notez qu’il n’y a toutefois aucun seuil d’intervention basé sur un taux d’infestation. Lors de l’épluchage des épis, il est possible de trouver des larves de VGOH encore en train de s’alimenter. Mais les épis peuvent également être attaqués par les larves d’autres insectes : ver de l’épi du maïs, légionnaire d’automne et pyrale du maïs. Larves de ver-gris occidental du haricot (VGOH) et d'autres ravageurs du maïs Notez que la larve du VGOH porte deux larges bandes brun foncé derrière la tête Source : B. Duval, agr. (MAPAQ) Ne soyez pas surpris si vous voyez des dommages, mais pas de larves. En effet, dépendamment de la date de ponte du VGOH dans les champs affectés, les larves pourraient déjà avoir complété leur développement, puisque ça prend entre 28 et 70 jours selon les conditions environnementales pour traverser les différents Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 24, 12 septembre 2025
12 septembre 2025
Amarante de Palmer : population détectée près du Québec. Nouveaux cas de tache goudronneuse du maïs au Centre-du-Québec. Maladies foliaires du soya en fin de saison. Céréales d'automne : une option à considérer. AMARANTE DE PALMER : UNE POPULATION DÉTECTÉE TOUT PRÈS DU QUÉBEC A. Picard1, B. Duval1, V. Samson1, S. Flores-Mejia2 et M. St-Laurent1 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheuse (CÉROM)   Figure 1 : Plants d'amarante de Palmer dans un champ de soya, nouvelle population de South Glengarry (Ontario) Source : François Bourdon, agr. CCA Une abondante population d’amarante de Palmer (Amaranthus palmeri) a été découverte au cours des dernières semaines dans un champ de soya d’une ferme située dans le comté de South Glengarry, en Ontario, tout près de la frontière avec le Québec. Cette population proviendrait d’une batteuse récemment acheminée des États-Unis qui aurait été contaminée par des graines d’amarante de Palmer. Cette population a été testée pour la résistance aux herbicides des groupes 2, 5, 9 et 14. Le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ confirme la résistance aux groupes 2 et 9, mais n'exclut pas celle au groupe 5, puisque d'autres mécanismes de résistance que ceux testés sont possibles. La vigilance est donc de mise, puisque cette plante n’a pas encore été observée au Québec. Originaire du sud-ouest des États-Unis et du Mexique, l’amarante de Palmer est maintenant bien établie dans plusieurs États du nord des États-Unis. Sa progression vers le nord démontre qu’elle pourrait s’adapter aux conditions climatiques du Québec.   En cas de doute sur l’espèce d’amarante observée dans un champ, le LEDP offre gratuitement un service d’identification et de détection de la résistance aux herbicides pour toutes les espèces d’amarantes. L’identification précise de l’espèce et du profil de résistance aux herbicides constitue les premières étapes d’une démarche de gestion intégrée des mauvaises Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 23, 5 septembre 2025
04 septembre 2025
Maïs : évaluation de la santé des tiges à l'automne et dépistage des maladies. Gestion des mauvaises herbes en fin de saison. Maïs exprimant des protéines insecticides : surveillez les dommages pour prévenir la résistance. Dépistage des mauvaises herbes et détection de la résistance aux herbicides. Chrysomèle des racines du maïs : bilan préliminaire de la saison 2025. MAÏS : ÉVALUATION DE LA SANTÉ DES TIGES À L'AUTOMNE ET DÉPISTAGE DES MALADIES Publication originale (2023) : M.-É. Cuerrier2, T. Copley1 et V. Samson2 Révision 2025 : B. Duval2, M. St-Laurent2 et V. Samson2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) La sécheresse observée dans plusieurs secteurs ces dernières semaines a fragilisé certains champs de maïs. Ce stress peut réduire la solidité des tiges, favoriser la verse et accroître la sensibilité aux maladies de tiges et de racines. Un stress hydrique prolongé, surtout autour de la floraison et durant le remplissage des grains, accentue le transfert de réserves des tiges vers les grains. Les tiges deviennent alors plus cassantes, ce qui augmente les risques de verse et de développement de maladies telles que la fusariose ou l’anthracnose. Ces situations peuvent se traduire par des tiges raccourcies, une croissance trapue, des colorations anormales des feuilles ainsi que des symptômes de pourriture. Le mois de septembre, particulièrement aux stades R5 (grains dentés) à R6 (point noir à la base des grains), est une bonne période pour évaluer la santé des tiges et dépister les maladies qui affectent les tiges, les feuilles et les épis. Lorsque des champs présentent de la verse ou des symptômes de maladies, il est recommandé de prioriser leur récolte afin de limiter les pertes au champ. Dans certains cas, il peut être judicieux d’envisager un changement de vocation du maïs grain vers l’ensilage. Ces observations sont également utiles pour évaluer la tolérance des hybrides cultivés à la verse et aux maladies, et de mieux planifier la rotation des cultures Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 22, 3 septembre 2025
03 septembre 2025
TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : UN PREMIER CAS CONFIRMÉ EN 2025, SOYEZ VIGILANTS! T. Copley1, J. Breault2 et B. Duval2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Un premier cas de tache goudronneuse du maïs (Phyllachora maydis) a été rapporté cette année au Centre-du-Québec, dans un champ voisin de celui où la maladie avait été observée en 2024. Le diagnostic a été confirmé par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. L’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain, mais peut réduire la qualité du maïs-ensilage si les plants se dessèchent prématurément. Les conditions météorologiques favorables à la maladie sont des températures diurnes modérées (16 °C à 21 °C), une humidité relative supérieure à 75 % et des feuilles qui demeurent humides pendant environ 7 heures par jour. Les conditions observées ces jours-ci pourraient donc favoriser son développement dans plusieurs régions. La tache goudronneuse est une maladie fongique qui réduit la photosynthèse. Elle se caractérise par des taches noires, rondes ou allongées, surélevées et incrustées dans les tissus des feuilles (voir photos ci-dessous). Elles sont également luisantes, d’où l’aspect goudronneux. Les symptômes sont parfois confondus avec :   Des excréments d'insectes : ceux-ci se délogent facilement lorsqu'on frotte la feuille après l'avoir humidifiée quelques secondes; La rouille commune : les pustules laissent une trace orangée ou noire sur les doigts et présentent souvent un décollement de l'épiderme autour de la lésion (aspect de volcan); Des taches produites par des champignons saprophytes sur des plants en sénescence : généralement poudreuses et non incrustées dans la feuille.   Les taches causées par la tache goudronneuse ne se délogent pas et ne laissent pas de traces sur les doigts lorsque frottées.   Lésions de la tache goudronneuse du maïs Source : LEDP (MAPAQ) Champ de maïs atteint de tache Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 21, 29 août 2025
28 août 2025
Chrysomèle du haricot dans le soya : faibles populations et peu de dommages aux gousses. Altise à tête rouge : signalement de dommages dans le trèfle et la luzerne. Le nettoyage des batteuses : un véritable outil de lutte contre les mauvaises herbes.   CHRYSOMÈLE DU HARICOT DANS LE SOYA : FAIBLES POPULATIONS ET PEU DE DOMMAGES AUX GOUSSES Publication originale (2023) : S. Boquel1, V. Samson2 et M.-É. Cuerrier2 Révision 2025 : S. Boquel1, J. Breault2 et V. Samson2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Comme les deux dernières années, les résultats de dépistage de la chrysomèle du haricot réalisé dans des champs de soya de la Montérégie-Est et Ouest, du Centre-du-Québec et de la Chaudière-Appalaches montrent de faibles populations du ravageur et peu de dommages aux gousses. Les populations de chrysomèles varient de 0 à 2,3 individus par coup de filet dans les champs suivis récemment. Les dommages aux gousses (photo 1) sont également faibles (< 3,5 %) avec un site à 6,7 %. Les valeurs maximales ont été atteintes en Montérégie, aux sites de Saint-Urbain-Premier (1,4 individu par coup de filet; 6,7 % de gousses endommagées) et de Saint-Denis-sur-Richelieu (2,3 individus par coup de filet; 1,5 % de défoliation). Ces valeurs restent toutefois en dessous des seuils d’intervention proposés par l’Université de Purdue (voir le tableau ci-dessous). Le suivi de l’évolution des populations et des gousses endommagées est tout de même suggéré dans les champs de ces deux secteurs.   Seuils d'intervention en fonction des dommages aux gousses, du nombre de chrysomèles actives dans le champ et de la maturité des gousses entre les stades R5 et R7 du soya     Nombre moyen de chrysomèles du haricot par coup de filet dans du soya semé aux 30 pouces (7 pouces)* Dommages aux gousses Moins de 4 (3) 4 (3) à 7 (5) Plus de 7 (5) 0 à 8 % Interrompre le dépistage Dépister à nouveau 5 jours plus tard Intervenir (préventif) Lire la suite
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