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09 avril 2025
Ces présentations ont été offertes le 20 mars 2025 à l’occasion d'un webinaire organisé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) et le Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL). Consultez les présentations : Les stratégies et les résultats généraux du projet de vitrine
de démonstration d’une gestion à moindres risques dans la fraise d’été et la fraise d’automne Julien Brière, agr., CIEL Le mode d’action des fongicides Stéphanie Tellier, agr., M. Sc., conseillère et experte provinciale en petits fruits, Direction régionale de la Capitale-Nationale, MAPAQ Note : Les présentations qui précèdent sont sous l’entière responsabilité de leurs auteurs. Restez à l’affût en vous abonnant aux infolettres du MAPAQ.
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06 mars 2025
Ces outils d’aide à la décision ont été créés dans le cadre du projet « Vitrines de démonstration d’une régie à moindres risques dans la fraise d’été et la fraise d’automne dans plusieurs régions du Québec ». Ils visent à supporter les conseillers et conseillères du secteur de la fraise qui aimeraient mettre en place une
régie à moindres risques similaire à celle mise de l’avant lors des projets de vitrines. Les maladies ciblées sont l’anthracnose, la moisissure grise et le blanc du fraisier et les insectes ciblés sont la punaise terne, la drosophile à ailes tachetées, le tétranyque à deux points et l’anthonome de la fleur du fraisier. Si vous souhaitez en apprendre davantage sur les projets de vitrines, vous pouvez consulter le rapport final du premier projet de vitrines dans la fraise d’automne, le rapport final du deuxième projet de vitrines dans la fraise d’été et la fraise d’automne et les capsules vidéos. Pour plus d'informations concernant ce projet, veuillez communiquer avec Julien Brière (j.briere@ciel-cvp.ca) ou Roxane Pusnel (r.pusnel@ciel-cvp.ca).
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21 février 2025
Ce projet est une suite du projet des vitrines de régie à moindres risques dans le secteur de la pomme (Prime-vert 3.2) débuté au printemps 2018 et qui s’est terminé en 2022 (nous le nommerons : Vitrines 1.0). Le projet actuel poursuit les mêmes grands objectifs (justifiés par les mêmes problématiques) et s’appuie sur les
expériences et les réalisations du premier projet. Il propose toutefois d’agir sur deux plans supplémentaires à celui des vitrines en vue de favoriser davantage la diffusion et l’adoption de certaines pratiques en remplacement des pesticides de synthèse. La culture des pommes requiert l'utilisation d'un grand nombre de produits antiparasitaires pour maintenir en échec les divers ravageurs tels que les insectes, les maladies, les acariens, etc. L’application de certains produits présente des indices de risques élevés pour l'environnement et la santé des utilisateurs, tout en entraînant des coûts significatifs. Certaines méthodes de dépistage, de surveillance et d’intervention éprouvées sont disponibles pour réduire ces risques et sont utilisées à des degrés variables par les entreprises. L'adoption plus étendue de ces nouvelles approches contribuerait à diminuer l'empreinte environnementale de la pomiculture québécoise, tout en préservant la santé et la sécurité des employés et propriétaires impliqués dans les entreprises pomicoles. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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04 avril 2025
La vitrine de régies à moindres risques dans les cultures maraîchères en sol minéral est un projet de démonstration portant sur trois cultures d’importance au Québec : l’oignon sec, la carotte et le chou pommé. L’objectif principal est de comparer une parcelle vitrine de près d’un hectare, où des stratégies de lutte intégrée
réduisant les risques pour la santé (IRS) et l’environnement (IRE) sont implantées, à une parcelle témoin gérée selon la régie conventionnelle du producteur. Le but est de démontrer qu’il est possible de produire ces légumes de champ tout en diminuant les IRS et les IRE, sans compromettre le rendement. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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03 avril 2025
Ce projet s’inscrit dans le Plan d’Agriculture Durable (PAD) 2020-2030, mis en oeuvre par le MAPAQ, dont le premier objectif est de réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement. Les deux cibles de cet objectif sont une réduction de 500 000 kg des pesticides de synthèse vendus et de 40%
des risques pour la santé (IRS) et l'environnement (IRE) associés à leur utilisation. Pour contribuer à l’atteinte de cet objectif, l’Association des producteurs maraichers du Québec (APMQ) et ses collaborateurs se sont engagés à promouvoir les techniques de Gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) en mettant en place des vitrines comparant une régie à moindre risque à celle utilisée par les entreprises participantes, dans au moins deux cultures de terre noire. Le Québec produit 88% des superficies de laitues (7573 acres en 2023) et 40% des superficies d’oignons (6203 acres) du Canada (Statistique Canada, 2024). Pour ces deux cultures, de nombreuses approches de GIEC ont été développées au cours des dernières décennies (techniques de biosurveillance, modèles prévisionnels, alternatives aux pesticides), mais leur intégration aux programmes de phytoprotection demeure limitée. Ainsi, les cultures de laitue et d’oignon sec en terre noire ont été ciblées dans le cadre du projet vitrine, compte tenu de leur importance économique, des superficies cultivées, des efforts de recherche investis et du nombre important d’applications de pesticides par saison dans ces cultures. L’objectif général de ce projet était de promouvoir l’utilisation des techniques de GIEC développées et disponibles en production maraîchère en terre noire à travers une série de vitrines régionales dans les cultures d’oignon sec et de laitue. La démarche et la mise en place des vitrines en sols organiques s’est appuyée sur les piliers fondamentaux des méthodes de GIEC : la connaissance des ravageurs et de la culture; la prévention; la surveillance; l’intervention; l’évaluation-rétroaction.
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04 avril 2025
Le projet visait à démontrer qu’il est possible de produire de la pomme de terre tout en réduisant l’impact des pesticides sur la santé et l’environnement, sans affecter les rendements, la qualité et le coût de production. Pour ce faire, une parcelle de plusieurs hectares où les principes de gestion intégrée
des ennemis de culture (GIEC) étaient appliqués et où l’utilisation de pesticides à moindres risques était priorisée (vitrine) a été mise en place chez les participants. Celle-ci a été comparée à une parcelle témoin (régie conventionnelle du producteur). L’objectif principal du projet était d’amener les producteurs à intégrer la régie à moindres risques dans leur propre régie en leur permettant d’observer les impacts positifs de la vitrine sur la réduction des risques sur la santé et sur l’environnement, mais aussi éventuellement sur la réduction du nombre de traitements et donc sur la masse de travail. Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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02 décembre 2024
L’objectif général du présent projet d’une durée de 3 ans est de réaliser des vitrines de démonstration de régie à moindres risques dans la fraise d’été et la fraise d’automne dans plusieurs régions du Québec. Il vise également à offrir un accompagnement spécialisé auprès des clubs-conseils et des producteurs qui veulent
réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement. Ainsi, le projet vise à faire connaître aux entreprises horticoles qui cultivent la fraise d’été ou la fraise d’automne, des techniques de gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) permettant de réduire les risques associés à l’usage des pesticides dans le but d’accroître l’adoption de ces techniques.
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23 mai 2024
À l'échelle mondiale, on observe un déclin important des pollinisateurs domestiques et indigènes, une situation préoccupante pour l'environnement, et pour l'avenir de l'agriculture. En zone agricole, l’aménagement de bandes ou d’îlots de fleurs assure nourriture, refuge et site de reproduction pour de nombreuses espèces
bénéfiques dont une majorité de pollinisateurs. Le positionnement et le choix des espèces florales est essentiel pour maximiser les retombées des aménagements fleuris sur la culture et éviter les problématiques pour la production. La caractérisation du site et l'entretien de ces aménagements sont aussi des éléments trop peu considérés. Le manque d'information freine donc certains projets ou limite les retombées des sommes investies par une mauvaise planification et une méconnaissance de ces éléments clés. Notre projet vise donc le développement d'aménagements adaptés à la région du Saguenay Lac-Saint-Jean qui serviront de sites de démonstration pour promouvoir les bonnes pratiques en matière d'aménagement pour la biodiversité. Nos objectifs spécifiques sont : 1) Concevoir et mettre en place divers aménagements modèles sur des entreprises agricoles qui couvrent les principaux secteurs de production de la région; 2) Documenter les étapes préalables aux aménagements, soit l'analyse du site, la conception des aménagements, la préparation du site et finalement leur mise en place; 3) Suivre l'utilisation par les pollinisateurs des aménagements fleuris et les retombées et contraintes des aménagements pour l'entreprise. Pour ce faire, nous avons ciblé une entreprise en grandes cultures, une ferme maraîchère et finalement une bleuetière intéressées à réaliser des aménagements fleuris. Pour chaque projet, nous documenterons la caractérisation de chaque site, la conception, la préparation des sites et la réalisation des aménagements. Nous réaliserons un suivi des pollinisateurs à l'aide de pièges bols lors de l'année d'implantation et la suivante pour mieux chiffrer
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