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7528 documents disponibles
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20 septembre 2024
QUESTION : Afin de calculer la charge en phosphore pour une demande de Certificat d’Autorisation, j’ai utilisé le nombre de dindons à griller potentiellement vendu (nb entré X 94-95%) X 0,161 kg P2O5/tête X nb lot / année. L’analyste me dit que je dois utiliser le nb d’oiseau entrée car dans l’exemple du guide c’est
un chiffre rond (10000). La note 5 du tableau 3.4 mentionne bien qu’il est question du nombre d’oiseau vendus. Je sais que ce n’est peut-être un détail mais quand il y a pas mal d’oiseaux, ça fait facilement 2000 kg P2O5 de différence. RÉPONSE : Il est à souligner que les valeurs de référence pour les rejets de dindons sont issues de caractérisations réalisées dans ces types d'élevage, tel qu'indiqué à la note 4 du tableau 3.4 . De ce fait, les rejets par tête produite (161 g P2O5 / tête pour le dindon à griller) ont été calculés sur la base de l'analyse des fumiers à la sortie du bâtiment et du cheptel vendu. La note 5 du même tableau sert donc à expliquer la méthodologie qui a été observée afin de déterminer ces valeurs. Toutefois, les exemples données à la page suivante pour déterminer la charge annuelle de phosphore d'un cheptel se basent sur le nombre d'animaux à l'entrée du bâtiment, en cohérence avec le principe d'inventaire maximum sur le lieu d'élevage. Dans ce calcul, la mortalité durant la période d'élevage n'est pas considérée. Bien entendu, une caractérisation des déjections animales suite à l'augmentation du cheptel permettra d'évaluer avec plus de justesse la charge de phosphore liée au lieu d'élevage. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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20 septembre 2024
QUESTION : Un producteur a 2 sites d'entreposages: une fosse circulaire pour le lisier et une plate-forme pour le fumier. Ces 2 structures sont sur le même lieux d'élevage, mais associées à 2 groupes de bovins distincts donc 2 bâtisses. Pour les épandages, il fait un mélange du fumier et du lisier. Est-ce accepté
de prendre l'analyse du mélange uniquement tout en tenant un registre d'épandage pour le lisier et le fumier vu que ça provient du même cheptel sans pour autant être les mêmes animaux associés au fumier et au lisier? RÉPONSE : Dans le cas présenté, la caractérisation séparée des 2 déjections (fumier et lisier) s'impose afin de déterminer la charge phosphore produit sur le lieu d'élevage. Plusieurs facteurs peuvent influencer les valeurs obtenues du mélange : ratio et uniformité du mélange, brassage de la fosse à lisier, etc. Ces facteurs ne sont pas pris en compte dans les protocoles respectifs de caractérisation de fumier solide et liquide, ce qui diminue la représentativité et la fiabilité des données. Cette question et réponse fait partie de la foire aux questions de la Base de connaissances effluents d'élevage. Retour à la Base de connaissances effluents d'élevage
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20 septembre 2024
Premiers cas de tache goudronneuse du maïs détectés au Québec. TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : PREMIERS CAS DÉTECTÉS AU QUÉBEC B. Duval1, A. Dionne2, M.-E. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ, LEDP) Des cas de tache goudronneuse du maïs (« tar spot of corn ») ont été observés pour
la première fois la semaine dernière au Québec, grâce à la vigilance de producteurs et de leurs conseillers. Quelques champs de maïs-grain de la région du Centre-du-Québec sont atteints de cette maladie fongique, qui a été confirmée par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ. L’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain. Toutefois, des mesures préventives peuvent déjà être envisagées pour les prochaines saisons de culture dans les champs atteints, car l’agent pathogène peut survivre sur les résidus de maïs infectés. Ces mesures incluent la mise en place d'une rotation de cultures, le choix d'hybrides de maïs moins sensibles à la maladie et le dépistage des champs afin de détecter hâtivement les symptômes de la maladie. La tache goudronneuse se caractérise par des taches (lésions) noires, surélevées et incrustées dans les tissus des feuilles du maïs. Ces lésions sont rondes ou de forme allongée. Dans certains cas, les lésions sont entourées d’un halo beige ou brun (planche A). Planche A : Tache goudronneuse du maïs sur des feuilles de maïs-grain, 16 septembre 2024 Photos : B. Duval, agr. (MAPAQ) Les lésions de la tache goudronneuse sont souvent confondues avec des excréments d’insectes ou avec les symptômes de la rouille commune (planche B). Pour faire la distinction, mouillez pendant quelques secondes la partie de la feuille de maïs qui présente les points noirs suspects, et frottez entre vos doigts. Si le point noir se déloge de la feuille de maïs, il ne s’agit pas de la tache goudronneuse, mais d’excréments
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19 septembre 2024
Les récoltes sont avancées et des pertes de rendement attribuables aux maladies sont rapportées. Les insectes ravageurs sont généralement contrôlés. Dernier avertissement phytosanitaire de la saison, merci à nos précieux collaborateurs! Cet avertissement devrait être le dernier communiqué régulier de la
saison 2024. Cependant, comme les visites des champs se poursuivent jusqu'aux récoltes, un avertissement serait émis rapidement si un problème particulier survenait. Nous tenons à remercier tous les collaborateurs du RAP Crucifères qui, chaque semaine, nous ont fait part de leurs observations afin de produire des communiqués qui, nous l'espérons, reflètent la réalité des différentes régions. Merci également au personnel du Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ ainsi qu'à celui du secrétariat du RAP qui nous permettent de vous acheminer de l'information dans les meilleurs délais. Si vous avez des commentaires et/ou des suggestions concernant les communiqués que nous publions chaque semaine, n'hésitez pas à nous en faire part à i.lefebvre@ciel-cvp.ca. Bonnes récoltes et bonne fin de saison à tous! ÉTAT GÉNÉRAL DES CULTURES Les récoltes de crucifères sont achevées par endroits et se poursuivent à d'autres. Les températures chaudes et la présence prolongée d'eau libre (ex. : rosées) constituent une combinaison gagnante pour plusieurs maladies fongiques et bactériennes. En effet, on observe des symptômes, à intensité variable, causés par la pourriture molle bactérienne, la nervation noire et les taches alternariennes. La sévérité des dommages à la récolte est toutefois généralement faible. De la pourriture sclérotique est également présente dans les champs, sans occasionner de dommages significatifs. GESTION DES TACHES ALTERNARIENNES : Sondage sur les variétés de brocoli et les pratiques culturales
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Mise à jour
19 septembre 2024
Téléchargez les recommandations de cultivars 2016-2017. Recommandations pour l’alpiste roseau, le brome des prés, le brome inerme, le dactyle, la fétuque élevée, la fléole des prés, le lotier corniculé, la luzerne, le trèfle blanc, le trèfle rouge et le ray-grass annuel. Une initiative du Comité plantes fourragères
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13 septembre 2024
Météo : températures et précipitations variables. Développement de la culture : opérations de défanage qui s’accentuent; début des chantiers de récolte pour entreposage à plus long terme; quelques défauts à la récolte. Maladies : quelques nouveaux cas de mildiou; progression plus au ralenti de maladies de
faiblesse dans des parcelles non défanées; suivi de pourritures de tubercules. Insectes : rien de spécial à signaler. Dernier avertissement régulier de la saison. CONDITIONS MÉTÉOROLOGIQUES Pour la période du 6 au 12 septembre, les températures ont été chaudes au début pour chuter le 8 septembre, puis remonter à des valeurs au-dessus de la moyenne par endroits en toute fin de période. Des nuits fraîches et même froides ont été observées dans des secteurs du nord, mais aussi du sud, avec par exemple des minimums de -1 à 2 °C du 8 au 10 septembre au Témiscamingue, et 3 à 5 °C le 10 septembre dans Lanaudière. À noter des nuits plus douces dans le secteur est de la province (voir le sommaire agrométéorologique). Des précipitations ont eu lieu sur quelques jours, surtout les 7 et/ou 8 septembre, avec des cumuls plus importants dans le nord-ouest (ex. : près de 50 mm au Témiscamingue) et dans certains secteurs à l’est de la province (ex. : 30-50 mm en Gaspésie) (voir la carte des précipitations des sept derniers jours). Le vent a de nouveau soufflé avec vélocité sur certains secteurs, les 7 et 8 septembre, comme dans la région de Québec avec des rafales jusqu’à 65 km/h. Pour la période qui débute (13 au 19 septembre), selon Environnement Canada, des températures chaudes à très chaudes sont prévues partout au Québec, majoritairement sous le soleil, et sans précipitations. DÉVELOPPEMENT DE LA CULTURE Le défanage pour la récolte d’entreposage est terminé ou se poursuit selon la région et le producteur. Une sénescence accélérée ou naturelle dans des parcelles améliore l’efficacité du défanant utilisé.
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