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1170 documents disponibles
Mise à jour
11 décembre 2025
Ce court sondage a pour objectif de mieux comprendre comment vous utilisez l’agriculture numérique et de précision, que ce soit comme agriculteur dans la gestion de votre ferme ou comme conseiller dans l’accompagnement des producteurs. Il vise à cerner vos expériences, les défis que vous rencontrez ainsi que les types de
soutien et de formation qui pourraient vous être les plus utiles. Vos réponses permettront d’orienter le développement de programmes et de services mieux adaptés à vos besoins et à ceux du milieu agricole. Votre contribution est essentielle à cette démarche, et nous vous remercions de partager votre expérience, votre expertise et votre vision. Soyez assuré(e) que vos réponses resteront strictement confidentielles. À la suite de la complétion du formulaire, et tout à fait sur une base volontaire, nous vous offrons la possibilité de participer à une entrevue d’environ une heure afin d’approfondir certaines de vos réponses. Cette entrevue se déroulera par téléphone ou en visioconférence, selon votre préférence. En guise de remerciement pour votre temps, une compensation vous sera offerte
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21 novembre 2025
NEIGE PRÉCOCE : PLANIFIER LA RÉCOLTE DU MAÏS-GRAIN M.-E. Cuerrier1, B. Duval1, Y. Faucher1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ) Avec les sols saturés d’eau et la neige résiduelle, il est préférable de ne pas se précipiter pour la récolte : le sol ne supporte pas encore le poids des équipements et entrer maintenant
dans les champs risquerait de provoquer de la compaction, ce qui nuirait à la santé du sol l’année prochaine et qui aurait un effet sur le bon développement des cultures et leur résilience face aux différents aléas. Idéalement, il faudrait attendre que la neige fonde et que le sol gèle profondément, ce qui pourrait se produire au début ou à la mi-décembre, selon l’évolution des températures, des précipitations ainsi que des conditions propres à chaque région et à chaque champ. Conditions automnales difficiles Alors que le début de l’automne a été particulièrement clément et sec, les précipitations des dernières semaines ont détrempé les champs, rendant les chantiers de récolte difficiles. À cela s’ajoute l’arrivée hâtive (10 novembre) des premières bordées de neige qui sont demeurées au sol, compliquant les travaux dans plusieurs régions où la récolte du maïs-grain n’est pas terminée. Selon l'État des cultures, en date du 14 novembre, environ 70 % des superficies en maïs-grain avaient été récoltées à l’échelle du Québec. Les régions de la Montérégie, de la Mauricie, de Lanaudière, de l’Estrie, de la Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec comportent encore des superficies non récoltées dans une proportion variant de 10 à 70 %. Champ de maïs enneigé, Chaudière-Appalaches, 18 novembre 2025 Source : Colline Chih, agr., M. Sc. (OBV de la Côte-du-Sud) Scénarios possibles Avec les précipitations de pluie des dernières semaines et les épisodes de neige récents, les sols peuvent être saturés d’eau. Leur portance est réduite en raison de l’effet isolant de la couverture de neige et de la chaleur accumulée dans le sol.
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11 novembre 2025
L’amarante tuberculée est une mauvaise herbe très difficile à contrôler, considérée comme l’une des plus problématiques en agriculture. Elle a été détectée pour la première fois au Québec en 2017, en Montérégie-Ouest. Jusqu’en 2022, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides
(groupes 2, 5, 9, 14 et 27), incluant des cas de résistance à l’atrazine (groupe 5) et à la mésotrione (groupe 27), même lorsqu’ils sont appliqués en mélange. Certaines populations montrent une résistance à quatre groupes d’herbicides, ce qui complique leur gestion. La lutte intégrée repose sur une intervention rapide dès la détection, avec des stratégies adaptées au profil de résistance, déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ces derniers offrent l’avantage de fournir des résultats plus rapidement, mais nécessitent une connaissance préalable des mutations impliquées. Le projet visait à développer des méthodes moléculaires pour détecter rapidement la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test moléculaire pour le groupe 14 a été mis au point et transféré au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP-MAPAQ) en 2019. Depuis 2020, 114 tests ont été réalisés. Concernant la résistance à l’atrazine, elle serait liée à une augmentation de l’activité des glutathion-S-transférases, notamment le gène AtuGSTF2, identifié comme candidat principal. Des marqueurs moléculaires ont été développés et sont en cours de validation. Enfin, des études d’expression génique et une analyse GWAS (Genome Wide Association Study) ont permis d’identifier des gènes et régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance à la mésotrione.
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07 novembre 2025
L’amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus) est l’une des mauvaises herbes les plus difficiles à contrôler et a été détectée pour la première fois au Québec en 2017. Depuis, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides, et certaines à quatre groupes, incluant l’atrazine et
la mésotrione. Pour limiter sa propagation, il est essentiel de mettre en place rapidement des stratégies de lutte adaptées au profil de résistance, lequel peut être déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ce projet visait à développer des méthodes moléculaires rapides pour détecter la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test pour le groupe 14 a été créé et transféré au LEDP en 2019, et des marqueurs liés au gène AtuGSTF2, associé à la résistance à l’atrazine, sont en cours de validation. Pour la mésotrione, des analyses d’expression génique et une étude GWAS ont permis d’identifier des gènes et des régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance.
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06 novembre 2025
Ce projet a consisté à répondre à l’objectif principal qui vise à évaluer la capacité d’identifier par séquençage à haut débit (SHD) des organismes phytopathogènes bactériens et fongiques qui infectent des pommes de terre et des plantes en grandes cultures, et en cultures maraîchères. En partenariat avec le Laboratoire
d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) et le Laboratoire de phytopathologie du CEROM, nous avons obtenu et traité des échantillons provenant de nos partenaires entre 2019 et 2022. Nous avons validé les protocoles d’extraction d’acides nucléiques nécessaires selon le type d’échantillon, développé les protocoles de séquençage haut débit sur plateforme MiSeq et MinION (Livrable L3). Au total cinq systèmes de détection ont été retenus pour l’évaluation sur MiSeq et deux systèmes sur MinION. Des tests additionnels ont également permis d’évaluer l’approche NanoMiSeq permettant de soumettre moins d’échantillons en même temps à la phase de séquençage. Cette approche sera plus adaptée au débit analytique du LEDP en saison estivale. Nous avons de plus évalué une approche de préparation de librairie en une seule étape qui permet de réduire les coûts d’opération reliés à l’analyse par SHD. Nous avons également développé un nouvel outil informatique permettant de créer des bases de références taxonomiques en regroupant des séquences de plusieurs bases de données de référence publiques et selon le système d’amplification utilisé pour le SHD. Cet outil (ASVMaker) a été publié dans la revue « Plants » (Annexe 2-4). La base de données taxonomiques de référence spécifiques produite avec cet outil s’intègre dans notre stratégie de double identification (application pour les données obtenues par MiSeq et NanoMiSeq) Nos résultats montrent un fort potentiel des approches SHD pour identifier les genres pathogéniques ciblés (Livrable L2). Pour certains d’entre eux (essentiellement des genres fongiques), il est possible d’identifier des
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