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47 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
27 avril 2021
Vous avez le goût de produire des légumes en serre à l’automne? Voici cinq fiches techniques qui vous expliquent comment produire sur une courte période - soit de juillet à décembre - des concombres anglais, américain et libanais, des courgettes (appelés aussi zucchinis),
des épinards, des haricots jaunes, verts et fins ainsi que des laitues dans des serres chauffées sans éclairage. Cette collection comprend également la fiche sur les circuits courts et les marchés de proximité, gracieuseté des Producteurs en serre du Québec. Chaque fiche présente : les généralités de la culture; les choix de variétés; le calendrier de production; la conduite (semis et plantation, entretien et besoin de la culture : température, humidité, aération, lumière, pollinisation, fertilisation, irrigation); les principaux ravageurs et les méthodes de lutte; la récolte, l’emballage et la conservation; et les équipements utiles pour la production de la culture ciblée. Les fiches sont rédigées de façon succincte afin de rendre rapidement accessible l’information technique pour chaque culture. Un conseiller serricole pourra vous aider pour plus de précision. Une initiative du Comité cultures en serre du CRAAQ.
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16 juin 2020
État de la situation des cultures maraîchères en serre : Augmentation des niveaux de tétranyques dans plusieurs cultures comme le concombre, la tomate, le poivron et l’aubergine. La chrysomèle rayée du concombre, associée au flétrissement bactérien, mortelle et irréversible, est de plus en plus présente dans les serres.
Poursuivre la lutte préventive des thrips avec les agents de lutte biologique et suivre le marquage des fleurs de tomate pour la pollinisation. Premiers cas de chenilles (arpenteuse) sur tomate. En raison de la crise de la COVID-19, le Québec pourrait faire face à une perturbation de son approvisionnement d’équipements de protection individuelle (EPI) au cours de l’été 2020, laquelle perturbation pourrait mener à une pénurie. En toute circonstance, le respect des étiquettes des pesticides et le port d’EPI approprié sont obligatoires (article 36 du Code de gestion des pesticides). La meilleure protection contre l’exposition aux pesticides est de porter un équipement de protection individuelle. Si vous n’êtes pas en mesure de vous procurer un EPI : Ne pas appliquer de pesticides sans les EPI appropriés. Assurez-vous de porter les protections prescrites sur l’étiquette. Si possible, retardez les applications jusqu’à l’obtention des bons EPI. Utilisez des produits à moindre risque pour la santé (consultez SAgE pesticides) pour connaître les IRS des produits) ou pensez aux solutions de rechange. Utilisez, s’il y a lieu, des pesticides qui pourraient être appliqués avec des EPI actuellement disponibles ou réutilisables, comme des gants lavables et réutilisables. Advenant un manque dans l’approvisionnement des EPI, veuillez contacter votre fédération régionale de l’UPA pour les informer de la situation. Des démarches sont en cours pour assurer la disponibilité des équipements. TÉTRANYQUE À DEUX POINTS L'acarien prédateur Phytoseiulus persimilis n'a besoin que de tétranyques et d'humidité pour bien travailler Liette Lambert,
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23 juillet 2025
STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA CHRYSOMÈLE RAYÉE DU CONCOMBRE EN SERRE De nombreux cas de flétrissement bactérien causé par Erwinia tracheiphila, transmis par la chrysomèle rayée du concombre (Acalymma vittatum), ont été signalés ces dernières semaines dans les serres. Cet insecte est le principal vecteur de la bactérie
responsable de cette maladie. Une fois la plante infectée, la maladie progresse rapidement, compromettant la production et entraînant des pertes de rendement importantes (voir photos 1 et 2). Photos 1 et 2. Plants de concombres présentant des symptômes de flétrissement bactérien Source : C. Baez, agr. Les adultes de la chrysomèle rayée du concombre causent également des dommages aux feuilles, aux tiges et aux fleurs des plants de concombre. Ils provoquent aussi des blessures superficielles sur l’épiderme des fruits, ce qui réduit leur attractivité (photos 3 et 4). Par ailleurs, leurs larves, qui vivent dans le sol, s’attaquent aux racines, affaiblissant le système racinaire et rendant les plantes plus vulnérables à d’autres maladies, notamment la fusariose vasculaire (Fusarium oxysporum sp.). Photos 3 et 4. Dommages aux fleurs et aux fruits causés par la chrysomèle rayée du concombre Source : C. Baez, agr. Aucun insecticide ni bio-insecticide n’est actuellement homologué contre la chrysomèle dans les serres de concombres, ce qui rend les mesures préventives essentielles pour limiter les pertes. L’installation de filets sur les côtés ouvrants et les entrées d’air constitue une stratégie de base incontournable pour empêcher l’entrée de l'insecte. Cependant, malgré la présence de ces filets, de nombreuses serres connaissent chaque saison d’importantes infestations. Dans la majorité des cas, les chrysomèles pénètrent par de petits trous causés par l’usure, ou par des portes mal fermées ou laissées ouvertes. Une fois à l’intérieur, elles se multiplient rapidement grâce aux conditions favorables qu’elles y trouvent, ce qui
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