Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Cain Lamarre
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF)
- Desjardins
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- La Terre de chez nous
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Réseau des fermiers·ères de famille
- Réseau québécois de recherche en agriculture durable (RQRAD)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
163 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
30 juillet 2025
PREMIER CAS DE MILDIOU DÉTECTÉ DANS LA TOMATE DANS UNE SERRE DU CENTRE-DU-QUÉBEC Un premier cas de mildiou de la pomme de terre, causé par le pathogène Phytophthora infestans, a été détecté dans une serre individuelle en culture biologique, qui n’avait pas d’antécédant de cette maladie. Des problèmes de ventilation et
d’irrigation ont créé un environnement chaud et humide, favorable au développement de la maladie. L’infestation semble être à ses débuts car seulement les feuilles basales étaient atteintes, pas les tiges ni les fruits. Le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ a confirmé l’identification de la maladie dans cette serre; c'est la souche US-23 qui est identifiée dans cet échantillon. Le mildiou représente une menace majeure pour les cultures de solanacées, notamment la tomate et la pomme de terre, qui sont particulièrement vulnérables. Cette maladie se diffuse rapidement et peut détruire les plants en très peu de temps. En serre, elle peut également toucher les poivrons et les aubergines. Les producteurs du Centre-du-Québec, région où a été détecté ce premier cas, sont invités à être d’autant plus vigilants, mais la maladie pourrait se propager dans d’autres régions, puisque les spores peuvent être transportés par le vent sur de grandes distances. ASPECT RÉGLEMENTAIRE Cette maladie est visée par la Loi sur la protection sanitaire des cultures et le Réglement sur la culture de pommes de terre qui stipulent que, lorsque la présence du mildiou est confirmée ou qu’un indice de cette présence est constaté, les plants infectés doivent être détruits et des mesures doivent être prises pour éviter la propagation de la maladie, notamment l’application de fongicides homologués. La maladie n’est pas à déclaration obligatoire, sauf dans les zones de cultures protégées mises en place dans certaines municipalités des régions suivantes : Bas-Saint-Laurent, Saguenay–Lac-Saint-Jean, Côte-Nord et Nord-du-Québec SYMPTÔMES
Lire la suite
23 juin 2025
CAS RAPPORTÉS DE CHRYSODEIXIS INCLUDENS DANS DES SERRES DE TOMATES Le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en photoprotection (LEDP) du MAPAQ a récemment identifié des spécimens appartenant à l’espèce Chrysodeixis includens, provenant de trois serres de tomates. Les échantillons ont été envoyés entre avril et le début
juin. Les entreprises concernées sont des serres en activité continue suivant une régie conventionnelle. Les larves de cette espèce sont polyphages et peuvent endommager plusieurs familles de cultures cultivées en serre, notamment les solanacées (tomate, poivron, etc.), les brassicacées (chou, chou-fleur, etc.) et les fabacées (haricot, pois, soya, etc.). Toutefois, c'est le soya qui constitue leur hôte de prédilection, d’où leur nom commun en anglais : Soybean looper. Puisque cet insecte n’est pas en mesure de survivre à l’hiver québécois, il est probable que les spécimens retrouvés soient issus de papillons s’étant introduits dans les serres à l’automne. Cette espèce est connue pour avoir développé de la résistance à plusieurs insecticides et il n’y a aucun insecticide homologué pour la contrôler. Les filets d’exclusion constituent toujours la méthode de lutte la plus efficace contre ce ravageur. Il est également recommandé, lorsque cela est possible, d’effectuer une élimination manuelle de tous les individus présents, y compris les formes adultes (voir les photos ci-dessous présentant les différents stades de développement). Larves de Chrysodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Chrysalides de Chrosodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Adulte et oeuf de Chrysodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Un traitement inefficace contre une infestation présumée de la fausse-arpenteuse du chou (Trichoplusia ni) peut être le signe qu’il s’agit en réalité de Chrysodeixis includens, puisque les larves des deux espèces se ressemblent fortement
Lire la suite
18 juin 2024
Les stratégies de lutte contre le mildiou peuvent être nombreuses. Il y a aussi les nombreux imprévus qui peuvent surgir comme plusieurs ont connus en 2023 (fréquence des précipitations, entrée au champ difficile, disponibilité des produits, etc.). Mme Surdek explique qu'il est important de comprendre le niveau de risque
atteint afin d’utiliser la meilleure stratégie. Document de la conférence présentée lors de la série de webinaires Lutte contre le mildiou de la pomme de terre en mars 2024. Cette conférence est également displonible en vidéo. Une initiative du Comité pomme de terre du CRAAQ et du MAPAQ.
Lire la suite
11 août 2023
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) souhaite vous informer de la présence dans plusieurs régions du Québec de la maladie du mildiou (Phytophthora infestans), affectant les productions de pommes de terre et de tomates. Cette maladie très agressive peut causer des pertes économiques
importantes pour les producteurs agricoles. Les structures qui permettent à cet organisme de se reproduire (spores) sont facilement transportées par le vent et peuvent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres, propageant ainsi la maladie. Celle-ci se développe rapidement et les plantes atteintes peuvent être détruites en quelques jours. En raison de ce risque, le mildiou est donc l’affaire de tous. Sa présence doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ si elle est détectée dans une zone de culture protégée (i.e. Bas-Saint-Laurent et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Dans toutes les régions, c’est une maladie réglementée : des mesures doivent être prises pour éviter sa propagation et détruire les végétaux infectés. Le mildiou ne pose pas de risque pour la consommation humaine : les tubercules de pommes de terre et les tomates issus de plantes infectées peuvent être consommés sans danger. Toutefois, pour éviter la propagation de la maladie, les tubercules récoltés dans les jardins ne doivent pas être entreposés pour une longue période ou replantés l’année prochaine. Voici le document d’information du MAPAQ. Pour toute question à cet effet, nous vous invitons à communiquer avec votre direction régionale du MAPAQ.
Lire la suite
15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024
ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se
Lire la suite
09 juin 2022
Insecticides homologués en 2022. Météo et situation actuelle. Premières observations de pucerons (tomate, poivron et aubergine). La taille des drageons dans la tomate peut limiter les infections bactériennes (chancre et moucheture). Doryphore de la pomme de terre dans l'aubergine : dépistage et seuils d'intervention.
Cultures intercalaires. INSECTICIDES Le bulletin d'information N° 1 Principaux insecticides homologués pour les solanacées en 2022 a été publié le mardi 7 juin 2022. MÉTÉO et SITUATION ACTUELLE Les plantations sont bien avancées dans l’ensemble de la province. Les températures sont plus près des normales. Nous sommes loin des canicules des dernières années! Dans la dernière semaine, tout le Québec a reçu au moins 25 mm de pluie, sauf le Bas-Saint-Laurent, les Laurentides et l’est de la Montérégie. Les réserves d’eau sont, pour la plupart, rechargées. Il y a également eu quelques épisodes de grêle isolés. Pour plus de détails sur les précipitations et degrés-jours accumulés, vous pouvez consulter le sommaire agrométéorologique solanacées (1er au 7 juin 2022). Les bonnes conditions du sol lors des plantations sont un atout précieux pour la poursuite de la saison. Les racines pourront mieux se développer dans des sols qui n’ont pas été compactés par les excès de pluie comme c’est parfois le cas au printemps. Un système racinaire vigoureux est le meilleur atout pour optimiser la production des légumes-fruits qui se récoltent sur une longue période. Ensuite, il faudra veiller à ce que l’irrigation soit fournie en quantité suffisante et aux bons moments. On peut cependant dire que les plants partent du bon pied! TOMATE On observe une belle reprise des plants sur l’ensemble des régions. Quelques présences de pucerons ailés ont été signalées, mais les pucerons sont rarement préoccupants dans la tomate en champ. À la suite des précipitations régulières, un premier traitement préventif de
Lire la suite
1 à 10 sur 163
