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29 août 2024
Chrysomèle du haricot dans le soya : faibles populations et peu de dommages aux gousses. Chrysomèle des racines du maïs : peu de sites dépassent les seuils en 2024, commencez à planifier la saison 2025. Maïs : évaluation de la santé des tiges à l’automne et dépistage des maladies. Gestion des mauvaises
herbes en prérécolte du soya. CHRYSOMÈLE DU HARICOT DANS LE SOYA : FAIBLES POPULATIONS ET PEU DE DOMMAGES AUX GOUSSES Pulication originale (2023) : S. Boquel2, V. Samson1 et M.-É. Cuerrier1 Révision 2024 : S. Boquel2, J. Saguez2 et B. Duval1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM) Les résultats de dépistage de la chrysomèle du haricot réalisé dans des champs de soya de la Montérégie-Est et Ouest et du Centre-du-Québec montrent de faibles populations du ravageur et peu de dommages aux gousses. En effet, les populations de chrysomèles varient de 0 à 6 individus par coup de filet dans les champs suivis récemment. Les dommages aux gousses (Photo 1) sont également faibles avec un maximum de 3 % de gousses endommagées. C’est aux sites de Saint-Urbain-Premier (6 individus par coup de filet) et de Saint-Denis-sur-Richelieu (3 % de gousses endommagées), que les valeurs maximales ont été atteintes. Toutefois, ces valeurs restent en dessous des seuils d’intervention proposés par l’Université de Purdue (voir le tableau ci-dessous). Le suivi de l’évolution des populations et des gousses endommagées est tout de même suggéré dans les champs de ces deux secteurs. Seuils d'intervention en fonction des dommages aux gousses, du nombre de chrysomèles actives dans le champ et de la maturité des gousses entre les stades R5 et R7 du soya Nombre moyen de chrysomèles du haricot par coup de filet dans du soya semé aux 30 pouces (7 pouces)* Dommages aux gousses Moins de 4 (3) 4 (3) à 7 (5) Plus de 7 (5) 0 à 8 % Interrompre le dépistage Dépister à nouveau 5 jours plus tard Intervenir (préventif) si les gousses sont encore
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29 août 2024
La dernière période est à nouveau marquée par une alternance de temps chaud et frais. Les dommages aux cultures induits par l'accumulation d'eau et l'assèchement ralenti des sols demeurent nombreux. Les conditions sont propices à la progression des maladies. Plusieurs ravageurs sont actifs, mais généralement contrôlés.
ÉTAT GÉNÉRAL DES CULTURES La dernière période a été marquée par une fluctuation des températures. Les conditions de sol demeurent humides, ce qui nuit au sain développement des plants de même qu'aux opérations au champ. Les conditions pédoclimatiques actuelles demeurent propices au développement de plusieurs maladies. En effet, la présence d'eau libre sur les feuilles est favorable à la propagation des maladies bactériennes telles que la pourriture molle bactérienne, la tache bactérienne et la nervation noire. Du côté des maladies fongiques, les taches alternariennes causent des pertes à la récolte, notamment dans le brocoli et le chou-fleur dont l'inflorescence est affectée. Également, les conditions fraîches sont propices aux infections et au développement du mildiou, de la pourriture sclérotique et des maladies racinaires (Rhizoctonia sp., Fusarium sp., Pythium sp., hernie des crucifères). La rouille blanche (Albugo candida) cause des dommages dans le navet (rabiole) dans Lanaudière. Cette maladie, qui est peu documentée au Québec, peut causer des dommages sévères dans les crucifères-racines puisqu'une progression rapide des symptômes peut provoquer un arrêt de croissance au niveau de la racine tubéreuse. Les symptômes, pouvant être confondus au mildiou, correspondent à des taches jaunâtres sur la face supérieure des feuilles et à la présence de pustules blanches sur la face inférieure. Lors d'une infection plus sévère, les jeunes feuilles sont d'apparence tordue. INSECTES RAVAGEURS Les thrips sont à surveiller dans les champs de choux près du stade pommaison
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29 août 2024
Premiers cas de mildiou de la tomate. Les conditions sont propices au mildiou, l'assiduité dans la régie préventive doit être maintenue. Hausse des maladies fongiques. Insectes moins actifs. Fendillement des fruits. CONDITIONS MÉTÉO ET SITUATION ACTUELLE La fraîcheur de la période précédente s'est poursuivie
jusqu’à jeudi, suivi par un retour des températures plus estivales la fin de semaine dernière. Les importantes rosées ont été propices au développement des maladies, dont le mildiou. Les précipitations ont été moins abondantes, sauf dans certains secteurs en Montérégie et au Centre-du-Québec, où des orages très localisés ont amené jusqu’à 77 mm de pluie. Les récoltes se poursuivent; les plantations les plus hâtives commencent toutefois à être fatiguées. Voici les liens d'Agrométéo Québec pour cette semaine : Précipitations des sept derniers jours Sommaire Cucurbitacées/Solanacées TOMATE Maladies Mildiou (Phytophthora infestans) Deux premiers cas de mildiou ont été déclarés dans la tomate en Montérégie. Il s’agit des premiers cas confirmés dans cette culture pour la saison. Ces foyers (de quelques plants seulement) ont immédiatement été détruits. Comme les conditions sont propices au développement du mildiou avec les rosées qui entraînent de longues périodes de mouillure du feuillage, un dépistage fréquent est essentiel. Les règles de biosécurité doivent également être respectées pour limiter la propagation. S’il y a présence de mildiou dans l’environnement immédiat, il est recommandé d'augmenter la fréquence des traitements aux 5 à 7 jours. Veuillez consulter l’alerte N° 1 du 14 août 2024 pour les conditions propices et les interventions recommandées. Si le mildiou est détecté, il est essentiel de détruire les plants et d’en disposer de façon sécuritaire; consultez la fiche technique pour plus d’information sur la réglementation, la destruction
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29 août 2024
Températures fluctuantes, généralement plus froides. Trop de pluie par endroits. Aucune capture de charançon, mais dommages constatés. Captures de mouche de la carotte sous les seuils de traitements. Autres insectes en diminution dans la carotte. Insectes dans le céleri : hausse de l'activité des punaises sans traitement,
activité faible des autres insectes. Maladies dans la carotte : tache cercosporéenne en hausse, Alternaria rapportée, présence de Pythium, pourriture bactérienne et pourriture molle. Maladies dans le céleri : brûlure cercosporéenne, Septoria, anthracnose, Sclerotinia, cœur noir et carence en bore. RÉSUMÉ MÉTÉOROLOGIQUE ET RISQUES ASSOCIÉS Les températures ont été fluctuantes durant la période du 21 au 27 août. Plusieurs régions ont connu une alternance de jours et de nuits sous les normales de saison avec des températures près ou au-dessus des normales le jour et dans les normales la nuit. Le rafraîchissement observé engendre un ralentissement de la croissance des cultures par endroits. Les précipitations reçues en début de période sur un sol saturé d’eau dans Lanaudière et en Montérégie ont eu des impacts négatifs. De l’asphyxie racinaire est observée dans plusieurs cultures. De plus, les opérations telles les récoltes et les traitements phytosanitaires ont pris du retard par endroits. Les précipitations ont été moins abondantes dans les régions plus à l’est, voir la carte des précipitations pour un portrait complet. AVANCEMENT DES SEMIS ET DES PLANTATIONS Carotte En Montérégie-Ouest, les derniers semis sont au stade de 5-6 feuilles. Dans toutes les régions, la récolte se poursuit pour les carottes les plus avancées lorsque c’est possible. En général, la croissance est bonne et les récoltes sont de belle qualité. Dans Montréal-Laval-Lanaudière, on observe des pertes de l’ordre de 1 à 20 % des superficies dû aux excès d'eau (inondation) qui ont fait pourrir les racines. Céleri (Montérégie-Ouest seulement)
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29 août 2024
Températures fluctuantes, généralement plus froides. Trop de pluie par endroits. Populations de punaises sous contrôle ou en diminution. Activité des pucerons stable ou en diminution. Activité des autres insectes faible. Augmentation des maladies de sol (sauf moisissure grise) et du mildiou. Présence variable de la tache
bactérienne, augmentation des cas de pourriture bactérienne. RÉSUMÉ CLIMATIQUE ET RISQUES ASSOCIÉS Les températures ont été fluctuantes pendant la période du 21 au 27 août. Plusieurs régions ont connu une alternance de jours et de nuits sous les normales de saison avec des températures près ou au-dessus des normales le jour et dans les normales la nuit. Le rafraîchissement observé engendre un ralentissement de la croissance des cultures par endroits. Les précipitations reçues en début de période sur un sol saturé d’eau dans Lanaudière et en Montérégie ont eu des impacts négatifs. De l’asphyxie racinaire est observée dans plusieurs cultures. De plus, les opérations telles les récoltes et les traitements phytosanitaires ont pris du retard par endroits. Les précipitations ont été moins abondantes dans les régions plus à l’est, voir la carte des précipitations pour un portrait complet. AVANCEMENT DES TRAVAUX Les récoltes sont de bonne qualité dans la Capitale-Nationale, en Chaudière-Appalaches et en Montérégie-Ouest. Les plantations s’achèvent en Montérégie. On rapporte des dommages par asphyxie racinaire dus à l’excès d’eau dans quelques champs de laitue en Montérégie-Ouest. INSECTES Punaises Les punaises sont sous contrôle dans la Capitale-Nationale et en baisse en Chaudière-Appalaches. Dans Montréal-Laval-Lanaudière, elles sont faibles, mais des traitements ont été faits selon la pression du ravageur. En Montérégie, l’activité des punaises est variable selon les champs, mais elle demeure en diminution de manière générale. Des traitements ont été effectués là où les pressions étaient importantes.
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29 août 2024
Températures fluctuantes, généralement plus froides. Trop de pluie par endroits. Thrips : diminution des populations dans l'oignon et l'échalote non récoltée, quelques traitements nécessaires. Fin de la troisième génération pour plusieurs régions sauf les plus froides. Captures à la hausse par endroits. Botrytis en
diminution par endroits, en légère augmentation ailleurs. Mildiou : présence variable. Augmentation de la tache pourpre dans le poireau, stable dans l'oignon. Brûlure stemphylienne stable. RÉSUMÉ CLIMATIQUE ET RISQUES ASSOCIÉS Les températures ont été fluctuantes pendant la période du 21 au 27 août. Plusieurs régions ont connu une alternance de jours et de nuits sous les normales de saison avec des températures près ou au-dessus des normales le jour et dans les normales la nuit. Le rafraîchissement observé engendre un ralentissement de la croissance des cultures par endroits. Les précipitations reçues en début de période sur un sol saturé d’eau dans Lanaudière et en Montérégie ont eu des impacts négatifs. De l’asphyxie racinaire est observée dans plusieurs cultures. De plus, les opérations telles les récoltes et les traitements phytosanitaires ont pris du retard par endroits. Les précipitations ont été moins abondantes dans les régions plus à l’est, voir la carte des précipitations pour un portrait complet. AVANCEMENT DES SEMIS ET DES PLANTATIONS Oignon Dans toutes les régions, les récoltes se poursuivent et s'achèvent. Les calibres sont de bonne qualité chez la plupart des producteurs. Les derniers semis des oignons verts sont faits. Dans la Capitale-Nationale et en Chaudière-Appalaches, on observe la sénescence graduelle du feuillage des oignons semés, ils ont commencé à coucher et les calibres sont bons. Poireau Les récoltes se poursuivent. INSECTES Thrips En Montérégie-Ouest, dans l’ail planté au printemps dont le feuillage est encore vert, une hausse importante des thrips nécessitant des traitements dans certains
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29 août 2024
Ver de l’épi : augmentation des captures de papillons dans la dernière semaine; le piégeage des papillons est recommandé dans les champs à risque. Autres ravageurs et problèmes phytosanitaires : la situation demeure calme. VER DE L’ÉPI Au cours des deux dernières semaines, des captures de papillons
faibles à moyennes ont été enregistrées sur 27 sites répartis sur la majorité du territoire. Aucun dommage à la récolte n'a été rapporté durant cette période. Des interventions sont réalisées sur plusieurs sites avec semis tardifs en soies fraîches. Le piégeage des papillons avec un piège à phéromone sur chaque ferme est fortement recommandé dans les champs avec soies fraîches puisque les papillons pondent leurs œufs sur les soies qui sont émergées ou qui émergeront dans les 10 jours suivant les captures. Le tableau suivant, extrait de la fiche technique Le ver de l’épi du maïs, présente les intervalles de traitements en fonction du nombre de papillons capturés et des températures maximales journalières. La fréquence des pulvérisations est plus élevée par temps chaud, car certains insecticides (ex. : pyréthrinoïdes) se dégradent plus rapidement dans ces conditions. Également, le développement des larves et du maïs sucré est accéléré avec une augmentation des températures. Pour connaître les traitements homologués, cliquez ici. . Papillon et larves du ver de l’épi Photo : Yves Auger, agr. (MAPAQ) AUTRES RAVAGEURS ET PROBLÈMES PHYTOSANITAIRES Le nombre de captures de papillons de légionnaire d’automne est en hausse. Cependant, peu de dommages au champ sont rapportés. Les captures du ver-gris occidental des haricots (VGOH) sont encore à la baisse dans toutes les régions et aucune nouvelle masse d’œufs ou de jeunes larves n'est rapportée ainsi qu'aucun dommage à la récolte. Quant à la pyrale du maïs, les captures de la 2e génération de la bivoltine se poursuivent sur 5 sites. Les populations demeurent faibles et peu
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE COURCY Plusieurs familles de la région sont originaires de Normandie et celle dont il est question aujourd’hui ne fait pas exception. Nicolas Lemière dit Courcy, fils de Nicolas et de Marie-Anne Hélaine, épouse, le 11 novembre 1749 à Rivière-Ouelle, Louise-Geneviève
Dubé, fille d’Alexandre et de Jeanne-Marguerite Lévesque. La famille demeure principalement à Sainte-Anne-de-la-Pocatière où naît la majorité des enfants. Décédant subitement à Kamouraska, Nicolas y est inhumé le 26 août 1798. On indique qu’il avait 81 ans. Sa veuve sera portée en terre à Sainte-Anne-de-la-Pocatière le 28 mai 1809 à l’âge de 79 ans. Parmi les trois fils du couple qui assureront la perpétuation du nom se trouve Jean-Benoit (1778-1859) ancêtre de Pantaléon Courcy que l’on voit sur la photo avec son épouse Exilda D’Anjou et leurs enfants au début des années 1910. Cette famille demeurait à Saint-Pacôme, Pantaléon y exerçant les métiers de cordonnier et de menuisier. SAVIEZ-VOUS QUE? La famille Lemière était originaire de la paroisse de Courcy, du diocèse de Coutances en Normandie, d’où le surnom transmis aux générations suivantes.
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE LANGLAIS C'est une belle et grande famille qui prend la pose devant le photographe il y a de cela presque 100 ans. Cette famille est celle de Philippe Langlais et Adèle Jean mariés le 18 juin 1906 à Saint-Philippe-de-Néri. Les plus physionomistes auront
reconnu, à l'avant, au centre, le petit Maurice (1921-2009) qui sera ordonné prêtre en 1949 et qui sera notamment curé à Saint-Mathieu de Montmagny et Mont-Carmel. SAVIEZ-VOUS QUE? Les familles Langlais de la région ne portaient pas ce nom à l’origine. Elles descendent de Daniel Sargent, originaire du village de Worcester, au Massachusetts. Pris en captivité lors d’un raid et établi à Rivière-Ouelle, il sera connu sous le nom de Louis-Philippe Langlais. Il épousera Marguerite Lavoie en 1718 et plusieurs descendants du couple sont bien présents dans la région. Des notes généalogiques concernant cette famille à l’histoire particulière (et bien d'autres) sont conservées et accessibles aux Archives de la Côte-du-Sud à La Pocatère.
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE LAVOIE René Lavoie, fils de René et Isabeau Bélanger, est baptisé le 28 novembre 1628 à Saint-Maclou de Rouen, en Normandie. Comme quelques-uns de ses congénères, il s’embarque pour la Nouvelle-France et épouse Anne Godin à Québec en 1656. Il est inhumé
en 1696 à Château-Richer. Anne Godin, décédée à Sainte-Anne-de-Beaupré en 1678, avait été baptisée au temple protestant à La Rochelle le 18 octobre 1639. Ce sera leur fils Jean, marié à Marie-Madeleine Boucher en 1688 à Rivière-Ouelle qui assurera une nombreuse descendance à René et Anne sur la Côte-du-Sud. Au fil des ans les membres de la famille émigreront à leur tour un peu partout au Québec, au Canada et aux États-Unis. C’est ce qui est arrivé avec la famille de François Lavoie de Lawrence, au Massachusetts (photographie jointe) dont la fille, Exilia a épousé en 1913 Eugène Lévesque, fils de Joseph Lévesque et Oliva Bouchard, originaire de Saint-Bruno de Kamouraska.
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