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30 juillet 2025
PREMIER CAS DE MILDIOU DÉTECTÉ DANS LA TOMATE DANS UNE SERRE DU CENTRE-DU-QUÉBEC Un premier cas de mildiou de la pomme de terre, causé par le pathogène Phytophthora infestans, a été détecté dans une serre individuelle en culture biologique, qui n’avait pas d’antécédant de cette maladie. Des problèmes de ventilation et
d’irrigation ont créé un environnement chaud et humide, favorable au développement de la maladie. L’infestation semble être à ses débuts car seulement les feuilles basales étaient atteintes, pas les tiges ni les fruits. Le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ a confirmé l’identification de la maladie dans cette serre; c'est la souche US-23 qui est identifiée dans cet échantillon. Le mildiou représente une menace majeure pour les cultures de solanacées, notamment la tomate et la pomme de terre, qui sont particulièrement vulnérables. Cette maladie se diffuse rapidement et peut détruire les plants en très peu de temps. En serre, elle peut également toucher les poivrons et les aubergines. Les producteurs du Centre-du-Québec, région où a été détecté ce premier cas, sont invités à être d’autant plus vigilants, mais la maladie pourrait se propager dans d’autres régions, puisque les spores peuvent être transportés par le vent sur de grandes distances. ASPECT RÉGLEMENTAIRE Cette maladie est visée par la Loi sur la protection sanitaire des cultures et le Réglement sur la culture de pommes de terre qui stipulent que, lorsque la présence du mildiou est confirmée ou qu’un indice de cette présence est constaté, les plants infectés doivent être détruits et des mesures doivent être prises pour éviter la propagation de la maladie, notamment l’application de fongicides homologués. La maladie n’est pas à déclaration obligatoire, sauf dans les zones de cultures protégées mises en place dans certaines municipalités des régions suivantes : Bas-Saint-Laurent, Saguenay–Lac-Saint-Jean, Côte-Nord et Nord-du-Québec SYMPTÔMES
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23 juin 2025
CAS RAPPORTÉS DE CHRYSODEIXIS INCLUDENS DANS DES SERRES DE TOMATES Le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en photoprotection (LEDP) du MAPAQ a récemment identifié des spécimens appartenant à l’espèce Chrysodeixis includens, provenant de trois serres de tomates. Les échantillons ont été envoyés entre avril et le début
juin. Les entreprises concernées sont des serres en activité continue suivant une régie conventionnelle. Les larves de cette espèce sont polyphages et peuvent endommager plusieurs familles de cultures cultivées en serre, notamment les solanacées (tomate, poivron, etc.), les brassicacées (chou, chou-fleur, etc.) et les fabacées (haricot, pois, soya, etc.). Toutefois, c'est le soya qui constitue leur hôte de prédilection, d’où leur nom commun en anglais : Soybean looper. Puisque cet insecte n’est pas en mesure de survivre à l’hiver québécois, il est probable que les spécimens retrouvés soient issus de papillons s’étant introduits dans les serres à l’automne. Cette espèce est connue pour avoir développé de la résistance à plusieurs insecticides et il n’y a aucun insecticide homologué pour la contrôler. Les filets d’exclusion constituent toujours la méthode de lutte la plus efficace contre ce ravageur. Il est également recommandé, lorsque cela est possible, d’effectuer une élimination manuelle de tous les individus présents, y compris les formes adultes (voir les photos ci-dessous présentant les différents stades de développement). Larves de Chrysodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Chrysalides de Chrosodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Adulte et oeuf de Chrysodeixis includens Photos : Joseph Moisan-De Serres (MAPAQ) Un traitement inefficace contre une infestation présumée de la fausse-arpenteuse du chou (Trichoplusia ni) peut être le signe qu’il s’agit en réalité de Chrysodeixis includens, puisque les larves des deux espèces se ressemblent fortement
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24 avril 2024
La prévention du mildiou dans les tomates de champ. PRÉVENTION DU MILDIOU DANS LES TOMATES DE CHAMP, PRINTEMPS 2024 En 2023, plusieurs cas de mildiou, maladie causée par l'oomycète Phytophthora infestans, ont été recensés au Québec. Ces cas ont été retrouvés autant dans des cultures de tomates que de pommes
de terre. Dans la tomate, la maladie a été diagnostiquée dans les champs et les cultures abritées (tunnels et serres) autant en régie conventionnelle que biologique. Le mildiou est une maladie extrêmement destructrice et plusieurs efforts sont déployés chaque année pour détecter son apparition et surveiller sa progression. Des échantillons peuvent être analysés par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) pour déterminer le génotype présent. En 2023, c'est le génotype US-23 qui a été trouvé dans tous les échantillons analysés. En 2016, Frost et al. démontraient que le génotype US-23 survit plus longtemps sur des semences de tomates infectées que d’autres génotypes à des températures entre -3 et 4 °C. Cela veut dire que des tissus infectés par cet oomycète en 2023 et qui ont été enfouis au champ ou laissés dans une serre, même non chauffée et faiblement isolée, pourraient être encore viables en 2024. L'organisme survivrait uniquement sur du tissu végétal vivant, comme les semences de fruits contaminés tombés au sol et enfouis dans la couche superficielle du sol. Le mildiou pourrait également avoir survécu sur des pommes de terre, soit dans des piles de rebuts ou dans des tubercules laissés au champ et qui germeront au printemps. Il pourrait donc y avoir des foyers d'infestation plus tôt qu’à l’habitude. Au début avril, un premier cas a d’ailleurs été déclaré dans l’État de New York dans la tomate en grand tunnel. Soyez particulièrement vigilant si vos cultures de tomates ou de pommes de terre, ou les cultures avoisinantes, ont été atteintes de mildiou en 2023. La vigilance est tout de même de
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18 juin 2024
Les stratégies de lutte contre le mildiou peuvent être nombreuses. Il y a aussi les nombreux imprévus qui peuvent surgir comme plusieurs ont connus en 2023 (fréquence des précipitations, entrée au champ difficile, disponibilité des produits, etc.). Mme Surdek explique qu'il est important de comprendre le niveau de risque
atteint afin d’utiliser la meilleure stratégie. Document de la conférence présentée lors de la série de webinaires Lutte contre le mildiou de la pomme de terre en mars 2024. Cette conférence est également displonible en vidéo. Une initiative du Comité pomme de terre du CRAAQ et du MAPAQ.
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06 juin 2024
Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) est une préoccupation majeure pour les producteurs de tomates au Québec et à travers la planète. Le CRAM a initié, au cours de l’hiver 2023, une enquête auprès des producteurs en serre au Québec afin d’évaluer l’ampleur de la problématique et d'identifier les facteurs
de risques pour ainsi mieux outiller les producteurs face à cette nouvelle problématique phytosanitaire. Les résultats préliminaires seront présentés. Cette présentation a été présentée lors du Colloque maraîcher en serre 2023. Une initiative du Comité cultures en serre.
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11 août 2023
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) souhaite vous informer de la présence dans plusieurs régions du Québec de la maladie du mildiou (Phytophthora infestans), affectant les productions de pommes de terre et de tomates. Cette maladie très agressive peut causer des pertes économiques
importantes pour les producteurs agricoles. Les structures qui permettent à cet organisme de se reproduire (spores) sont facilement transportées par le vent et peuvent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres, propageant ainsi la maladie. Celle-ci se développe rapidement et les plantes atteintes peuvent être détruites en quelques jours. En raison de ce risque, le mildiou est donc l’affaire de tous. Sa présence doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ si elle est détectée dans une zone de culture protégée (i.e. Bas-Saint-Laurent et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Dans toutes les régions, c’est une maladie réglementée : des mesures doivent être prises pour éviter sa propagation et détruire les végétaux infectés. Le mildiou ne pose pas de risque pour la consommation humaine : les tubercules de pommes de terre et les tomates issus de plantes infectées peuvent être consommés sans danger. Toutefois, pour éviter la propagation de la maladie, les tubercules récoltés dans les jardins ne doivent pas être entreposés pour une longue période ou replantés l’année prochaine. Voici le document d’information du MAPAQ. Pour toute question à cet effet, nous vous invitons à communiquer avec votre direction régionale du MAPAQ.
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