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Grandes cultures, Avertissement No 26, 26 septembre 2025
26 septembre 2025
NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : C'EST LE BON MOMENT DE FAIRE ANALYSER LE SOL POUR LE DÉTECTER Publication originale 2023 : I. Fréchette3, B. Duval1 et V. Samson1 Mise à jour 2025 : A. Dionne2, C. Rieux1, V. Samson1, S. Chaussé3 et M. St-Laurent1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ); 3 Professionnel de recherche (CÉROM) Le nématode à kyste du soya (NKS) est actuellement la plus grande menace pour la culture du soya à l’échelle mondiale : impossible à éradiquer, il peut entraîner jusqu’à 30 % de pertes de rendements sans symptômes apparents. Heureusement, il est possible de le contrôler à l’aide de bonnes pratiques agronomiques. Encore faut-il faire analyser les sols selon un protocole précis pour identifier quels champs sont atteints. La période idéale pour dépister le NKS est à l’atteinte de la maturité du soya ou tout juste après sa récolte. C’est à ce moment que les densités de kystes sont les plus élevées et qu’il est le plus probable de détecter leur présence dans un champ. La technique d’échantillonnage consiste à échantillonner 25 prélèvements de sol à l’aide d’une sonde ou d’une tarière en s’assurant d’introduire l’outil de biais dans la zone racinaire. Puis, il suffit de mélanger les prélèvements, de prélever 1 litre de ce mélange de sol/racines et de l’envoyer au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ (accéder au formulaire de demande d’analyse). Si le NKS est détecté, la meilleure stratégie consiste à effectuer une rotation avec des cultures ne pouvant pas être infectées, comme le maïs ou le blé. Lorsque les populations ne sont pas trop élevées, il est également possible d’utiliser des cultivars de soya tolérants. Même si ce ver microscopique peut être transporté par le vent ou les oiseaux, il se propage surtout par le déplacement du sol. Il est donc recommandé de mettre en place des mesures de biosécurité à la ferme (nettoyage de la machinerie, nettoyage des bottes et autres équipements, Lire la suite
28 mai 2025
Culture en pots : lutte contre l’altise à tête rouge à l’aide de nématodes
24 mars 2025
Cette conférence a été présentée à la journée INPACQ grandes cultures et conservation des sols du 5 février 2025.  
24 février 2025
Conférence présentée dans le cadre des Journées horticoles et grandes cultures de Saint-Rémi sous la thématique "horticulture biologique".
26 mars 2024
Une des premières étapes pour la gestion du nématode des lésions est de faire un dépistage des genres/espèces de nématodes présents dans le champ. Pour ce faire, un échantillonnage de sol effectué à l’automne, après la récolte en septembre/octobre, à une profondeur de 0-30 cm, va permettre de déterminer quel est le genre de nématodes qui est présent. L’échantillonnage au printemps est aussi possible mais les nématodes y sont généralement moins nombreux. Consultez le Guide joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
26 mars 2024
Le nématode des lésions : - Vers microscopiques de 0.5 mm - Appartient au genre Pratylenchus - Entre et ressort des racines pour s'y nourrir et s'y reproduire - Endommage le système racinaire - Cause la mort prématurée des pommes de terre en synergie avec le champignon, Verticillium dahliae... Consultez le pamphlet joint.   Lire la suite
09 février 2023
L’IQDHO travaille depuis plusieurs années au développement d’une gestion intégrée de l’altise à tête rouge. Dans cette conférence, les derniers résultats de projet sur l’efficacité d’agents de lutte biologiques contre les stades immatures dans les contenants de produc- tion seront présentés. À la lumière de ces résultats, il est maintenant de plus en plus envisageable que l’approche du contrôle de ce ravageur soit réorientée vers des traitements phytosanitaires dans le substrat plutôt que foliaires. Conférence présentée dans le cadre du Colloque IQDHO 2023, le 26 janvier à Drummondville.   Lire la suite
Utilisation de nématodes entomopathogènes contre les charançons en verger de pommiers (Fiche synthèse)
11 janvier 2022
Le charançon de la prune (Conotrachelus nenuphar) est un coléoptère ravageur considéré par plusieurs experts comme le principal ravageur d’arbres fruitiers dans l’est de l’Amérique du Nord. Le charançon de la pomme (Anthonomus quadrigibbus) quant à lui est moins répandu, mais de plus en plus fréquent dans les vergers biologiques ou ceux qui font peu de traitements insecticides en début de saison. Les adultes charançons se nourrissent et pondent dans les fruits au printemps où les larves se développent. Les fruits tombent au sol où les jeunes charançons complètent leur nymphose et les adultes émergent du sol à la fin de l’été. En production de pommes conventionnelles, on fait jusqu’à trois applications insecticides contre l’insecte, alors qu’en production biologique, seul le kaolin est utilisé avec une efficacité limitée. Pourtant, plusieurs études principalement réalisées aux États-Unis démontrent l’efficacité en laboratoire comme sur le terrain de certains nématodes entomopathogènes contre le charançon. Deux espèces semblent avoir le potentiel de tuer le charançon dans nos conditions climatiques plus fraiches : Steinernema feltiae et Steinernema carpocapsae. Peu d’essais ont néanmoins été réalisés dans les vergers du Québec où les conditions de production diffèrent de nos voisins américains. Ce projet d’une durée de 2 ans avait donc pour but d’évaluer le potentiel des nématodes entomopathogènes pour lutter contre le charançon de la prune en verger de pommiers. L’efficacité de deux espèces de nématodes connues pour leur capacité à infecter le charançon en laboratoire a été testée sur le terrain : Steinernema feltiae et S. carpocapsae. Nous avons validé à la fois l’efficacité d’applications à la base du tronc au printemps contre les charançons adultes et l’efficacité d’applications au sol contre les larves et les pupes. Quatre stratégies de lutte ont ainsi été comparées : 1) S. carpocapsae seul; 2) S. feltiae seul; 3) S. feltiae et S. carpocapsae ensemble, 4) S. carpocapsae Lire la suite
Utilisation de nématodes entomopathogènes contre les charançons en verger de pommiers (Rapport)
11 janvier 2022
Le charançon de la prune (Conotrachelus nenuphar) est un coléoptère ravageur considéré par plusieurs experts comme le principal ravageur d’arbres fruitiers dans l’est de l’Amérique du Nord. Le charançon de la pomme (Anthonomus quadrigibbus) quant à lui est moins répandu, mais de plus en plus fréquent dans les vergers biologiques ou ceux qui font peu de traitements insecticides en début de saison. Les adultes charançons se nourrissent et pondent dans les fruits au printemps où les larves se développent. Les fruits tombent au sol où les jeunes charançons complètent leur nymphose et les adultes émergent du sol à la fin de l’été. En production de pommes conventionnelles, on fait jusqu’à trois applications insecticides contre l’insecte, alors qu’en production biologique, seul le kaolin est utilisé avec une efficacité limitée. Pourtant, plusieurs études principalement réalisées aux États-Unis démontrent l’efficacité en laboratoire comme sur le terrain de certains nématodes entomopathogènes contre le charançon. Deux espèces semblent avoir le potentiel de tuer le charançon dans nos conditions climatiques plus fraiches : Steinernema feltiae et Steinernema carpocapsae. Peu d’essais ont néanmoins été réalisés dans les vergers du Québec où les conditions de production diffèrent de nos voisins américains. Ce projet d’une durée de 2 ans avait donc pour but d’évaluer le potentiel des nématodes entomopathogènes pour lutter contre le charançon de la prune en verger de pommiers. L’efficacité de deux espèces de nématodes connues pour leur capacité à infecter le charançon en laboratoire a été testée sur le terrain : Steinernema feltiae et S. carpocapsae. Nous avons validé à la fois l’efficacité d’applications à la base du tronc au printemps contre les charançons adultes et l’efficacité d’applications au sol contre les larves et les pupes. Quatre stratégies de lutte ont ainsi été comparées : 1) S. carpocapsae seul; 2) S. feltiae seul; 3) S. feltiae et S. carpocapsae ensemble, 4) S. carpocapsae Lire la suite
12 juillet 2024
Le nématode à kyste du soya
1 à 10 sur 371

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