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26 mars 2024
Une des premières étapes pour la gestion du nématode des lésions est de faire un dépistage des genres/espèces de nématodes présents dans le champ. Pour ce faire, un échantillonnage de sol effectué à l’automne, après la récolte en septembre/octobre, à une profondeur de 0-30 cm, va permettre de déterminer quel est le genre
de nématodes qui est présent. L’échantillonnage au printemps est aussi possible mais les nématodes y sont généralement moins nombreux. Consultez le Guide joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ).
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26 mars 2024
Le nématode des lésions : - Vers microscopiques de 0.5 mm - Appartient au genre Pratylenchus - Entre et ressort des racines pour s'y nourrir et s'y reproduire - Endommage le système racinaire - Cause la mort prématurée des pommes de terre en synergie avec le champignon, Verticillium dahliae... Consultez le pamphlet joint.
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09 février 2023
L’IQDHO travaille depuis plusieurs années au développement d’une gestion intégrée de l’altise à tête rouge. Dans cette conférence, les derniers résultats de projet sur l’efficacité d’agents de lutte biologiques contre les stades immatures dans les contenants de produc- tion seront présentés. À la lumière de ces résultats,
il est maintenant de plus en plus envisageable que l’approche du contrôle de ce ravageur soit réorientée vers des traitements phytosanitaires dans le substrat plutôt que foliaires. Conférence présentée dans le cadre du Colloque IQDHO 2023, le 26 janvier à Drummondville.
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11 janvier 2022
Le charançon de la prune (Conotrachelus nenuphar) est un coléoptère ravageur considéré par plusieurs experts comme le principal ravageur d’arbres fruitiers dans l’est de l’Amérique du Nord. Le charançon de la pomme (Anthonomus quadrigibbus) quant à lui est moins répandu, mais de plus en plus fréquent dans les vergers biologiques
ou ceux qui font peu de traitements insecticides en début de saison. Les adultes charançons se nourrissent et pondent dans les fruits au printemps où les larves se développent. Les fruits tombent au sol où les jeunes charançons complètent leur nymphose et les adultes émergent du sol à la fin de l’été. En production de pommes conventionnelles, on fait jusqu’à trois applications insecticides contre l’insecte, alors qu’en production biologique, seul le kaolin est utilisé avec une efficacité limitée. Pourtant, plusieurs études principalement réalisées aux États-Unis démontrent l’efficacité en laboratoire comme sur le terrain de certains nématodes entomopathogènes contre le charançon. Deux espèces semblent avoir le potentiel de tuer le charançon dans nos conditions climatiques plus fraiches : Steinernema feltiae et Steinernema carpocapsae. Peu d’essais ont néanmoins été réalisés dans les vergers du Québec où les conditions de production diffèrent de nos voisins américains. Ce projet d’une durée de 2 ans avait donc pour but d’évaluer le potentiel des nématodes entomopathogènes pour lutter contre le charançon de la prune en verger de pommiers. L’efficacité de deux espèces de nématodes connues pour leur capacité à infecter le charançon en laboratoire a été testée sur le terrain : Steinernema feltiae et S. carpocapsae. Nous avons validé à la fois l’efficacité d’applications à la base du tronc au printemps contre les charançons adultes et l’efficacité d’applications au sol contre les larves et les pupes. Quatre stratégies de lutte ont ainsi été comparées : 1) S. carpocapsae seul; 2) S. feltiae seul; 3) S. feltiae et S. carpocapsae ensemble, 4) S. carpocapsae
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11 janvier 2022
Le charançon de la prune (Conotrachelus nenuphar) est un coléoptère ravageur considéré par plusieurs experts comme le principal ravageur d’arbres fruitiers dans l’est de l’Amérique du Nord. Le charançon de la pomme (Anthonomus quadrigibbus) quant à lui est moins répandu, mais de plus en plus fréquent dans les vergers biologiques
ou ceux qui font peu de traitements insecticides en début de saison. Les adultes charançons se nourrissent et pondent dans les fruits au printemps où les larves se développent. Les fruits tombent au sol où les jeunes charançons complètent leur nymphose et les adultes émergent du sol à la fin de l’été. En production de pommes conventionnelles, on fait jusqu’à trois applications insecticides contre l’insecte, alors qu’en production biologique, seul le kaolin est utilisé avec une efficacité limitée. Pourtant, plusieurs études principalement réalisées aux États-Unis démontrent l’efficacité en laboratoire comme sur le terrain de certains nématodes entomopathogènes contre le charançon. Deux espèces semblent avoir le potentiel de tuer le charançon dans nos conditions climatiques plus fraiches : Steinernema feltiae et Steinernema carpocapsae. Peu d’essais ont néanmoins été réalisés dans les vergers du Québec où les conditions de production diffèrent de nos voisins américains. Ce projet d’une durée de 2 ans avait donc pour but d’évaluer le potentiel des nématodes entomopathogènes pour lutter contre le charançon de la prune en verger de pommiers. L’efficacité de deux espèces de nématodes connues pour leur capacité à infecter le charançon en laboratoire a été testée sur le terrain : Steinernema feltiae et S. carpocapsae. Nous avons validé à la fois l’efficacité d’applications à la base du tronc au printemps contre les charançons adultes et l’efficacité d’applications au sol contre les larves et les pupes. Quatre stratégies de lutte ont ainsi été comparées : 1) S. carpocapsae seul; 2) S. feltiae seul; 3) S. feltiae et S. carpocapsae ensemble, 4) S. carpocapsae
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30 septembre 2020
NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : C’EST LE BON MOMENT DE FAIRE ANALYSER LE SOL POUR LE DÉTECTER Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Brigitte Duval, agr. (MAPAQ) et Véronique Samson, agr. (MAPAQ) Le nématode à kyste du soya (NKS) est actuellement la plus grande menace pour la culture du soya dans le monde : impossible à éradiquer,
il peut entraîner jusqu’à 30 % de perte de rendement sans symptômes visibles. Heureusement, il est possible de le contrôler à l’aide de bonnes pratiques. Encore faut-il faire analyser les champs pour identifier lesquels sont atteints. La période idéale pour dépister le NKS est à l’atteinte de la maturité du soya ou tout juste après sa récolte. C’est à ce moment que les densités de kystes sont les plus élevées et qu’il est plus probable de détecter leur présence dans un champ. La technique d’échantillonnage consiste à prendre 25 prélèvements de sol à l’aide d’une sonde ou d’une tarière en s’assurant d’introduire l’outil dans la zone racinaire. Puis, il suffit de mélanger les prélèvements, de prélever 1 litre du mélange afin d’y constituer un échantillon représentatif et de l’envoyer au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ (cliquez ici pour accéder au formulaire de demande d’analyse). Si le NKS est détecté, la meilleure stratégie consiste à effectuer une rotation avec des cultures ne pouvant pas être infectées, comme le maïs et le blé, et des cultivars de soya tolérants. Même si ce ver microscopique peut être transporté par le vent ou les oiseaux, il se propage surtout par transport de sol. Il est donc recommandé de mettre en place des mesures de biosécurité à la ferme si ce n’est pas déjà fait (nettoyage de la machinerie, nettoyage des bottes et autres équipements, contrôle des visiteurs) et de récolter ou semer les champs infestés en dernier. Les dépisteurs du RAP Grandes cultures échantillonnent une cinquantaine de champs par année. Bien que les populations de NKS au Québec soient généralement faibles, on
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10 septembre 2020
Températures généralement clémentes. Pucerons dans la plupart des régions. Fausses-arpenteuses et thrips en Montérégie-Ouest. Mildiou en Montérégie-Ouest et à l’Île-d’Orléans. Tache bactérienne en Montérégie-Ouest. Maladies de sol en Montérégie-Ouest et dans la Capitale-Nationale. Cultures de couverture. RÉSUMÉ
CLIMATIQUE ET RISQUES ASSOCIÉS Durant la dernière semaine (du mercredi 2 au mardi 8 septembre), les températures ont atteint ou dépassé la normale, sauf pour quelques nuits où elles ont parfois été un peu plus froides, notamment le 6 septembre où le mercure est descendu à 5 ºC sur plusieurs secteurs. Les précipitations ont été fréquentes et plutôt inégales (voir la carte des précipitations cumulées). Les quantités les plus significatives sont tombées le 2 et le 7 septembre, mais des périodes de mouillure sont aussi survenues localement le 5 et le 8 septembre. Étant donné les forts taux d’humidité, les rosées ont aussi été abondantes. Cependant, en contrepartie, les vents fréquents ont permis d’accélérer le séchage du feuillage des cultures. Le taux d’humidité du sol varie d'un peu trop sec à bien humide, selon les types de sol et les localités. INSECTES En Montérégie-Ouest, les pucerons sont de plus en plus nombreux et le nombre de champs touchés augmente. Les interventions offrent cependant un bon contrôle. Dans les autres régions, seulement quelques interventions localisées ont été effectuées, notamment dans la Capitale-Nationale. Les populations d’altises à tête rouge sont faibles en Montérégie-Ouest, mais demeurent élevées sur quelques sites dans la Chaudière-Appalaches et la Capitale-Nationale, où des traitements sont parfois justifiés. Les punaises sont généralement peu actives dans toutes les régions et l'on rapporte principalement des adultes (punaise terne ou punaise brune). Quelques interventions localisées ont été effectuées en Montérégie-Ouest. Les fausses-arpenteuses sont observées en très grand nombre en Montérégie-Ouest (plusieurs
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03 septembre 2020
Températures sous les normales et précipitations notables. Pucerons et punaises dans la plupart des régions. Mildiou, tache bactérienne et affaissement sclérotique en Montérégie-Ouest. Peu de désordres. RÉSUMÉ CLIMATIQUE ET RISQUES ASSOCIÉS Durant la dernière semaine (du mercredi 26 août au mardi 1er septembre),
pour une des rares fois cette saison, les températures ont le plus souvent été sous les normales de jour comme de nuit. Il n’y a eu qu’une à deux journées pluvieuses, le 29 août sur le sud-ouest et le 29 et le 30 août plus à l’est, mais les quantités de pluie reçues ont en général été généreuses (voir la carte des précipitations cumulées). Les zones de production qui étaient encore relativement sèches ont enfin reçu des quantités d’eau significatives (plus de 25 mm). Le taux d’humidité du sol est maintenant adéquat sur la majorité des fermes. Les plus fortes précipitations observées localement (plus de 50 mm) ont toutefois pu retarder certaines opérations. Les maladies ont progressé en raison des fortes rosées et des fréquents couverts nuageux (davantage sur les régions plus au sud). Étant donné les températures plus basses, l’activité des insectes est généralement en baisse. AVANCEMENT DES SEMIS ET DES PLANTATIONS Les plantations sont terminées chez la grande majorité des producteurs. Les récoltes se poursuivent dans toutes les régions, avec une assez bonne qualité. INSECTES Les populations de pucerons sont toujours variables à travers la province, mais demeurent élevées sur plusieurs fermes. Des interventions sont encore nécessaires dans plusieurs champs, notamment en Montérégie-Ouest et dans la Capitale-Nationale. Les altises à tête rouge ne sont plus problématiques en Montérégie. Les populations sont aussi en baisse dans la Capitale-Nationale et la Chaudière-Appalaches, bien qu’on ait quand même dû effectuer des traitements localisés dans certains champs. En Montérégie-Ouest, une augmentation de l’activité des punaises ternes
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