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Depuis les cinq dernières années, j’ai assisté à l’expansion rapide du nombre et de la grosseur des parcs d’engraissement au Québec. Malheureusement, un aspect souvent négligé est l’aménagement d’un parc-hôpital. Les rares enclos qui existent à cette fin sont souvent dans un « racoin » et si mal adaptés aux besoins d’un bouvillon malade qu’ils constituent l’endroit le plus sûr pour y mourir!
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Organisation : Bovins du Québec, octobre-novembre 2002
Auteur(s) : Georges Paradis,DMV, consultant en médecine de production bovine
Date de publication : 07 février 2005