Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
1421 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
23 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)

Nouveau

26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %.  Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes. Lire la suite
15 mars 2023
La brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre, les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de Lire la suite
01 mars 2023
Bien qu’étant considérée comme un ravageur secondaire de la pomme de terre, la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae) est un insecte qui peut causer des dégâts importants. Néanmoins, les impacts réels des attaques de cet insecte sont peu connus alors que nos connaissances sur les seuils d’intervention à employer sont encore embryonnaires. Actuellement, le seuil d’intervention contre la cicadelle de la pomme de terre est basé sur le dépistage des nymphes et les recommandations du RAP préconisent le déclenchement d’une application quand le seuil de 10 nymphes/100 feuilles est atteint. Or, ce type de dépistage est long, fastidieux et peu précis car les nymphes sont difficiles à voir. Pour toutes ces raisons, le développement d’un seuil d’intervention basé sur une méthode de dépistage simple, rapide, peu coûteuse et standardisée grâce à l’usage de papiers collants jaunes semble important pour mieux accompagner les producteurs et les conseillers sur le terrain. Dans le but de favoriser le transfert technologique vers l’industrie il importait également de déterminer le nombre de pièges à mettre en place dans un champ commercial. Les résultats obtenus ont démontré qu’un seuil de 25 captures/semaine/piège permettait une très bonne protection du feuillage alors que l’installation de six à huit pièges dans un champ commercial, peu importe sa superficie, permettait d’obtenir un niveau de précision (prise de décision) excellent (85 % et plus) comparativement à l’usage d’un grand nombre de pièges. Lire la suite
21 juin 2022
La fraise est très sensible aux maladies racinaires et du collet présentes dans le sol. Dans plusieurs champs, le recours aux fumigants, qui sont des produits présentant des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement, est devenu une pratique courante et souvent considérée primordiale pour continuer à cultiver. En Europe, les producteurs de fraises se sont tournés vers la culture dite en hors sol qui se réalise traditionnellement sous serre ou tunnels. Au Québec, du fait du climat, la culture de fraises en serre ou sous tunnels est coûteuse et nécessite beaucoup de ressources. Or, une alternative de culture hors sol en plein champ a été développée aux États-Unis sous le nom de « raised bed trough system (RABETS) ». Le présent projet posait l’hypothèse que ce système de culture de la fraise en hors sol au champ était possible au Québec et permettrait de cultiver la fraise sans maladies racinaires et sans utiliser de fumigants. Nous avons testé ce dispositif sur deux ans (2018-2019), une année en fraises à jours neutres et une autre en fraises d’été, dans un champ présentant un historique de maladies racinaires important sur les fraisiers. Pour les deux cultures, deux variétés de fraises ont été testées en hors sol RABETS en comparaison avec un témoin non fumigé et un témoin fumigé en plein champ. Les deux années du projet ont mis en évidence que le système hors sol a permis de conduire la culture de variétés de fraises à jours neutres et de fraises d'été presque sans symptômes de maladies du sol, notamment au niveau racinaire où l’incidence et la sévérité de la pourriture noire. De plus, la protection contre les maladies racinaires dans le système hors sol a été largement meilleure que la fumigation. Lire la suite
31 mai 2023
Le tarsonème du fraisier est un acarien qui se nourrit sur les nouvelles feuilles non déployées au cœur des plants. Sa salive toxique cause le nanisme des fraisiers, le dessèchement des fleurs et des fruits petits, secs et difformes. L'endosulfan était le produit le plus utilisé au Québec, mais il a été interdit en raison de ses impacts néfastes sur l'environnement et de sa toxicité élevée. L’Agrimek® (abamectine) est homologué, mais il ne démontre pas toujours une efficacité optimale au champ dans les conditions dans lesquelles il est utilisé. Un des principaux problèmes se situe dans la difficulté d’atteindre le tarsonème. On privilégie à l’heure actuelle les traitements faits quand le feuillage est moins dense, soit après la rénovation et tôt au printemps. Également, l’utilisation d'une buse permettant d'appliquer le produit avec plus de force et de vélocité, sous forme de grosses gouttelettes, permettrait une meilleure pénétration du produit au cœur des plants et donc une meilleure efficacité. Ce projet a donc pour but de tester différentes buses pour appliquer l’Agrimek® afin de vérifier si l’adaptation de la méthode d’application permet de contrôler plus efficacement les populations de tarsonème. La sélection des buses a été réalisée en serre en 2018 parmi 11 buses à différents volumes (1000, 2000 et 3000L/ha) à l’aide d’une méthode de marquage, soit le Suppress®, qui brûle uniquement le feuillage avec lequel il entre en contact. À la suite de ces essais, 5 buses ont été sélectionnées. L’essai s’est poursuivi en champ de fraises en rangs nattés avec un historique de problèmes de tarsonèmes du fraisier sur deux ans (2019 et 2021). Les buses ont été testées dans les volumes de 1000 et 3000 L/ha et comparées à un témoin.  Lire la suite
16 mars 2023
La dartrose de la pomme de terre (Colletotrichum coccodes) est une maladie en progression dans les régions productrices de pomme de terre, notamment au Québec. Elle est en mesure de causer des pertes de vigueur dans la croissance des plants, de réduire les rendements et d’occasionner des lésions sur les tubercules qui occasionnent des rejets lors de l’emballage. Pour lutter adéquatement contre cette maladie, il est recommandé d’utiliser une combinaison de moyens de lutte préventifs car la lutte avec les fongicides chimiques n’est pas totalement efficace. L’utilisation de cultivars de pomme de terre tolérants à la dartrose est un des premiers facteurs à considérer dans l’établissement d’une stratégie de lutte face à la dartrose. Il n’existe pas sur le marché de cultivar entièrement résistant à cette maladie, mais des études réalisées ailleurs qu’au Québec démontrent que les cultivars n’ont pas tous la même susceptibilité face à la dartrose. Nous avons donc élaboré un projet dont le but premier est de documenter la sensibilité de différents cultivars de pomme de terre utilisés par les producteurs québécois. L’objectif général du projet est de fournir des informations pertinentes aux producteurs de pommes de terre afin de les guider dans leurs choix de cultivars. Lire la suite
16 octobre 2020
Le blanc (Sphaerotheca fuliginea (syn. Podosphaera xanthii) et Erysiphe cichoracearum) est une des maladies les plus récurrentes dans les cucurbitacées. Dans les courges, elle peut provoquer la mort prématurée des feuilles qui se fanent avant que le fruit n'ait atteint son calibre ou sa maturité maximale, et prédisposer les plants à d'autres maladies. Des biofongicides ont été homologués dans les dernières années pour lutter contre cette maladie, mais ils demeurent assez peu utilisés. Or, plusieurs expériences ont montré que l’alternance entre les traitements biologiques et chimiques offrait souvent des résultats supérieurs aux traitements chimiques ou biologiques seuls. Ce projet visait donc à évaluer l'efficacité de l'utilisation de biofongicides dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la courge. Ce document constitue la fiche synthèse du projet réalisé par le CIEL. Pour consulter le rapport complet, veuillez communiquer avec l'équipe du CIEL au 450-589-7313 ou à [email protected] Lire la suite
17 mars 2020
Pour la saison 2020, le CIEL est maintenant prêt à étendre le projet Mileos afin d'offrir aux producteurs de toutes les régions du Québec la possibilité d'utiliser cet outil d'aide à la décision. Consultez le document joint pour plus d'informations.
17 janvier 2020
La chrysomèle rayée du concombre (CRC) (Acalymma vittatum) est un insecte ravageur important des cultures de cucurbitacées (concombres, courges, melons, citrouilles). La lutte contre la CRC en régie conventionnelle se faisait essentiellement par le biais de pulvérisations foliaires d'insecticides chimiques basées sur les résultats d'un dépistage des populations. De nouvelles matières actives sont maintenant disponibles pour les producteurs à cet effet. Cependant, ces produits font l'objet d'interrogations et d'inquiétudes en regard de la durée et de l'efficacité de la protection qu'ils offrent et de leurs impacts sur l'environnement. Ces matières actives ont d’ailleurs récemment fait l’objet d’un processus de réévaluation de la part de l’ARLA. Ce document constitue la fiche synthèse du projet réalisé par le CIEL. Pour consulter le rapport complet, veuillez communiquer avec l'équipe du CIEL au 450-589-7313 ou à [email protected]. Lire la suite
10 juin 2019
L'anthracnose est une des maladies cryptogamiques parmi celles qui cause le plus de problèmes dans la culture du bleuet en corymbe en Amérique du Nord. Au Québec, il s’agissait d’une maladie mineure jusqu’à l'intensification de la production depuis le début des années 2000, avec notamment l’implantation de la variété Patriot, très sensible à cette maladie. L’infection des fruits par l’anthracnose peut se produire n’importe quand entre la floraison et la récolte, cependant les symptômes ne deviennent visibles qu’à partir du mûrissement des fruits lorsque le champignon va croître. Une stratégie d'intervention contre cette maladie a été étudiée au Québec en 2012 et 2013 (Lacroix et al., 20141). Il en ressort que de façon générale, plus les pulvérisations sont nombreuses, plus l’incidence de l’anthracnose à la récolte est faible. Dans ce contexte, il apparaît important d'évaluer des biofongicides et des fongicides à risque réduit afin d'offrir des alternatives aux producteurs. C’est ce qui a été réalisé pendant deux ans d’essai par CIEL chez un producteur volontaire. Ainsi, neufs biofongicides ou fongicides avec un indice de risque IRE et IRS faible ont été testés sur deux ans. En 2017: Prestop, Actinovate, Sil-Matrix, Fungastop, Evito 480 SC, Serenade Opti + Nu-Film P et Rootshield HC ; en 2018 : Prestop + Nu-Film P, Actinovate, Sil-Matrix, Fungastop, Evito 480 SC, Diplomat 5 SC et Botector ont été testés en comparaison avec un témoin non traité et un témoin commercial (Cabrio EG) dans une bleuetière avec un historique d'anthracnose. Lire la suite
1 à 10 sur 1421

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.