Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
290 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)

Nouveau

27 novembre 2025
Hybrides d’amarante de Powell (Amaranthus powellii) × amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus) produits en serre
08 juillet 2025
Amarante tuberculée : Bilan du Plan d'intervention phytosanitaire 2020-2024
06 juin 2025
Bilan de l’amarante tuberculée au Québec (2017-2024)
Grandes cultures, Avertissement No 6, 30 mai 2025
30 mai 2025
Levée du maïs et du soya : pensez à investiguer en cas de levée inégale. Émergence de l'amarante tuberculée. Maladies des céréales : présence de rouille jaune et de l'oïdium. Mouche des semis : mise à jour des dates du pic d'activités 2025 et suivi des champs. Seigle d'automne en épiaison : consulter les cartes interactives pour la fusariose de l'épi. Nouveau : le RAP Grandes cultures a besoin de votre aide. LA LEVÉE DU MAÏS ET DU SOYA : PENSEZ À INVESTIGUER EN CAS DE LEVÉE INÉGALE B. Duval2, J. Saguez1, V. Samson2 et S. Boquel1 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) La levée des cultures de maïs et de soya débute dans plusieurs régions. C’est bientôt le moment d’évaluer les populations et de repérer d’éventuels manques à la levée. Bien que les manques puissent être observés peu après l’émergence, le stade 3 à 4 feuilles du maïs est idéal pour en déterminer les causes. Du côté du soya, les premiers stades de développement permettent aussi une bonne évaluation des peuplements et des facteurs pouvant nuire à une levée uniforme. Si vous constatez des pertes de population ou une levée inégale, il est important d’en identifier les causes. Des maladies fongiques — comme les pourritures de semences, des plantules (fonte des semis) ou encore des racines — et des ravageurs — tels que les vers fil-de-fer, la mouche des semis, les vers gris et les limaces — peuvent endommager les grains en germination et les jeunes plantules, entraînant parfois des pertes de population importantes. Plusieurs autres facteurs peuvent également nuire à la levée. Un semoir mal ajusté ou mal équipé pour la gestion des résidus peut entraîner un mauvais contact sol-semence, une profondeur de semis irrégulière ou une fermeture inadéquate des sillons. Un sol compacté peut limiter la pénétration des racines, même avec un bon équipement de semis. L’humidité et la température du sol influencent également la germination et la levée. Des résidus d’herbicides peuvent affecter le développement racinaire et Lire la suite
07 novembre 2025
L’amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus) est l’une des mauvaises herbes les plus difficiles à contrôler et a été détectée pour la première fois au Québec en 2017. Depuis, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides, et certaines à quatre groupes, incluant l’atrazine et la mésotrione. Pour limiter sa propagation, il est essentiel de mettre en place rapidement des stratégies de lutte adaptées au profil de résistance, lequel peut être déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ce projet visait à développer des méthodes moléculaires rapides pour détecter la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test pour le groupe 14 a été créé et transféré au LEDP en 2019, et des marqueurs liés au gène AtuGSTF2, associé à la résistance à l’atrazine, sont en cours de validation. Pour la mésotrione, des analyses d’expression génique et une étude GWAS ont permis d’identifier des gènes et des régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance. Lire la suite
24 mars 2025
Cette conférence a été présentée à la journée INPACQ grandes cultures et conservation des sols du 5 février 2025.  
11 novembre 2025
L’amarante tuberculée est une mauvaise herbe très difficile à contrôler, considérée comme l’une des plus problématiques en agriculture. Elle a été détectée pour la première fois au Québec en 2017, en Montérégie-Ouest. Jusqu’en 2022, 76 populations ont été identifiées, toutes résistantes à au moins un groupe d’herbicides (groupes 2, 5, 9, 14 et 27), incluant des cas de résistance à l’atrazine (groupe 5) et à la mésotrione (groupe 27), même lorsqu’ils sont appliqués en mélange. Certaines populations montrent une résistance à quatre groupes d’herbicides, ce qui complique leur gestion. La lutte intégrée repose sur une intervention rapide dès la détection, avec des stratégies adaptées au profil de résistance, déterminé par des tests classiques ou moléculaires. Ces derniers offrent l’avantage de fournir des résultats plus rapidement, mais nécessitent une connaissance préalable des mutations impliquées. Le projet visait à développer des méthodes moléculaires pour détecter rapidement la résistance aux groupes 5, 14 et 27. Un test moléculaire pour le groupe 14 a été mis au point et transféré au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP-MAPAQ) en 2019. Depuis 2020, 114 tests ont été réalisés. Concernant la résistance à l’atrazine, elle serait liée à une augmentation de l’activité des glutathion-S-transférases, notamment le gène AtuGSTF2, identifié comme candidat principal. Des marqueurs moléculaires ont été développés et sont en cours de validation. Enfin, des études d’expression génique et une analyse GWAS (Genome Wide Association Study) ont permis d’identifier des gènes et régions génomiques potentiellement impliqués dans la résistance à la mésotrione. Lire la suite
19 février 2025
Conférence prononcée dans le cadre des journées horticoles et grandes cultures 2024 tenues à Saint-Rémi, sous le thème pommes.
14 mars 2024
Ceci est la fiche synthèse du projet : " Développement, dans les systèmes de culture conventionnelle en grandes cultures, de diverses stratégies de lutte contre l’amarante tuberculée en vue de réduire l’usage des herbicides ". L’objectif général du projet était d’évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte contre l’AMATU. Les objectifs spécifiques du projet étaient de : 1.1) Évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte intégrée contre l’AMATU. 1.2) Réaliser une analyse économique des coûts des méthodes de lutte intégrée, incluant l’arrachage manuel, contre l’AMATU. 2.0) Évaluer différentes méthodes sécuritaires et efficaces de disposition des plantes d’AMATU suite à un arrachage manuel. 3.0) Évaluer l’efficacité de deux moyens de lutte thermique (pyrodésherbage et vapeur d’eau) pour le contrôle de l’AMATU.  Le projet a été une collaboration entre le CÉROM, le MAPAQ, l'IRDA, la CSC, en partenariat avec GMABE (volet désherbage à la vapeur d’eau) et il a été financé par le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation dans le cadre du volet 3 du programme prime vert et est lié à la stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 28 juillet 2023
28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des céréales.   SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE?  Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1    1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le Lire la suite
1 à 10 sur 290

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.