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11 juin 2014
La pomme génétiquement modifiée (GM) anti-brunissement est une pomme de la variété Artic (Artic Golden Delicious et Artic Granny Smith). Elle a été modifiée sans l’ajout d’un gène étranger. Il s’agit plutôt d’une modification du métabolisme de la pomme pour empêcher la synthèse d’une enzyme (la polyphénol oxidase – PPO) qui provoque le brunissement lorsque la pomme subit un choc ou est coupée. Dans la pomme GM, l’activité de la PPO a été complètement supprimée. Aucune modification à la valeur nutritionnelle et aux autres composés du métabolisme n’a été réalisée. La compagnie canadienne Okanagan Speciality Fruits Inc. a effectué en avril 2012 une demande d’approbation auprès de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et de Santé Canada pour cette pomme GM qui ne brunit pas. Une demande similaire a été également réalisée aux États-Unis auprès du USDA Animal and plant Inspection Service (APHIS). Le dossier a été déposé au Canada le 15 avril 2012. Une période de commentaires était ouverte jusqu’au 3 juillet 2012. Aux États-Unis, une première consultation publique a eu lieu également au printemps 2012. La 2e consultation a eu lieu du 10 novembre au 9 décembre 2013. La compagnie de la Colombie-Britannique veut commercialiser sa pomme sous le nom « nonbrowning Artic™ apple ». Les autorisations finales au Canada et aux États-Unis ne sont pas encore terminées. La pomme GM anti-brunissement serait destinée davantage au marché de la transformation de la pomme (pomme tranchée, préparation de pommes cuites, etc.) Lire la suite
11 juin 2014
L’industrie porcine est un secteur intensif de l’agriculture au niveau mondial. Les conséquences environnementales de l’élevage intensif du porc font l’objet de plusieurs critiques dont les odeurs de lisier et l’impact négatif potentiel des rejets phosphatés sur l’eutrophisation des plans d’eau. La grande part de phosphore contenu dans le lisier se retrouve sous la forme d’acide phytique, la forme prédominante de phosphore présente dans les céréales. De 50 à 75 % du phosphore existant dans les grains et les céréales comme le maïs, le soja, l’orge et le blé l’est sous cette forme. Or, les animaux monogastriques comme le porc ne sont pas capables de digérer cette source de phosphore. Le phosphore est un élément essentiel à la santé du porc et doit par conséquent être ajouté à sa diète. L’Enviropig™ Des travaux de recherche en génie génétique ont porté dans les dernières années sur une modification génétique qui permettrait au porc de digérer l’acide phytique et d’en retirer le phosphore dont il a besoin. L’ajout par transgénèse de l’enzyme phytase exprimée dans les glandes salivaires (salive) permettrait d’utiliser l’acide phytique de la nourriture pour le métabolisme de l’animal. Les porcs Enviropig™ digèreraient donc plus efficacement le phosphore que les porcs conventionnels Yorkshire. Avec cette nouvelle particularité de l’Enviropig™, il ne serait plus nécessaire de fournir des suppléments de phosphore ou de phytase à l’animal. Par conséquent, l’acide phytique serait présent en quantité réduite dans le lisier du porc Lire la suite
11 juin 2014
Monsanto Canada Inc. et Forage Genetics International LLC ont conjointement mis au point la luzerne Roundup Ready® (RR), destinée à la production commerciale de cultures fourragères pour l'alimentation du bétail. Cette luzerne génétiquement modifiée (GM) est tolérante à l’herbicide glyphosate (RoundUp). En 2005, la luzerne Roundup Ready® a fait l'objet d'une évaluation de la salubrité des aliments du bétail, d'une évaluation du risque environnemental et d'une évaluation de la salubrité des aliments par l'Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et Santé Canada. Les données obtenues ont confirmé que la luzerne RR se comportait exactement comme les autres variétés classiques de luzerne. En 2013, la compagnie Gold Medal Seeds Inc. a présenté à l'ACIA une demande d'enregistrement de variété. La demande a été évaluée et la variété a été enregistrée le 26 avril 2013. Cet enregistrement de la variété autorise la commercialisation de la semence de luzerne RR au Canada. L’Association canadienne du commerce des semences (ACCS) a publié, en août 2013, un plan de coexistence pour l’introduction possible de la luzerne GM dans l’est du Canada. Les meilleures pratiques de gestion (MPG) proposées par l’ACCS touchent les sujets suivants : Importance de la tenue de dossier; Moyens de prévenir la présence adventice (PA) de luzerne GM dans la luzerne non-GM lors de la plantation, de la récolte et de l’entreposage; Suggestions pour diminuer le risque de PA découlant du flux génétique et éliminer d’éventuelles repousses spontanées de luzerne GM. Ce plan a cependant Lire la suite
11 juin 2014
En novembre 2013, la revue Food And Chemical Toxicology retire officiellement l’article publié en septembre 2012, par une équipe de chercheurs du CRIIGEN qui démontrait une corrélation entre l’ingestion du maïs GM NK603 et la croissance de tumeurs cancéreuses chez les rats. L’éditeur en chef de la revue a publié une lettre exprimant le fait que la revue se devait d’annuler la publication de l’article, car après une deuxième révision des données, ces dernières ne supportent pas les conclusions des auteurs sur la dangerosité du maïs GM. Références: November 19 2013. A. Wallace Hayes Editor-In-Chief, Food and Chemical Toxicology, Letter to Professor Séralini. En ligne.   SERALINI, GE, et al. (2012). « RETRACTED: Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize. » Food and Chemical Toxicology 50 (11) :4221–4231. En ligne.  Editor in Chief of Food and Chemical Toxicology answers questions on retraction. En ligne.  Retraction notice to « Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize » Food Chem. Toxicol. 50 (2012) 4221–4231] En ligne. Lire la suite
10 juin 2014
En mars 2010, la firme Testbiotech a publié un rapport préparé par Christoph Then et commandité par Greenpeace Germany concluant que la propagation du vers gris occidental du haricot (Striacosta albicosta) serait imputable à la culture à grande échelle de maïs transgénique exprimant la protéine Cry1Ab (Bt).  Selon ce rapport, un phénomène de remplacement de ravageur se serait produit, c'est-à-dire que la réduction de la population d'un insecte sensible à la toxine Bt (Helicoverpa zea dans le cas présent) aurait fourni une niche écologique à un ravageur compétiteur insensible à cette toxine (le vers gris du haricot). Un groupe de chercheurs américains (Hutchison et al.) a publié un article réfutant cette conclusion dans la revue Journal of Integrated Pest Management.  La propagation du vers gris du haricot est bien réelle. En effet, alors que les dommages lui étant attribuables étaient auparavant confinés à certaines régions du Nebraska, de l'Idaho et du Colorado, on en rapporte maintenant dans presque tous les états du Middle West ainsi qu'au Québec. Cependant, les chercheurs remettent en question le lien de causalité entre l'expansion du territoire où cet insecte est problématique et l'utilisation accrue du maïs Bt.  Ils avancent d'autres facteurs de nature écologique et agronomique ayant pu favoriser cette expansion dont la réduction du labour (favorisant la survie des larves en hibernation) et les changements climatiques.  Ils insistent aussi sur le fait qu'aucune étude au champ n'a été réalisée par Then afin de prouver cette théorie. Then suggère aussi que le problème pourrait être résolu par Lire la suite
05 juin 2014
En février 2013, la Cellule de veille OGM publiait un article intitulé « Terminator – le retour! » qui expliquait la cause où la Cour suprême des États-Unis entendait les arguments opposant la compagnie Monsanto et un agriculteur de l’Indiana, M. Bowman. La société affirmait qu’en n’achetant pas des semences de soja GM chaque saison, M. Bowman aurait violé ses brevets. Le 13 mai dernier, la Cour suprême rendait sa décision dans cette affaire en tranchant à l'unanimité en faveur de la société américaine. La protection intellectuelle « ne permet pas à un agriculteur de reproduire des graines brevetées en les plantant et en les récoltant sans détenir une permission du propriétaire du brevet », a-t-elle tranché dans son bref arrêt. La cour a condamné M. Bowman à payer 85 000 $ à Monsanto.   Lire la suite
05 juin 2014
En avril 2011, une étude de chercheurs de l’Université de Sherbrooke*  faisait la une de certains quotidiens québécois pour avoir détecté : le produit de dégradation du glufosinate, le MPPA, chez la mère, le fœtus et les femmes qui n’étaient pas enceintes et la toxine Bt chez les femmes enceintes et chez les femmes qui n’étaient pas enceintes. En raison de plusieurs lacunes présumées, cette étude ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.  La Food Standard Australia New Zealand (FSANZ) a publié, sur son site Internet, une critique de cette recherche. Selon elle, un nombre important de lacunes méthodologiques et d’interprétations erronées limitent la crédibilité des conclusions de l’étude. Les méthodes d’analyse utilisées dans l’étude pour détecter la protéine Cry1Ab ne sont pas conçues pour être utilisées avec du sang humain. Les présomptions pour la détection de Cry1Ab dans la diète des femmes témoins sont non fondées. Les médias ont également présenté la pertinence de cette étude en lien avec les effets sur la santé humaine, mais aucune revue de littérature scientifique dans cet article ne supporte ce point Lire la suite
03 juin 2014
La Cour suprême des États-Unis entend les arguments qui opposent Monsanto à Vernon Hugh Bowman. Cet agriculteur âgé de 75 ans de l’Indiana a utilisé la descendance du soja de Monsanto pour semer sa terre pendant huit saisons. La société affirme qu’en n’achetant pas des semences chaque saison, Bowman aurait violé ses brevets. Monsanto l’a poursuivi. Le document présente un résumé de cette poursuite.  Lire la suite
03 juin 2014
Une étude publiée dans le Journal of Organic Systems rapporte que des porcs ayant consommé une diète mixte d’aliments génétiquement modifiés (GM) ont une inflammation de l’estomac exacerbée et un poids de l’utérus plus élevé. Le gouvernement australien a immédiatement relevé dans un communiqué les faiblesses majeures de l’étude. Parallèlement, des spécialistes en sciences vétérinaires, en biotechnologie, en génétique des semences et en statistiques, ont émis des critiques sur leurs blogues scientifiques. Le document présente un résumé de l'étude et des critiques de la communauté scientifique.    Lire la suite
03 juin 2014
À la fin septembre 2012, une équipe du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN)1, dirigée par le chercheur Gilles-Éric Séralini de l’Université de Caen en France, publiait une étude à l’effet que les OGM (plus particulièrement le maïs GM NK603) seraient dangereux pour les rats et, par extrapolation, pour les humains.   Plusieurs agences gouvernementales, dont  le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) européen, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail française (ANSES), l’Agence de sécurité allemande – Institut fédéral d’évaluation des risques (BfR), l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), l’Institut national des aliments du Danemark et le Conseil de biosécurité de la Belgique, ont questionné fortement divers aspects de l’étude de l’équipe de Séralini, notamment le dispositif expérimental, les outils statistiques utilisés et les interprétations des données par les auteurs.  Le document présente un résumé des questionnements scientifiques.  Lire la suite
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