Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
2234 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
899 archives correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Grandes cultures, Avertissement No 19, 15 août 2025
15 août 2025
Sécheresse : symptômes, ressemblances avec maladies et observations à prévoir. Puceron du soya : dépistage recommandé pour les champs avec de fortes populations. Chrysomèles des racines du maïs : le dépistage en août, un geste clé. Planifier ses céréales d'automne. Pollinisation du maïs : insectes à observer.   SÉCHERESSE EN COURS : SYMPTÔMES, RESSEMBLANCES AVEC CERTAINES MALADIES ET OBSERVATIONS À PRÉVOIR M. St-Laurent1, B. Duval1, V. Samson1 et J. Breault1 1. Agronome (MAPAQ) Les conditions de chaleur et de sécheresse qui sévissent depuis quelques semaines dans plusieurs régions ont des conséquences importantes sur diverses grandes cultures. Les symptômes liés à la sécheresse peuvent être confondus avec ceux de certaines maladies et, dans certains cas, accroître la sensibilité des plantes à celles-ci. Les facteurs aggravants comprennent les sols à texture grossière, les semis tardifs, un enracinement superficiel ainsi que la présence de maladies racinaires. Très récemment, des précipitations ont été reçues dans certaines zones, ce qui pourrait améliorer la situation, mais les effets réels seront à suivre dans les prochaines semaines.   Précipitations cumulées des 20 derniers jours, en date du 14 août 2025 Source : Agrométéo Québec Céréales La sécheresse peut avoir des impacts significatifs sur les cultures céréalières, selon leur stade, affectant à la fois leur croissance et leur rendement. Un manque d'eau prolongé peut réduire la photosynthèse, altérer la croissance du couvert végétal et même limiter l'absorption des éléments nutritifs essentiels comme l'azote. Les périodes de stress hydrique peuvent se traduire par une réduction du nombre d'épis, une diminution du poids des grains, et une baisse de la biomasse globale de la plante. Soya Des plants de soya souffrant de sécheresse peuvent être observés dans certaines régions cette année. Les zones sableuses ou plus compactées des champs sont normalement les plus atteintes. Les plants affectés sont plus Lire la suite
19 juillet 2024
Stratégie d'intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya
Grandes cultures, Avertissement No 17, 18 août 2023
18 août 2023
Puceron du soya : les populations sont majoritairement faibles et le stade du soya ne sera bientôt plus à risque. Défoliation dans le soya : quel ravageur fait quel dommage? Chrysomèle de l'asclépiade. PUCERON DU SOYA : LES POPULATIONS SONT MAJORITAIREMENT FAIBLES ET LE STADE DU SOYA NE SERA BIENTÔT PLUS À RISQUE J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2, S. Boquel1 et J. Breault2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ)    Selon les dépistages effectués les 14 et 15 août dans 62 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures, le puceron du soya était présent dans 59 champs. Toutefois, les populations sont encore très faibles, avec une moyenne provinciale de 31,8 pucerons/plant. Un seul site dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Ce site est situé à Valcourt (Estrie) avec une moyenne de 355 pucerons/plant; le soya est au stade R5. La majorité des champs dépistés a maintenant atteint les stades R5 ou R6 et les infestations survenant à partir du stade R5 affectent peu le rendement du soya. Ainsi, compte tenu des faibles populations de pucerons et du stade de la culture, il y a peu de risque que les pucerons causent des pertes de rendement cette année. Si vous souhaitez plus de détails, vous pouvez consulter le document Lutte intégrée contre le puceron du soya.     DÉFOLIATION DANS LE SOYA : QUEL RAVAGEUR FAIT QUEL DOMMAGE? Y. Faucher1, B. Duval1, S. Brousseau-Trudel1, S. Boquel2 et J. Saguez2 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM)   On observe, à cette période de la saison, différents insectes défoliateurs dans les champs de soya. Même s’il n’est pas toujours possible d’observer le ravageur en action, il est souvent possible, par la façon dont la feuille est défoliée, d’identifier celui qui est en cause. La figure ci-dessous présente l’aspect des dommages causés par les principaux défoliateurs dans le soya. Dommages de défoliation du soya par divers ravageurs : A) Limaces   B) Scarabées Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 28 juillet 2023
28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des céréales.   SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE?  Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1    1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le Lire la suite
07 septembre 2022
Faible efficacité des traitements de semences insecticides contre le puceron du soya au Québec
29 juillet 2016
/references/21/GC/CalculDynamiqueSeuil.xls Seuil d’intervention contre le puceron du soya - mise à jour 2016
14 juillet 2014
CAPTURES HEBDOMADAIRES DU PUCERON DU SOYA EN 2012
Grandes cultures, Avertissement No 17, 7 août 2020
07 août 2020
Des « cols d’oie » dans les champs de maïs (chrysomèle des racines du maïs). Ver-gris occidental des haricots dans le maïs : hausse des captures de papillons, le dépistage des masses d’œufs se poursuit. Tétranyques à deux points (soya). Puceron du soya : vigilance recommandée pour les champs sous le stade R5.   PRÉSENCE DE « COLS D’OIE » DANS LES CHAMPS DE MAÏS Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les ravageurs des semis   Deux types de dommages causés par la chrysomèle des racines du maïs peuvent être observés présentement dans les champs de maïs : des cols d’oie et des soies coupées. Lorsque des plants de maïs en forme de cols d’oie sont observés, la chrysomèle des racines du maïs est souvent suspectée d'en être la cause; l’alimentation des larves de ce ravageur sur les racines provoque ce symptôme. Cependant, d’autres causes sont possibles (fort vent, dommage d’herbicide, etc.). Pour en savoir plus, consultez le bulletin Plants de maïs en forme de « cols d'oie » : les causes possibles. Il existe une méthode d’évaluation des dommages aux racines permettant d’évaluer l’impact des larves de chrysomèle des racines du maïs sur la culture. La méthode d’évaluation est basée sur une échelle de 0 (aucun dommage) à 3 (3 nœuds racinaires ou plus sont affectés). Sur ce point, veuillez vous référer à la figure 1 et à la photo 1. Essentiellement, il s’agit de recenser le nombre de nœuds totalement endommagés et celui des nœuds partiellement mangés par les larves. Par exemple, une cote de 1,5 correspond à un nœud dont toutes les racines ont été sévèrement attaquées, et à un deuxième dont la moitié est affectée. Il existe un outil interactif développé aux États-Unis pour aider à cette évaluation (gratuit, en anglais). En Illinois, des chercheurs ont observé qu’à partir d’une cote de 0,25, des dommages économiques peuvent commencer à être observés et qu’une perte de rendement de 15 % doit être attendue pour chaque nœud grugé par les larves. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 18, 8 août 2025
08 août 2025
Syndrome de la mort subite du soya : quelques cas confirmés, moment idéal pour observer les symptômes. Ver-gris occidental du haricot : fortes augmentations des captures de papillons; dépistez les masses d'oeufs et les jeunes larves. Puceron du soya : populations à la hausse, intensifiez le dépistage des champs qui n'ont pas atteint le stade R5. Pourriture à sclérotes : surveillez les champs de soya qui n'ont pas atteint le stade R4. Scarabée japonais : un ravageur occasionnel à surveiller dans le soya. Grêle dans certaines localités : comment évaluer l'impact sur le maïs et le soya.   SYNDROME DE LA MORT SUBITE DU SOYA : QUELQUES CAS CONFIRMÉS, MOMENT IDÉAL POUR OBSERVER LES SYMPTÔMES Adapté de l’avertissement N° 22 du 23 août 2024 par B. Duval1, V. Samson1 et M. St-Laurent1 1. Agronome (MAPAQ) Le syndrome de la mort subite du soya (SMS) a été confirmé dans 5 champs situés dans les régions suivantes : Bas-Saint-Laurent (2 cas), Centre-du-Québec, Estrie, et Montérégie. Depuis 2020, le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ a confirmé 55 cas de SMS, répartis dans 8 régions. Étant donné que les symptômes foliaires de la maladie apparaissent généralement après la floraison et tendent à s’aggraver par la suite, ils pourraient être observés au champ dans les semaines à venir.  Le SMS est une maladie racinaire causée principalement par le champignon Fusarium virguliforme qui, lorsqu’introduit au champ, peut demeurer latent pendant de plusieurs années et infecter le soya lorsque les conditions deviennent propices à son développement. Les conditions fraîches et humides au moment du semis et pendant la saison de croissance favorisent l’infection par l’agent pathogène et le développement de la maladie. Si l’infection est sévère, les pertes de rendement peuvent s’élever à 30 %.  Cette maladie peut être associée à la présence du nématode à kyste du soya (NKS) qui cause des blessures permettant au champignon responsable du SMS Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 11, 9 juillet 2021
08 juillet 2021
PUCERON DU SOYA : fortes populations dans certains champs, ennemis naturels aussi à surveiller. Comment évaluer le risque d'infection du soya par la POURRITURE À SCLÉROTES. VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS (maïs) : premiers papillons capturés. CICADELLE DE LA POMME DE TERRE dans la luzerne : état de la situation. TÉTRANYQUE À DEUX POINTS dans la culture du soya et présence de CRIQUETS.    Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio Avertissement RAP Grandes cultures Nº 11 du 9 juillet 2021.com   ABONDANCE DU PUCERON DU SOYA DANS CERTAINS CHAMPS, MAIS LE TRAVAIL DES ENNEMIS NATURELS CONTRE CE RAVAGEUR N’EST PAS À NÉGLIGER! Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ), Brigitte Duval, agr. (MAPAQ) et Julien Saguez, entomologiste (CÉROM) Puceron du soya (Avertissement RAP Grandes cultures no 11 du 9 juillet 2021).com   Quelques champs de soya présentant des populations importantes de puceron du soya nous ont été rapportés, notamment en Montérégie et au Centre-du-Québec. Le dépistage dans le cadre du RAP Grandes cultures a été devancé cette année. Pour les 33 champs qui ont pu être dépistés dès cette semaine, la moyenne de pucerons par plant (pp) pour la province est de 62. Les populations les plus élevées ont été retrouvées en Montérégie dans les municipalités de La Présentation (249 pp), Rivière-Beaudette (962 pp) et Saint-Anicet (350 pp). Pour consulter les données par site, cliquez ici.  Présentement, le stade physiologique du soya varie du stade végétatif à R3. Cliquez ici pour accéder à un guide sur les stades du soya. Jusqu’au stade R5, le soya peut subir des pertes de rendement si le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant est atteint ET QUE la population de pucerons est en augmentation. L’atteinte du seuil d’alerte ne signifie pas qu’un insecticide doit être appliqué immédiatement, mais qu’il est nécessaire de dépister en comptant le nombre moyen de pucerons par plant et l’abondance des ennemis Lire la suite
1 à 10 sur 2234
Infolettre Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP)

M'abonner au RAP

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.