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Solanacées, Avertissement No 7, 9 juillet 2020
09 juillet 2020
Période critique pour le calcium. Plusieurs insectes traités ou à surveiller. Différencier la chute physiologique des fleurs ou des jeunes fruits avec les dommages de nutrition causés par les adultes de punaise terne. Dommages et traitements contre la cicadelle de la pomme de terre. Données d’efficacité pour les maladies fongiques dans la tomate de champ.   SITUATION DANS LES CHAMPS Les conditions météorologiques sont propices à de très bons potentiels de récolte dans les légumes fruits à condition de disposer de réserves en eau suffisantes et du matériel d’irrigation nécessaire. Les plants sont très bien développés, portent beaucoup de fruits et les besoins en eau sont très élevés. La chaleur, les jours longs, les vents et le manque de pluie sont autant de facteurs qui sollicitent fortement les systèmes d’irrigation. La période est critique pour limiter les désordres de carence en calcium et la bonne maîtrise de l’irrigation est le facteur clé.     INSECTES : ÉTAT DE LA SITUATION Des traitements ont été nécessaires dans plusieurs régions pour le doryphore, le tétranyque à deux points, la punaise terne, la chrysomèle trirayée (dans la cerise de terre) et la cicadelle. L’altise est à surveiller, mais les collaborateurs du RAP n’ont pas observé de populations nécessitant des traitements. Suivre les liens pour les rappels des seuils et des stratégies de traitement :  Doryphore Punaise terne, tétranyque et cicadelle  Chrysomèle trirayée Altise   Différencier la chute physiologique des fleurs ou des jeunes fruits avec les dommages de nutrition causés par les adultes de punaise terne   Chute physiologique  C’est un phénomène d’avortement fréquent surtout chez le poivron et dans certaines variétés de tomate « beef ». Les plants sont chargés de beaucoup de jeunes fruits au début nouaison ou de plusieurs fruits qui grossissent en même temps. La charpente foliaire des plants ne pourra pas faire grossir Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 15, 3 septembre 2020
03 septembre 2020
Dommages atypiques sur fruits de poivron. Baisse de l'activité de la plupart des insectes. Stratégie d'intervention contre les maladies bactériennes et fongiques d'ici la fin de saison. Aucun cas de mildiou (P. infestans) au Québec. Marbrure physiologique (gray wall).     DOMMAGES ATYPIQUES D’INSECTE SUR FRUITS DE POIVRON Dans un tunnel froid, un collaborateur de l’Outaouais rapporte des dommages qui s’apparentent à ceux causés par le charançon du poivron. Cet insecte est présent depuis plusieurs années en Ontario et dans le Nord-Est américain, où il cause des dommages sporadiques sur les fruits de poivron en plein champ et en serre. Il ne serait pas étonnant que la présence de cet insecte soit passée inaperçue jusqu’à présent au Québec. Sur la photo en haut à gauche, il pourrait s’agir d’un dommage léger causé par la larve avant qu’elle ne se pupifie pour ensuite émerger en adulte et creuser un trou pour sortir du fruit. Sur la photo du bas à gauche, il pourrait s’agir d’un trou de sortie de l’adulte qui a été fait il y a un certain temps, car la lésion est cicatrisée. La photo de droite provient de l’Ontario et correspond à des dommages sévères. Le charançon du poivron n’est pas connu pour hiberner au Canada. Si vous remarquez des dommages similaires, veuillez svp contacter les avertisseures du RAP Solanacées, Karine Fortier-Brunelle ou Christine Villeneuve.   Symptômes s’apparentant à un léger dommage d’alimentation de larve à l’intérieur du fruit (photo du haut) et au trou de sortie de l’adulte du charançon du poivron (photo du bas) Julien Venne, agr. (MAPAQ, Outaouais)      Dommages sévères d’alimentation causés par les larves de charançon du poivron MAAARO   AUTRES INSECTES Avec les températures plus froides, l’activité des insectes qui s’attaquent au feuillage se maintient à des niveaux tolérables et, dans la plupart des cas, les traitements ne sont plus nécessaires. La punaise terne et les punaises pentatomides peuvent Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 12, 13 août 2020
13 août 2020
Maladies stables ou en légère augmentation. Traitements fongicides : effet de la pluie, fréquence des traitements, efficacité des traitements au cuivre. Fendillement et fentes radiales dans la tomate. Insectes préoccupants cette semaine : tétranyques, punaises, cicadelles, doryphores et pucerons.    MALADIES De façon générale, la saison 2020 n’est pas favorable à une pression élevée des maladies jusqu'à présent. Les symptômes sont apparus tardivement en comparaison avec la moyenne des dernières années. Maladies bactériennes Dans la tomate, les symptômes de chancre bactérien sur les fruits et le feuillage sont, règle générale, plus présents que ceux de la moucheture bactérienne. Le chancre est favorisé par des températures diurnes supérieures à 25 °C et il a été propagé par les précipitations de la dernière semaine, les rosées abondantes, les éclaboussures et par la récolte. Les cas de plants de poivrons touchés par la tache bactérienne sont stables ou en légère augmentation selon les observations de nos collaborateurs.   Chancre bactérien colonisé par Alternaria Les lésions sont en bordure des feuilles. Christine Villeneuve, agr. (MAPAQ) Maladies fongiques Dans la tomate, les symptômes de brûlure alternarienne (Alternaria solani) sont en augmentation légère, sauf dans la région de la Capitale-Nationale où l’évolution des symptômes est plus marquée. En général, les lésions se limitent aux feuilles basales et/ou intermédiaires.   Alternaria sur feuilles d'aubergine Les lésions sont disposées de façon aléatoire sur les feuilles. Christine Villeneuve, agr. (MAPAQ)  Alternaria sur feuilles de tomate Christine Villeneuve, agr. (MAPAQ) Les cas de pourriture sclérotique, de moisissure grise et de verticilliose (aubergine) signalés précédemment sont toujours présents et demeurent stables ou en légère augmentation. On signale l’apparition d’un cas de Phytophthora capsici dans l’aubergine en Montérégie. Lorsque la section de champ affectée est Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 14, 28 août 2020
28 août 2020
Premier signalement de mildiou en Ontario : dépistage et stratégie fongicide. Les maladies fongiques plus préoccupantes cette semaine. Les insectes préoccupants par endroits : tétranyques, pucerons et punaises ternes.    MILDIOU (P. INFESTANS) Le ministère de l’Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario (MAAARO) a annoncé un cas de mildiou (Phytophthora infestans) sur des pommes de terre dans le comté de Norfolk, au sud-ouest de Toronto, en date du 26 août. Aucun cas n’a encore été rapporté au Québec. Une alerte sera publiée sur le réseau si des cas de mildiou sont rapportés dans les pommes de terre ou les tomates dans la province. Un dépistage serré de 2 à 3 fois par semaine va permettre d’identifier rapidement les premiers foyers d’infection, le cas échéant. Les champs les plus à risques sont : Les champs qui ont été moins protégés par des fongicides visant les maladies causées par Alternaria, Septoria ou Colletotrichum (anthracnose). Les zones plus susceptibles à l’humidité, par exemple les baissières, les zones à l’abri du vent, le feuillage dense. Les champs situés près d’autres champs de tomate, de pomme de terre ou de jardins domestiques. Les spores du champignon peuvent se disperser rapidement par voie aérienne à plus de 15 km de la source. Des chercheurs estiment que, durant un orage où les vents atteignent 20 km/h, le mildiou peut se déplacer sur une distance de 80 km en l’espace de 4 heures seulement. L’infection est favorisée par une forte humidité (pluie, rosée, brouillard). Les températures optimales pour le développement de la maladie se situent entre 18 et 25 °C. Par contre, selon l'Université Cornell, le pathogène peut aussi se propager dans des conditions sèches et chaudes si l’humidité relative est élevée. Symptômes Au début de l’infection, les feuilles présentent un symptôme caractéristique de la maladie : présence de taches noir verdâtre, huileuses et irrégulières à l’apex Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 16, 10 septembre 2020
10 septembre 2020
Stratégie d'intervention contre les maladies à la fin de la saison. Tomate : distinguer les symptômes de P. capsici et de mildiou (P. infestans). Fin du piégeage de la pyrale. Remerciements à nos collaborateurs.    STRATÉGIE D’INTERVENTION CONTRE LES MALADIES D’ICI LA FIN DE LA SAISON Les maladies en hausse dans certaines régions sont la moisissure grise, la brûlure alternarienne, la pourriture sclérotique et l'anthracnose. Les nuits fraîches, sous la barre des 13 °C, ne sont pas favorables aux maladies bactériennes.  Les traitements avec les fongicides peuvent cesser dans les champs dont la récolte sera terminée d’ici le 20 septembre. Pour les champs les plus tardifs, un dernier traitement fongicide pourrait être réalisé dans les prochains jours. Pourriture sur fruits de tomate Distinguer les symptômes du mildiou (Phytophtora infestans) de ceux causés par Phytophtora capsici Aucun cas de mildiou n’est rapporté au Québec, ni dans les pommes de terre ni dans les tomates. Par contre, dans des champs de tomate italienne non tuteurée en Montérégie, on signale une pourriture brune sur fruits causée par le champignon de sol P. capsici. Cette maladie a été active en 2020, principalement dans le poivron et les cucurbitacées. C’est le premier signalement dans la tomate. À ce temps-ci de l’année, les traitements pour lutter contre P. capsici sont vains. En Ontario, des essais de fongicides appliqués plus tôt en saison ont démontré une efficacité limitée pour diminuer la pourriture sur les fruits de tomate. Une bonne gestion de l’évacuation de l’eau de surface et un sol non compacté demeurent les meilleures options pour limiter le développement de la maladie. Symptômes Les fruits des plants de tomate non tuteurés sont plus sensibles aux infections causées par P. capsici étant donné qu’ils peuvent être en contact direct avec le sol ou recevoir des éclaboussures de terre contaminée par le champignon. Le vrai mildiou (P. infestans) provient de spores Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 6, 2 juillet 2020
02 juillet 2020
Début de foyers de maladies bactériennes dans le poivron et la tomate. Stratégie d’intervention contre la punaise terne. Le doryphore, les tétranyques, la punaise terne et les punaises pentatomidae sont plus actifs et leur développement sera accéléré. La cicadelle de la pomme de terre est très présente et bien qu’elle soit rarement un problème dans les légumes-fruits, demeurez vigilant.   Depuis la dernière semaine, des orages et des averses sporadiques ont permis de suppléer aux systèmes d’irrigation. Dans plusieurs cas, les réserves en eau baissent de façon alarmante. À certains endroits, les vents violents du 25 juin ont causé des étranglements au collet. L’humidité ambiante plus élevée et la mouillure du feuillage ont favorisé le début de foyers de maladies bactériennes dans le poivron et la tomate.   MALADIES BACTÉRIENNES : TOMATES ET POIVRONS Les maladies fongiques ne sont pas encore signalées dans la tomate et le poivron de champ. Par contre, il sera temps prochainement de débuter une régie de traitement qui protégera à la fois contre les maladies fongiques et bactériennes. Dans le prochain avertissement, il y aura de l’information sur l’efficacité des produits contre les maladies fongiques les plus communes. Des foyers de chancre bactérien et de moucheture dans la tomate et de tache bactérienne dans le poivron sont apparus à la faveur des orages et des averses dispersés. Le climat plus humide favorise aussi leur développement. Consultez la stratégie de traitements contre les maladies bactériennes de la tomate pour la régie de traitement recommandée. Pour le poivron, les mêmes principes s’appliquent sauf que le choix des produits alternatifs au cuivre se limite aux fongicides SERENADE OPTI et MAX à base de Bacillus subtilis. Lorsque votre mise en marché le permet, choisissez des variétés de poivron qui possèdent des résistances à plusieurs races de la tache bactériennes. Les conditions climatiques et la pression relativement faible des maladies Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 8, 16 juillet 2020
16 juillet 2020
Activité des insectes ravageurs. Maladies et poursuite des traitements. Phytotoxicité des savons insecticides. Verticilliose de l’aubergine. Carences en calcium : Que penser des applications additionnelles de calcium? Phytophthora capsici : Dommages rapportés dans le concombre et la courge. Surveillez vos champs pour l’apparition de cette maladie. Les premières récoltes d’aubergine sont en cours et celles de tomate et de poivron vont commencer prochainement. Les plantations ont été réalisées dans de bonnes conditions et la saison annonce pour l’instant de belles récoltes.   INSECTES RAVAGEURS L’activité des punaises pentatomides, de la punaise terne (tomate, poivron, aubergine) et des tétranyques (aubergine) est en hausse, ce qui peut nécessiter des traitements dans certains cas. Pour un contrôle adéquat des tétranyques, l’application d’acaricide doit débuter à l’observation des premiers foyers d’infestation avant l’établissement d’une population élevée. Attendez de 4 à 10 jours après l’application d’un produit pour évaluer l’efficacité du traitement sur les acariens. En régie biologique, les savons insecticides peuvent causer de la phytotoxicité lorsqu’ils sont appliqués en plein jour et par temps chaud. Faites les applications le matin ou en fin de journée.   Phytotoxicité causée par l’usage d’un savon insecticide en plein jour et par temps chaud Marie-Laure Marcotte, agr. (Groupe ProConseil) Tous les stades du doryphore se retrouvent encore dans plusieurs champs d’aubergine et l’efficacité des traitements est variable. La cicadelle demeure à surveiller et on observe l’apparition de pourtour de feuilles jaunies sur des plants de poivron et d’aubergine. Les pucerons et les altises sont observés, mais ne nécessitent pas d’intervention pour le moment, car les seuils d’intervention ne sont pas atteints. Pyrale du  maïs : Aucune capture dans les champs de poivron. Dans le réseau maïs sucré, seulement quelques captures en Chaudière-Appalaches, Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 10, 30 juillet 2020
30 juillet 2020
Insectes les plus préoccupants cette semaine : cicadelle, tétranyque et punaise terne. Un insecte inhabituel, Microtechnites bractatus, signalé dans les tunnels froids en Estrie. Apparition de la moisissure grise dans la tomate. Nouveaux cas de tache bactérienne et de Phytophtora capsici dans le poivron.   INSECTES Début de capture de papillons de la pyrale bivoltine (2e génération). Les décomptes sont nuls dans une majorité de sites, tandis que des sites comptabilisent de 1 à 4 papillons par semaine. Ces quantités demeurent toutefois sous le seuil de traitement recommandé, soit 7 papillons capturés au cours de la dernière semaine. Consultez la fiche technique sur la pyrale pour identifier les champs les plus à risque et, au besoin, planifiez un traitement la semaine prochaine. La punaise terne nécessite des interventions dans des champs ou des tunnels froids de poivrons et d’aubergines, car elle s’attaque aux boutons floraux. Les pucerons sont plus actifs dans des champs de poivrons et d’aubergines, et ils peuvent nécessiter des traitements. Consultez les seuils d’intervention pour la punaise et le puceron.   TÉTRANYQUE DANS L’AUBERGINE Dans l’aubergine, les foyers de tétranyques progressent à la faveur des températures chaudes et sèches. Il est souvent nécessaire de répéter les traitements afin de contrôler les œufs, les larves ou les adultes ayant échappé au traitement. Environ une semaine après une intervention, il est nécessaire d’évaluer la présence d’acariens vivants. Ce ravageur se reproduit très vite par temps chaud, et il est souvent nécessaire de faire plusieurs applications d’acaricides. Alternez les matières actives après 2 traitements afin de limiter l’apparition de résistance.   Dommages de nutrition du tétranyque à deux points sur feuille d’aubergine Photo : Christine Villeneuve, agr. (MAPAQ)   CICADELLE DE LA POMME DE TERRE DANS L’AUBERGINE ET LE POIVRON L’année 2020 est Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 4, 18 juin 2020
18 juin 2020
Dommages du vent et systèmes d’irrigation très sollicités. Insectes : vers gris très présents dans de nombreuses cultures; punaise terne et doryphore à surveiller. Pucerons : stratégie de traitement et potentiel d'efficacité de certains produits homologués.   En raison de la crise de la COVID-19, le Québec pourrait faire face à une perturbation de son approvisionnement d’équipements de protection individuelle (EPI) au cours de l’été 2020, laquelle perturbation pourrait mener à une pénurie. En toute circonstance, le respect des étiquettes des pesticides et le port d’EPI approprié sont obligatoires (article 36 du Code de gestion des pesticides). La meilleure protection contre l’exposition aux pesticides est de porter un équipement de protection individuelle. Si vous n’êtes pas en mesure de vous procurer un EPI : Ne pas appliquer de pesticides sans les EPI appropriés. Assurez-vous de porter les protections prescrites sur l’étiquette. Si possible, retardez les applications jusqu’à l’obtention des bons EPI. Utilisez des produits à moindre risque pour la santé (consultez SAgE pesticides) pour connaître les IRS des produits) ou pensez aux solutions de rechange. Utilisez, s’il y a lieu, des pesticides qui pourraient être appliqués avec des EPI actuellement disponibles ou réutilisables, comme des gants lavables et réutilisables. Advenant un manque dans l’approvisionnement des EPI, veuillez contacter votre fédération régionale de l’UPA pour les informer de la situation. Des démarches sont en cours pour assurer la disponibilité des équipements.     SITUATION ACTUELLE Climat Les températures passent d’un extrême à l’autre. Dans la dernière semaine, des températures sous la barre du zéro ou tout près ont été observées à certains endroits, alors que du temps caniculaire est en cours. Les quantités de pluie reçues sont très faibles, voire sous les normales. Les systèmes d’irrigation sont fortement sollicités et, dans certains cas, les réserves en eau baissent rapidement Lire la suite
Solanacées, Avertissement No 9, 23 juillet 2020
23 juillet 2020
Insectes présents, mais sous contrôle. Premières observations de tarsonème et de sphinx de la tomate. Maladies : progression des maladies bactériennes. Premières observations de Phytophthora capsici sur poivron et de moisissure olive sur tomate en tunnel chenille. Autres dommages : chute physiologique de fruits, insolations et mauvaise pollinisation. Les récoltes d’aubergines et de tomates se poursuivent, et les premières récoltes de poivrons sont commencées.   INSECTES Très peu de captures de pyrale encore cette semaine, tant dans le sous-réseau Solanacées que dans le sous-réseau Maïs sucré. Les traitements sont rarement justifiés et, en général, un seul traitement contre la race univoltine suffit. Le contrôle des autres insectes se poursuit. Les punaises ternes, les tétranyques et les cicadelles dépassent les seuils à certains endroits, alors que les populations de pucerons et de doryphores sont contrôlées et en diminution. L’altise n’est généralement pas un ravageur important dans les cultures de solanacées. Mais, cette semaine, les altises ont été rapportées en nombre suffisant pour justifier des traitements en Montérégie-Est. Le temps chaud et sec lui est favorable. Il est donc important de bien surveiller vos champs pour pouvoir intervenir si nécessaire. Il n’y a pas de seuil d’intervention au Québec, mais selon le recueil des seuils d'intervention en cultures maraîchères, le seuil utilisé dans le Nord-Est américain est une défoliation supérieure à 30 % ou 8 altises/plant à ce temps-ci de l’année, lorsque les plantes sont bien développées.   Tarsonème du fraisier dans le poivron   Les feuilles gaufrées et les cicatrices liégeuses sous le pédoncule indiquent la présence de tarsonème du fraisier. Photo : Karine Fortier-Brunelle, agr. (MAPAQ) La présence de tarsonème est signalée, dans la région de Québec, dans quelques champs de poivrons situés près de vieux champs de fraises. Cet acarien s’observe au niveau de la tête des plants. Lire la suite
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