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03 novembre 2025
L'aleurode des serres et l'aleurode du tabac dans les cultures maraîchères en serre
14 mars 2023
Aleurode des serres et aleurode du tabac
01 octobre 2019
État de la situation des cultures de poinsettias en serre Présence modérée d’aleurodes du tabac.
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 9, 14 octobre 2021
14 octobre 2021
État de la situation des cultures de poinsettias en serre : présence modérée d’aleurodes du tabac et de tétranyques de Lewis affectant certains cultivars.     ALEURODE DU TABAC (BEMISIA TABACI)   Dans les cultures de poinsettias, les populations d’aleurodes sont encore bien contrôlées selon nos collaborateurs. La lutte conventionnelle, la lutte biologique et la lutte intégrée ont donné de bons résultats jusqu’à maintenant, dans les entreprises visitées.   Rappel Il est possible de vérifier si le contrôle de Bemisia tabaci est efficace et prometteur pour la fin de la culture du poinsettia, et ce, en utilisant une méthode développée par Graeme Murphy et publiée par Sarah Jandricic, du ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario (MAAARO) :   Vérifier 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia tabaci en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia tabaci), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre), si le taux de plants infestés est de plus de 20 %, la lutte biologique en place ne suffirait pas à assurer un contrôle suffisant jusqu’à la fin de la saison. On pourrait alors envisager une intervention avec des insecticides. Si le taux de 20 % est atteint en novembre, on propose de maintenir la lutte biologique jusqu’à la fin de la production, mais un traitement insecticide pourra être envisagé en prévision de la vente.   Forte population d'aleurodes du tabac (Bemisia tabaci) dans le poinsettia Photo: IQDHO En lutte conventionnelle, il est aussi important de faire un suivi des populations pour vérifier l’efficacité des traitements et la nécessité d’intervenir. L’emploi Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 10, 29 septembre 2020
29 septembre 2020
État de la situation des cultures du poinsettia en serre : présence de l’aleurode du tabac en nombre variable selon les entreprises. Période propice à l’apparition de maladies racinaires.   CONTRÔLE DES ALEURODES DU TABAC (Bemisia tabaci) L’aleurode est présent dans les cultures de poinsettias. De façon générale, selon nos observateurs, les populations sont encore bien contrôlées par la lutte intégrée, en lutte conventionnelle, et par la lutte biologique dans les serres visitées. Stratégie face à la résistance aux insecticides Bemisia tabaci de souche Q, généralement présent dans la culture du poinsettia, est résistant à de nombreuses matières actives. En effet, certains pesticides chimiques vont éliminer tous les Bemisia sensibles (souche B), alors que les Bemisia résistants (souche Q) vont survivre et continuer de se reproduire. En fin de saison, il pourrait alors être impossible de les éliminer avant la vente.   En retardant la lutte chimique, par exemple en utilisant la lutte biologique, on laisse la souche B constituer une plus grande proportion de la population. Les aleurodes de cette souche seront plus faciles à éliminer par des traitements chimiques en dernier recours, à la fin de la saison.   Aleurode du tabac sur poinsettia Photo : IQDHO Calcul – Poursuivre la lutte biologique ou traiter Il est possible d’estimer si le contrôle de Bemisia sera efficace jusqu’à la fin de la saison de culture du poinsettia en utilisant une méthode rapide publiée par Sarah Jandricic (MAAAR Ontario) :   Inspecter 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre), Lire la suite
01 octobre 2019
État de la situation des cultures de poinsettias en serre. Présence d’aleurodes du tabac. Conditions favorables au développement du Pythium et du Rhizoctonia. Enracinement faible ou inégal à la réception des boutures.
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 13, 10 septembre 2024
10 septembre 2024
Thrips parvispinus dans les plantes tropicales. Suivi des ravageurs du poinsettia.   THRIPS PARVISPINUS   Thrips parvispinus a été observé dans plusieurs espèces de plantes tropicales en serre, dont Gardenia, Schefflera, Passiflora et Adenium. Malgré la présence de peu d’individus détectables, les dommages sont importants, particulièrement aux apex des plants. La taille des végétaux affectés est parfois nécessaire, afin de les rendre vendables à nouveau. Selon une récente étude américaine, les insecticides à base d’huile minérale ou de spinosad sont parmi les plus efficaces contre cet insecte.   Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO   RAVAGEURS DU POINSETTIA   La vigilance est aussi de mise quant à Thrips parvispinus dans la culture du poinsettia. En effet, la spécialiste de l’Ontario, Sarah Jandricic, a publié un texte au sujet d'un cas où Thrips parvispinus se serait introduit dans les serres de poinsettia via des plantes tropicales, causant des dommages (voir). Des cas suspects non confirmés ont été aperçus au Québec. Les entreprises qui hébergent à la fois des plantes tropicales et des poinsettias devraient donc éviter de les placer dans des serres communes. Si c’est déjà fait, ouvrir l’œil pour détecter les symptômes. Consulter un agronome ou envoyer des échantillons au Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ pour une identification. Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) est encore observé occasionnellement par nos collaborateurs. Les populations sont faibles, mais des interventions locales sont recommandées, ainsi qu’un dépistage rigoureux et régulier. L’aleurode du tabac (Bemisia tabaci) est présent dans plusieurs serres de poinsettia. À ce jour, on nous rapporte un contrôle satisfaisant autant par la lutte biologique que conventionnelle. Le décompte hebdomadaire sur des pièges Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 5, 23 mars 2022
23 mars 2022
Évolution de la situation du Xanthomonas dans les géraniums. Bégonias tubérisés à l’arrivage. Présence d’aleurodes, de thrips, de pucerons, de tétranyques à deux points et d’Echinothrips dans certains arrivages. ÉVOLUTION DE LA SITUATION DU XANTHOMONAS DANS LES GÉRANIUMS La vigilance est de mise dans les entreprises produisant des géraniums (Pelargonium spp.). Les hybrideurs ont pu prévenir leurs clients de la réception de lots potentiellement contaminés par Xanthomonas hortorum pv. Pelargonii. Toutefois, l’achat et la revente de ces boutures après l’enracinement peuvent avoir fait perdre la trace de plants affectés sur le marché. Nos collaborateurs ont observé des plants suspects présentant des symptômes typiques, qui ont été envoyés au laboratoire (LEDP) pour obtenir un diagnostic. Avant même la détection de la bactérie, il est important de mettre en place des mesures d’hygiène strictes pour limiter sa propagation. Éviter de manipuler les plants lorsque le feuillage est mouillé. Se laver fréquemment les mains lorsqu’on doit toucher aux Pelargonium spp. Placer séparément les géraniums provenant de fournisseurs différents. Ne pas suspendre des jardinières de géraniums au-dessus d’autres plants de géraniums.   Fiche technique : Pourriture bactérienne du géranium (Xanthomonas) BÉGONIAS TUBÉRISÉS À L’ARRIVAGE   Begonia x tuberhybrida ayant formé un tubercule Photo : IQDHO On nous a rapporté que des entreprises serricoles ont reçu des plantules de bégonias tubéreux (Begonia x tuberhybrida) ayant déjà formé un tubercule. Ce phénomène ralentit la croissance de façon importante, puisque le plant est alors entré en dormance. Pour prévenir la tubérisation des bégonias tubéreux, il faut fournir un minimum de 12 heures de lumière par jour. S’assurer que la température de la serre n'est pas maintenue froide.   Avertissement N° 1 – 26 février 2015 : Attention à la dormance des bégonias en serre   DÉPISTAGE DES ARRIVAGES Lire la suite
Cultures ornementales en serre, Avertissement No 14, 8 octobre 2024
08 octobre 2024
Ennemis des cultures dans les arrivages de plantes tropicales. Suivi des ravageurs du poinsettia.   ENNEMIS DANS LES ARRIVAGES DE PLANTES TROPICALES   Nos collaborateurs ont observé une diversité de ravageurs dans des plantes tropicales livrées récemment, notamment en provenance de la Floride. À leur arrivée, mettre les plantes tropicales en quarantaine et procéder à un dépistage attentif. La présence de tétranyques à deux points (Tetranychus urticae) a été détectée dans des Hibiscus, des crotons (Codiaeum) et des oiseaux du paradis (Strelizia). Le thrips du figuier (Gynaikothrips uzeli) a été trouvé dans un arrivage de Ficus benjamina. Ils causent des taches foliaires et l’enroulement des feuilles des figuiers. Il en avait été question dans l’avertissement N° 5 du 28 mars 2023. Thrips parvispinus a été observé dans des plants de Hoya, de Mandevilla et de Schefflera. Une population de thrips de l’impatiens (Echinothrips americanus) se trouvait dans des arrivages de Calathea et d’Alocasia. Des cochenilles farineuses étaient présentes dans des arrivages de goyaviers (Psidium guajava). La présence de l’aleurode du figuier (Singhiella simplex) a été détectée dans des caoutchoucs (Ficus elastica). Voir la fiche Ficus whitefly de l’Université de Floride (en anglais) pour en apprendre plus sur ce ravageur.   RAVAGEURS DU POINSETTIA   Dommages du tétranyque de Lewis sur des feuilles de poinsettia Photo : IQDHO Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) est encore observé par nos collaborateurs. Les populations sont faibles, mais semblent difficiles à contrôler par les insecticides conventionnels et biologiques. La surveillance est de mise. Le retrait des plants fortement atteints est recommandé. L’aleurode du tabac (Bemisia tabaci) est bien contrôlé en général; on nous rapporte un contrôle satisfaisant autant par la lutte biologique que conventionnelle.    POUR PLUS D'INFORMATION    Fiche technique : Poinsettia Lire la suite
19 décembre 2014
- L’aleurode de souche Q toujours présent dans les serres au québec.
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