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Grandes cultures, Avertissement No 4, 26 mai 2020
25 mai 2020
Des cartes prévisionnelles pour déterminer le risque d’infection  par la FUSARIOSE : à consulter en fonction du stade de croissance des céréales. Le DÉSHERBAGE ET LE TEMPS SEC. La MOUCHE DE HESSE : elle peut passer inaperçue tout en causant des pertes dans le blé. La CARENCE EN MN.     SURVEILLER LE RISQUE D’INFECTION PAR LA FUSARIOSE DE L’ÉPI À L’AIDE DE CARTES PRÉVISIONNELLES Yves Dion, agr. (MAPAQ) et Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM)   La fusariose de l’épi est une maladie des céréales d’importance. Dans le sud de la province, les conditions climatiques favorables au développement des céréales d’automne font en sorte que la période critique pour l’infection arrive rapidement. L’infection par le Fusarium est fortement associée aux variables climatiques suivantes : précipitations, humidité et température de l’air. Si le risque d’infection est élevé, il peut être envisagé d'effectuer un traitement avec un fongicide. Cependant, il faut prendre en compte que la période d'intervention est très courte. Il faut être à l’affût du développement de la culture dès l’épiaison pour ne pas rater la fenêtre d’application. L’intervention doit être réalisée avant la mi-floraison. Plus précisément, la culture doit présenter plus de 70 % des épis entre le stade début floraison et le stade mi-floraison (voir le schéma ci-dessous). Il faut minimiser la proportion des épis dont la floraison est complétée.   Source : Fiche technique La fusariose de l’épi chez les céréales. Afin de vérifier le niveau de risque lorsque le blé se rapproche de la période critique, consultez ces cartes interactives qui présentent le niveau de risque d’infection de la fusariose de l’épi. Ces cartes sont publiées par le Réseau d’avertissements phytosanitaires en grandes cultures, en partenariat avec Agrométéo Québec et Agriculture et Agroalimentaire Canada. Pour en savoir davantage sur la maladie, veuillez vous référer à la fiche technique La Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 2, 13 mai 2020
12 mai 2020
Les sujets de cet avertissement : la germination et la levée du maïs, du soya et des céréales en sols froids; les températures froides qui peuvent retarder le bon moment pour dépister les vers fil-de-fer; quoi faire pour prévenir les dommages causés par la mouche des semis; et l’impact du froid sur les opérations de désherbage.   LA GERMINATION ET LA LEVÉE DES CULTURES EN SOLS FROIDS Yves Dion, agr. (MAPAQ), Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) et Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM) Ce printemps froid que nous connaissons présentement s’étire en longueur, et les conditions sont relativement sèches dans certaines régions. Quel est l’impact de ces conditions sur la germination et la levée des cultures? Maïs Pour les semis déjà en terre, les grains de maïs sont probablement en train de germer : malgré les conditions relativement sèches, l’eau du sol a été suffisante pour être absorbée par le grain (imbibition), et le processus de germination a été enclenché. À ce stade de développement, les grains gonflent, les tissus sont fragiles et on peut faire face à des dommages à l’imbibition par le froid. Ce risque se situe dans les 24 à 48 heures après la mise en terre. La germination du maïs est affectée par des températures du sol inférieures à 10 °C, et les dommages sont plus importants lorsque le sol se refroidit en deçà de 5°C. Voici les dommages que peut entraîner le froid lors de la germination : Arrêt complet de la germination. Interruption de croissance des premières racines ou du coléoptile (enveloppe de laquelle sortent les premières feuilles). Déformation du mésocotyle (tissu connectant le grain au coléoptile), lequel apparaît comme un tire-bouchon (figure1). Ce phénomène est attribuable à des dommages physiques aux cellules et aux tissus externes, qui affectent l’élongation de ces zones, mais pas celle des tissus plus internes : ce dommage est physiologique et ne doit pas être confondu avec un dommage causé par un pesticide. Retard de levée Lire la suite
11 mai 2021
Temps froid et gel printanier : effets sur les cultures
02 juin 2022
Phytotoxicités causées par les herbicides en grandes cultures : causes et diagnostic
Grandes cultures, Avertissement No 12, 3 juillet 2020
03 juillet 2020
Traitements herbicides tardifs : quelques éléments à prendre en considération. Nouveaux cas de vers gris rapportés au Bas-Saint-Laurent. Comment faire face à la pourriture à sclérotes dans le soya. État de la situation des insectes pouvant affecter le canola.   TRAITEMENTS HERBICIDES TARDIFS : QUELQUES ÉLÉMENTS À PRENDRE EN CONSIDÉRATION Brigitte Duval, Véronique Samson et Julie Breault, agronomes (MAPAQ) Pour plusieurs champs, les traitements herbicides sont terminés ou en voie de l’être. Environ 7 à 10 jours après les traitements, c’est le moment de vérifier leur efficacité. Une des causes possibles d’un traitement qui n’aurait pas eu l’efficacité attendue est la sécheresse. Elle peut avoir réduit l’efficacité des produits qui nécessitent une pluie pour les activer, comme c'est le cas pour plusieurs antigraminées. Pour plus d’information sur le désherbage et le temps sec, consultez l’avertissement Nº 4 du 26 mai 2020. Si un traitement supplémentaire est envisagé pour contrôler les échappées de mauvaises herbes, certains éléments doivent être pris en considération. Le stade de la culture ou certaines mauvaises herbes peuvent être trop avancés pour que le traitement soit sécuritaire pour la culture ou efficace. Vérifiez l’étiquette des herbicides pour vous assurer de respecter les stades maximaux et, au besoin, ajustez la dose et la quantité de bouillie en conséquence selon les directives des étiquettes. Par exemple, certains herbicides ne peuvent pas être appliqués dans le soya si celui-ci est en fleurs. D’ailleurs, plusieurs ont remarqué une floraison hâtive du soya cette année, ce qui peut être dû au stress causé par la sécheresse et la chaleur. Dans le maïs également, certains herbicides appliqués à un stade avancé peuvent causer des symptômes de phytotoxicité et nuire au développement. Par exemple, dans le maïs tolérant au glyphosate, à partir du stade 9 feuilles du maïs, les épis en formation peuvent être affectés par une application de glyphosate. A Lire la suite
05 mars 2021
Portrait de la résistance des mauvaises herbes aux herbicides au Québec (2011-2019)
20 mai 2021
Herbicides du groupe 14 appliqués en prélevée du soya : conditions favorisant les dommages à la culture
Grandes cultures, Avertissement No 7, 12 juin 2020
12 juin 2020
Malherbologie : attention aux herbicides inutiles (céréales) et contrôle du maïs spontané (soya). Problèmes à la levée du maïs : les causes possibles. Insectes : dommages de calandres et de ver-gris noir (maïs) et l'état des populations d'altises et de la cécidomyie du chou-fleur (canola). Maladies : fusariose de l'épi.   LE CONTRÔLE DE MAUVAISES HERBES DANS LES CÉRÉALES : PRENEZ LE TEMPS DE DÉPISTER VOS CHAMPS Yvan Faucher, agr. et Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) Les céréales, lorsque bien établies, sont généralement très compétitives envers les mauvaises herbes, en raison de leur vigueur et leur départ hâtif. Dans le cas des céréales d’automne, il arrive souvent qu’aucun herbicide ne soit nécessaire pour contrôler les mauvaises herbes.  Puisque le désherbage se fait principalement en postlevée de la céréale, un dépistage est possible avant l’application des produits et permet de les sélectionner en fonction des mauvaises herbes présentes. Lorsque la céréale est bien établie, l’ajout d’un antigraminées (PUMA ADVANCE, AXIAL, VARRO, etc.) n’est souvent pas nécessaire, excepté dans les champs où la folle avoine est problématique.  Pour le contrôle des feuilles larges, les produits à base de bromoxynil et de MCPA (BUCTRIL M, IPCO LOGIC M, MEXTROL, BADGE) sont souvent utilisés. Ces produits ont des indices de risque élevés pour la santé,  principalement en raison du bromoxynil qu’ils contiennent. Le MCPA seul pourrait être une excellente option pour son coût moins élevé, mais surtout pour son indice de risque 4 fois plus faible pour la santé. Toutefois, le bromoxynil permet de contrôler certaines mauvaises herbes à un stade plus avancé. Si vous faites vos applications avant le stade 4 feuilles de la mauvaise herbe, la présence de la renouée liseron ou persicaire dans vos champs serait la seule raison valable pour utiliser du bromoxynil sur les céréales. Une application seule de MCPA n’offre pas un contrôle suffisant pour ces Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 9, 29 juin 2023
29 juin 2023
Fusariose de l'épi : conditions favorables à l'infection. Ravageurs du blé méconnus. Criocère des céréales : observations non problématiques. Premiers pucerons du soya. Soya jaune ou pâle : causes possibles. Soya : carences en potassium et manganèse. Charançon de la silique (Chaudière-Appalaches). Charançon postiche de la luzerne (Estrie et Outaouais). Herbicides : délais avant récolte et rotations.     FUSARIOSE DE L'ÉPI DES CÉRÉALES : CONDITIONS FAVORABLES À L'INFECTION Y. Dion1, T. Copley2, B. Duval1, V. Samson1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM)   Les précipitations, le taux d’humidité élevé et les températures des derniers jours et des jours à venir sont très favorables à l’infection causant la fusariose de l’épi des céréales si la culture est au stade critique pour l’infection. Dans le cas du blé d’automne, la floraison est en large part chose du passé. Si la culture est en postfloraison, le risque d’infection est pratiquement inexistant. Par contre, si le blé est en floraison, les risques sont actuellement présents et élevés dans plusieurs régions. Dans le cas de toute culture de blé qui est en épiaison ou au début de la floraison, il convient de suivre les niveaux de risque affichés sur les cartes d’Agrométéo Québec (voir les informations ci-dessous). Les précipitations et la chaleur qu’on observe vont induire un fort développement des cultures et précipiter l’épiaison chez le blé et autres céréales de printemps, mais les précipitations rendent difficiles les interventions au champ.  Il faut surveiller étroitement le développement de la culture de la céréale, les niveaux de risque pour la fusariose de l’épi ainsi que les conditions météorologiques prévues pendant la période critique d’infection. Pour assurer l’efficacité d’une application de fongicide, chez le blé, le traitement doit être réalisé avant la mi-floraison. Plus de 70 % des épis doivent se situer entre le stade début floraison (début de la sortie des Lire la suite
06 mai 2022
Désherbage de début de saison
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