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24 août 2023
Jaunissement du soya en fin de saison : sénescence normale ou problème phytosanitaire?
Grandes cultures, Avertissement No 17, 18 août 2023
18 août 2023
Puceron du soya : les populations sont majoritairement faibles et le stade du soya ne sera bientôt plus à risque. Défoliation dans le soya : quel ravageur fait quel dommage? Chrysomèle de l'asclépiade. PUCERON DU SOYA : LES POPULATIONS SONT MAJORITAIREMENT FAIBLES ET LE STADE DU SOYA NE SERA BIENTÔT PLUS À RISQUE J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2, S. Boquel1 et J. Breault2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ)    Selon les dépistages effectués les 14 et 15 août dans 62 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures, le puceron du soya était présent dans 59 champs. Toutefois, les populations sont encore très faibles, avec une moyenne provinciale de 31,8 pucerons/plant. Un seul site dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Ce site est situé à Valcourt (Estrie) avec une moyenne de 355 pucerons/plant; le soya est au stade R5. La majorité des champs dépistés a maintenant atteint les stades R5 ou R6 et les infestations survenant à partir du stade R5 affectent peu le rendement du soya. Ainsi, compte tenu des faibles populations de pucerons et du stade de la culture, il y a peu de risque que les pucerons causent des pertes de rendement cette année. Si vous souhaitez plus de détails, vous pouvez consulter le document Lutte intégrée contre le puceron du soya.     DÉFOLIATION DANS LE SOYA : QUEL RAVAGEUR FAIT QUEL DOMMAGE? Y. Faucher1, B. Duval1, S. Brousseau-Trudel1, S. Boquel2 et J. Saguez2 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM)   On observe, à cette période de la saison, différents insectes défoliateurs dans les champs de soya. Même s’il n’est pas toujours possible d’observer le ravageur en action, il est souvent possible, par la façon dont la feuille est défoliée, d’identifier celui qui est en cause. La figure ci-dessous présente l’aspect des dommages causés par les principaux défoliateurs dans le soya. Dommages de défoliation du soya par divers ravageurs : A) Limaces   B) Scarabées Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 16, 11 août 2023
11 août 2023
VGOH : captures de papillons généralement en baisse. Le dépistage des masses d'oeufs et des jeunes larves est requis pour déterminer le besoin d'une intervention. Chrysomèle du haricot observée dans le soya. Puceron du soya : les populations sont faibles dans tous les sites, sauf pour un champ (Lanaudière). Maladies foliaires du soya en fin de saison.   VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT (VGOH) : LES CAPTURES DE PAPILLONS COMMENCENT À DIMINUER SUR PLUSIEURS SITES. DÉPISTEZ LES MASSES D'OEUFS ET LES JEUNES LARVES POUR SAVOIR SI UNE INTERVENTION EST JUSTIFIÉE J. Saguez1, J. Breault2, V. Samson2, S. Brousseau-Trudel2, B. Duval2   1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ)   Au cours de la dernière semaine, bien que des augmentations aient été observées sur quelques sites, les captures de papillons ont commencé à diminuer dans une grande majorité des pièges (voir le tableau des captures). Cette année semble être une année record pour les captures de papillons mâles, puisque la moyenne provinciale dépasse celle des années précédentes.   Toutefois, seulement quelques sites dépassent le seuil économique d’intervention pour le maïs grain utilisé en Amérique du Nord (5 % de plants infestés, qui est un seuil cumulatif basé sur les différentes semaines de dépistage). Les sites infestés se trouvent notamment en Mauricie et en Outaouais. Le dépistage des masses d’œufs et des jeunes larves est encore de mise pour les deux prochaines semaines dans les champs de maïs à risque, puisque les papillons sont actifs et pondent pendant quelques semaines. Les masses d’œufs sont pondues aléatoirement dans les champs. Il est donc important de dépister les masses d’œufs et les jeunes larves à plusieurs endroits dans le champ. Plusieurs producteurs et conseillers se posent la question s’ils doivent intervenir et quand. Voici quelques éléments à considérer pour la prise de décision :   Si le champ se trouve sous le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 15, 4 août 2023
04 août 2023
VGOH : captures augmentent fortement, seuil atteint pour le nombre de masses d’œufs sur quelques sites. Pourriture à sclérotes : stade critique d’infection passé pour la plupart des champs. Quelques cas de pourriture phytophthoréenne du soya. Puceron du soya : augmentation très tranquille des populations et dépassement du seuil d’alerte dans un champ de Lanaudière.   VGOH : LES CAPTURES DE PAPILLONS AUGMENTENT FORTEMENT ET QUELQUES SITES ATTEIGNENT LE SEUIL ÉCONOMIQUE D'INTERVENTION POUR LE NOMBRE DE MASSES D'OEUFS  J. Saguez1, J. Breault2, B. Duval2, S. Mathieu2 et C. Rieux2    1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronomes (MAPAQ) Les captures de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont augmenté dans toutes les régions du Québec. Dans plusieurs pièges, ils se comptent par centaines (voir le tableau). Cette semaine, c’est dans un piège situé à Saint-Étienne-des-Grès (Mauricie) que les captures étaient les plus abondantes, avec plus de 1 000 spécimens capturés. Elles sont plus importantes que les autres années à la même date.   Évolution des captures moyennes de papillons de VGOH au cours des dernières années   Les captures de papillons ne sont toutefois qu’un indicateur de la présence de populations dans une région. Elles ne permettent pas de juger de la pertinence d’une intervention dans le champ où un piège est installé. Seul le dépistage permet de savoir si les papillons ont pondu dans les champs. Nous sommes actuellement dans une période propice pour le dépistage des masses d’œufs dans les champs de maïs à risque qui ont atteint le stade VT. Parmi les 40 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures pour le dépistage des masses d’œufs, des masses d’œufs et des jeunes larves ont été retrouvées dans six champs. Par contre, le seuil économique d’intervention (5% de plants affectés) n’a été atteint que pour deux champs situés à Saint-Étienne-des-Grès, soit 5 % de la totalité des champs suivis par le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 28 juillet 2023
28 juillet 2023
Risques pour la sclérotiniose du soya. Faible augmentation du puceron du soya. VGOH : augmentation des captures et masses d'oeufs observées. Amarante tuberculée : dépistage et arrachage. Maladies, mycotoxines et fongicides dans le maïs. Dépistage des chrysomèles des racines du maïs. Préserver la qualité des grains des céréales.   SCLÉROTINIOSE DU SOYA : QUEL RISQUE?  Y. Dion1, T. Copley2, Y. Faucher1, S. Mathieu1 et J. Breault1    1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais la situation n’est pas simple. Le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques du champ en culture. Alors, quel est le risque et comment prendre en compte la situation? Les précipitations et les conditions humides observées depuis les dernières semaines induisent un risque pour la pourriture à sclérotes. Aussi, les températures plus fraîches prévues dès le samedi 29 juillet et la semaine suivante peuvent favoriser le développement des spores infectieuses et l’infection du soya s’il est aux stades critiques d’infection (R1 à R3). Les observations les plus récentes, de 30 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent le développement d’apothécies à 9 sites. Voir l'état des observations sur les sites. Dans le tableau des observations, les lignes grisées montrent les données de la semaine du 23 juillet. Le développement des apothécies n’est pas aussi important que les conditions (précipitations, humidité, fermeture des rangs) laissaient présager. Les températures élevées ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire au champignon et pourraient expliquer le Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 21 juillet 2023
21 juillet 2023
Soya : risque pour la pourriture à sclérotes. Syndrome de la mort subite dans le soya. VGOH : faibles captures de papillons et début du dépistage des champs de maïs à risque. Puceron du soya : populations faibles. Insectes défoliateurs dans le soya. Noir des céréales dans le blé d'automne. Le dépistage et le désherbage de mauvaises herbes en prérécolte et postrécolte des céréales d'automne.   SOYA : RISQUE POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES  Y. Dion1, T. Copley2, S. Mathieu1 et B. Duval1    1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Dans l’ensemble des régions, le soya est en floraison (R1 à R3) et il s’agit de la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Les conditions sont généralement favorables au développement de spores infectieuses, mais le risque d’infection varie selon les conditions spécifiques rencontrées à la ferme. Les modèles prévisionnels québécois indiquent actuellement, et pour les prochains jours, des risques généralement élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, les observations les plus récentes, soit du 10 au 19 juillet, des 28 sites de dépistage (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) montrent peu de développement d’apothécies. En effet, des apothécies se sont développées à seulement 6 de ces 28 sites. Voir l'état des observations sur les sites.   Les principales conditions de développement d’apothécies, qui produisent les spores infectieuses, sont les précipitations et le maintien d’un milieu humide dans les 5 premiers centimètres de sol. Un sol humide et la fermeture des rangs constituent des conditions favorables à la germination des sclérotes, à la production d’apothécies et éventuellement à l’infection, lorsque le soya est en floraison. Les températures élevées de la dernière semaine ainsi que la saturation en eau des sols ont pu nuire Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 14 juillet 2023
14 juillet 2023
Soya : risque de la pourriture à sclérotes. Pucerons du soya : populations loin du seuil d'alerte. Champs de céréales et de maïs versés. Cultures inondées. Cécidomyies du chou-fleur : la période à risque pour le canola tire à sa fin. Méligèthe des crucifères : des populations sous les seuils d'intervention.   SOYA : RISQUE POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES Y. Faucher1, T. Copley2, S. Mathieu1 et V. Samson1   1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison ou est au stade R2 (pleine floraison). La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia causant la pourriture à sclérotes. Le risque réel varie d’une région et d’un champ à l’autre selon les facteurs de risque spécifiques du champ et les conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages de sclérotes réalisés au cours des deux dernières semaines, dans 28 champs de soya répartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent la présence d’apothécies dans trois champs, soit en Capitale-Nationale, en Montérégie-Ouest (région de Sainte-Barbe) et au Centre-du-Québec. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au Centre de recherche sur les grains (CÉROM) indiquent des risques moyens à élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie implique qu’il ait un historique de la maladie au champ, que le soya soit en floraison, que le sol soit humide et que la variété soit sensible. L’avertissement N° 10 du 4 juillet 2023 présente les facteurs de risque à prendre à compte pour évaluer le risque réel du développement de la maladie. Dans les cas où les conditions favorisant le développement Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 11, 7 juillet 2023
07 juillet 2023
Sclérotiniose (soya) : risques, efficacité des fongicides. Charançon de la silique : abondance en Chaudière-Appalaches et en Abitibi-Témiscamingue. Cols d'oie (maïs) : dépister les chrysomèles des racines et évaluer les dommages. Effets de la grêle (maïs et soya). Tache brune dans le soya. Herbicides : attention au stade du soya.     SOYA : RISQUES DE SCLÉROTINIOSE ET EFFICACITÉ DES TRAITEMENTS FONGICIDES Y. Faucher1, T. Copley2 et Y. Dion1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) État de la situation du risque de la maladie Dans certaines régions, le soya entre en floraison. La floraison (R1 à R3) est la période critique pour l’infection par Sclerotinia sclerotiorum, causant la sclérotiniose (pourriture à sclérotes). Toutefois, le risque réel dépend des conditions spécifiques du champ, de l’état de la culture et des conditions agroenvironnementales. Les suivis et dépistages les plus récents de sclérotes, au cours de la dernière semaine, dans 28 champs de soya repartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent jusqu’à maintenant de rares développements d’apothécies. Des observations sur le développement d’apothécies ont été notées seulement à deux sites, soit un en Montérégie-Ouest et un autre dans la Capitale-Nationale. Les apothécies sont les structures du champignon qui produisent les spores causant la pourriture à sclérotes. Les modèles prévisionnels québécois développés au CÉROM indiquent des risques moyens ou élevés de développement d’apothécies dans plusieurs régions. Cependant, le risque de développement de la maladie dépend aussi de la capacité des spores du champignon à infecter la plante. Plusieurs conditions doivent être réunies pour le développement de la maladie. L'avertissement N° 10 du 4 juillet dernier présente les facteurs de risque à prendre en compte pour évaluer le risque Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 10, 4 juillet 2023
04 juillet 2023
POURRITURE À SCLÉROTES DU SOYA : RISQUES VARIABLES SELON LE STADE DE LA CULTURE ET LES CONDITIONS LOCALES Y. Dion1, Y. Faucher1, T. Copley2, B. Duval1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM)   Les précipitations et la chaleur des derniers jours ont favorisé le développement du soya : la floraison a débuté ou s’amorce. La situation nécessite de considérer le risque d’infection par Sclerotinia sclerotiorum causant la pourriture à sclérotes (syn. pourriture sclérotique). Les suivis de sclérotes dans 28 champs de soya répartis à travers la province (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie et Saguenay–Lac-Saint-Jean) indiquent qu’aucune apothécie ne s’est développée lors de la semaine du 26 juin. Les informations les plus récentes sur quatre sites (Montérégie-Est, vendredi 30 juin, Chaudière-Appalaches et Capitale-Nationale, 3 juillet) indiquent la présence d’apothécies en Capitale-Nationale. Les apothécies sont de petits champignons produits à partir des sclérotes dans le sol et qui, dans des conditions favorables, produisent des spores qui peuvent infecter les plants de soya aux stades critiques. Les modèles prévisionnels québécois développés au CÉROM indiquent que la majorité des régions ont eu récemment des conditions météorologiques favorables au développement d’apothécies et que le risque de développement d’apothécies demeure élevé cette semaine, ce qui ne signifie pas que le risque d’infection est nécessairement présent. En dépit de la production présumée d’apothécies estimée par les modèles, certaines conditions doivent être réunies pour le développement réel des apothécies et la production de spores, et qu’ainsi, l’infection du soya ait lieu :   L’historique de l’infection du champ. Si la maladie n’a jamais été détectée au champ, le risque d’en développer est faible. Le stade de développement. L’infection se produit essentiellement lorsque le soya est en floraison, Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 9, 29 juin 2023
29 juin 2023
Fusariose de l'épi : conditions favorables à l'infection. Ravageurs du blé méconnus. Criocère des céréales : observations non problématiques. Premiers pucerons du soya. Soya jaune ou pâle : causes possibles. Soya : carences en potassium et manganèse. Charançon de la silique (Chaudière-Appalaches). Charançon postiche de la luzerne (Estrie et Outaouais). Herbicides : délais avant récolte et rotations.     FUSARIOSE DE L'ÉPI DES CÉRÉALES : CONDITIONS FAVORABLES À L'INFECTION Y. Dion1, T. Copley2, B. Duval1, V. Samson1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM)   Les précipitations, le taux d’humidité élevé et les températures des derniers jours et des jours à venir sont très favorables à l’infection causant la fusariose de l’épi des céréales si la culture est au stade critique pour l’infection. Dans le cas du blé d’automne, la floraison est en large part chose du passé. Si la culture est en postfloraison, le risque d’infection est pratiquement inexistant. Par contre, si le blé est en floraison, les risques sont actuellement présents et élevés dans plusieurs régions. Dans le cas de toute culture de blé qui est en épiaison ou au début de la floraison, il convient de suivre les niveaux de risque affichés sur les cartes d’Agrométéo Québec (voir les informations ci-dessous). Les précipitations et la chaleur qu’on observe vont induire un fort développement des cultures et précipiter l’épiaison chez le blé et autres céréales de printemps, mais les précipitations rendent difficiles les interventions au champ.  Il faut surveiller étroitement le développement de la culture de la céréale, les niveaux de risque pour la fusariose de l’épi ainsi que les conditions météorologiques prévues pendant la période critique d’infection. Pour assurer l’efficacité d’une application de fongicide, chez le blé, le traitement doit être réalisé avant la mi-floraison. Plus de 70 % des épis doivent se situer entre le stade début floraison (début de la sortie des Lire la suite
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