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Grandes cultures, Avertissement No 24, 12 septembre 2025
12 septembre 2025
Amarante de Palmer : population détectée près du Québec. Nouveaux cas de tache goudronneuse du maïs au Centre-du-Québec. Maladies foliaires du soya en fin de saison. Céréales d'automne : une option à considérer. AMARANTE DE PALMER : UNE POPULATION DÉTECTÉE TOUT PRÈS DU QUÉBEC A. Picard1, B. Duval1, V. Samson1, S. Flores-Mejia2 et M. St-Laurent1 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheuse (CÉROM)   Figure 1 : Plants d'amarante de Palmer dans un champ de soya, nouvelle population de South Glengarry (Ontario) Source : François Bourdon, agr. CCA Une abondante population d’amarante de Palmer (Amaranthus palmeri) a été découverte au cours des dernières semaines dans un champ de soya d’une ferme située dans le comté de South Glengarry, en Ontario, tout près de la frontière avec le Québec. Cette population proviendrait d’une batteuse récemment acheminée des États-Unis qui aurait été contaminée par des graines d’amarante de Palmer. Cette population a été testée pour la résistance aux herbicides des groupes 2, 5, 9 et 14. Le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ confirme la résistance aux groupes 2 et 9, mais n'exclut pas celle au groupe 5, puisque d'autres mécanismes de résistance que ceux testés sont possibles. La vigilance est donc de mise, puisque cette plante n’a pas encore été observée au Québec. Originaire du sud-ouest des États-Unis et du Mexique, l’amarante de Palmer est maintenant bien établie dans plusieurs États du nord des États-Unis. Sa progression vers le nord démontre qu’elle pourrait s’adapter aux conditions climatiques du Québec.   En cas de doute sur l’espèce d’amarante observée dans un champ, le LEDP offre gratuitement un service d’identification et de détection de la résistance aux herbicides pour toutes les espèces d’amarantes. L’identification précise de l’espèce et du profil de résistance aux herbicides constitue les premières étapes d’une démarche de gestion intégrée des mauvaises Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 22, 3 septembre 2025
03 septembre 2025
TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : UN PREMIER CAS CONFIRMÉ EN 2025, SOYEZ VIGILANTS! T. Copley1, J. Breault2 et B. Duval2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Un premier cas de tache goudronneuse du maïs (Phyllachora maydis) a été rapporté cette année au Centre-du-Québec, dans un champ voisin de celui où la maladie avait été observée en 2024. Le diagnostic a été confirmé par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. L’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain, mais peut réduire la qualité du maïs-ensilage si les plants se dessèchent prématurément. Les conditions météorologiques favorables à la maladie sont des températures diurnes modérées (16 °C à 21 °C), une humidité relative supérieure à 75 % et des feuilles qui demeurent humides pendant environ 7 heures par jour. Les conditions observées ces jours-ci pourraient donc favoriser son développement dans plusieurs régions. La tache goudronneuse est une maladie fongique qui réduit la photosynthèse. Elle se caractérise par des taches noires, rondes ou allongées, surélevées et incrustées dans les tissus des feuilles (voir photos ci-dessous). Elles sont également luisantes, d’où l’aspect goudronneux. Les symptômes sont parfois confondus avec :   Des excréments d'insectes : ceux-ci se délogent facilement lorsqu'on frotte la feuille après l'avoir humidifiée quelques secondes; La rouille commune : les pustules laissent une trace orangée ou noire sur les doigts et présentent souvent un décollement de l'épiderme autour de la lésion (aspect de volcan); Des taches produites par des champignons saprophytes sur des plants en sénescence : généralement poudreuses et non incrustées dans la feuille.   Les taches causées par la tache goudronneuse ne se délogent pas et ne laissent pas de traces sur les doigts lorsque frottées.   Lésions de la tache goudronneuse du maïs Source : LEDP (MAPAQ) Champ de maïs atteint de tache Lire la suite
21 juillet 2025
Fiche technique : La tache goudronneuse du maïs
Grandes cultures, Avertissement No 26, 27 septembre 2024
27 septembre 2024
Nouveaux cas confirmés de tache goudronneuse au Centre-du-Québec et en Montérégie-Est.   TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : DE NOUVEAUX CAS CONFIRMÉS AU CENTRE-DU-QUÉBEC ET EN MONTÉRÉGIE-EST B. Duval1, A. Dionne2, M.-É. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ, LEDP) La semaine dernière, de premiers cas de tâche goudronneuse du maïs (« tar spot of corn ») étaient confirmés au Québec, dans la région du Centre-du-Québec, par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ. Dans les derniers jours, grâce à la vigilance de producteurs et de conseillers agricoles, d’autres cas ont été confirmés par le LEDP. Jusqu’à présent, 5 cas de tache goudronneuse du maïs ont été confirmés, soit 4 cas dans la MRC de Drummond dans la région du Centre-du-Québec et 1 cas dans la MRC des Maskoutains dans la région de la Montérégie-Est. La tache goudronneuse du maïs est une maladie fongique causant des taches noires à l’aspect goudronneux sur les feuilles de maïs et nuisant à la photosynthèse (voir photos ci-dessous). Cependant, l’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain. Pour de plus amples informations sur l’identification de la maladie et les moyens préventifs à mettre en place, consultez l’avertissement N° 25 du 20 septembre 2024.   Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ)   Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ) Photo prise le 16 septembre 2024 Source : B. Duval, agronome (MAPAQ)   Source : LEDP (MAPAQ)   Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 25, 20 septembre 2024
20 septembre 2024
Premiers cas de tache goudronneuse du maïs détectés au Québec.  TACHE GOUDRONNEUSE DU MAÏS : PREMIERS CAS DÉTECTÉS AU QUÉBEC B. Duval1, A. Dionne2, M.-É. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (MAPAQ, LEDP)   Des cas de tache goudronneuse du maïs (« tar spot of corn ») ont été observés pour la première fois la semaine dernière au Québec, grâce à la vigilance de producteurs et de leurs conseillers. Quelques champs de maïs-grain de la région du Centre-du-Québec sont atteints de cette maladie fongique, qui a été confirmée par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ. L’apparition tardive des symptômes n’entraîne généralement pas d’impact sur les rendements de maïs-grain. Toutefois, des mesures préventives peuvent déjà être envisagées pour les prochaines saisons de culture dans les champs atteints, car l’agent pathogène peut survivre sur les résidus de maïs infectés. Ces mesures incluent la mise en place d'une rotation de cultures, le choix d'hybrides de maïs moins sensibles à la maladie et le dépistage des champs afin de détecter hâtivement les symptômes de la maladie. La tache goudronneuse se caractérise par des taches (lésions) noires, surélevées et incrustées dans les tissus des feuilles du maïs. Ces lésions sont rondes ou de forme allongée. Dans certains cas, les lésions sont entourées d’un halo beige ou brun (planche A).       Planche A : Tache goudronneuse du maïs sur des feuilles de maïs-grain, 16 septembre 2024 Photos : B. Duval, agr. (MAPAQ)   Les lésions de la tache goudronneuse sont souvent confondues avec des excréments d’insectes ou avec les symptômes de la rouille commune (planche B). Pour faire la distinction, mouillez pendant quelques secondes la partie de la feuille de maïs qui présente les points noirs suspects, et frottez entre vos doigts. Si le point noir se déloge de la feuille de maïs, il ne s’agit pas de la tache goudronneuse, mais d’excréments Lire la suite
18 mai 2023
Ennemis sous surveillance en 2023 : tache goudronneuse du maïs, amarante de Palmer, Resseliella maxima (« soybean gall midge ») et cécidomyie de la fleur de canola
25 avril 2023
Tache goudronneuse de l'érable
22 juin 2017
État de la situation des cultures ornementales en pépinières : Insectes : Observation des cicadelles. Maladies : Observation de tache goudronneuse, de tache septorienne et de tavelure.
Maïs sucré, Avertissement No 6, 18 juillet 2025
18 juillet 2025
Pyrale du maïs : suite des captures des deux races de pyrale; la situation demeure calme avec quelques dommages par endroits. Ver-gris occidental des haricots (VGOH) : premières captures de papillons dans quelques régions; pas d’observation de masses d’œufs pour l’instant. Autres problématiques phytosanitaires : suite des captures de papillons du ver de l’épi, premières captures de papillons de légionnaire d’automne, début d’observation de pucerons, observation sporadique de charbon et attention à la tache goudronneuse; surveillez les champs à risque.     PYRALE DU MAÏS Dans la dernière semaine, des captures de la première génération de la pyrale bivoltine ont été enregistrées dans la région de Chaudière-Appalaches. Des dommages au champ et de jeunes larves sont observés dans quelques champs; des traitements sont prévus par endroits à la suite d’un dépistage. Des pyrales univoltines ont été capturées dans les régions du Centre-du-Québec, de la Capitale-Nationale et du Bas-St-Laurent. Des masses d’œufs ou de jeunes larves ne sont pas constatées pour cette race pour le moment, mais référez-vous à l’avertissement de la semaine dernière pour prévoir quand les larves commenceront à être actives pour cette vague de pyrale. Au cours des dernières semaines, le RAP Maïs sucré a été sollicité par plusieurs intervenants et entreprises concernant la gestion de la pyrale du maïs. Au fil des dernières années, il a été démontré que les populations de pyrale ont fortement diminué à l’échelle de l’Amérique du Nord, ce qui complique davantage la prise de décision quant à la gestion de ce ravageur. En conséquence, le RAP n'émet plus de recommandations précises sur les dates de traitement. Actuellement, les approches varient d’une entreprise à l’autre :   L'utilisation exclusive des trichogrammes. Calcul autonome des dates de traitement à partir de la fiche technique du RAP Maïs sucré Pyrale du maïs. Traitement basé sur les résultats Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 16, 25 juillet 2025
25 juillet 2025
Pucerons du soya à surveiller. Vers-gris occidental du haricot : quelques masses d'œufs observées. Aucun cas de tache goudronneuse à ce jour au Québec. Pourriture à sclérotes du soya : le risque d'apothécies demeure variable. Carences en potassium et en manganèse dans le soya. Ravageurs des céréales à surveiller. Chrysomèles des racines du maïs à surveiller.   PUCERON DU SOYA : SURVEILLEZ LES CHAMPS DE PRÈS S. Boquel1, J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2 et S. Mathieu2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Cette semaine, des pucerons du soya ont été observés dans 63 des 67 champs suivis par le RAP Grandes cultures. La moyenne provinciale est toujours faible (24,9 pucerons/plant), mais les populations sont en augmentation dans 87 % des champs. Seul un site à Mirabel, dans les Laurentides, dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Cliquez ici pour consulter les données par site. Certains collaborateurs, qui effectuent du dépistage dans des champs non suivis dans le cadre du RAP Grandes cultures nous ont également rapporté que quelques champs présentent des foyers avec des plants stressés en raison de l’abondance des pucerons. Présentement, le stade physiologique du soya varie du stade végétatif à R3, mais la très grande majorité des champs sont au stade R2. À partir du début de la floraison (R1) et jusqu’au stade des premières graines (R5), le soya peut subir des pertes de rendement si les trois conditions suivantes sont rencontrées :   Le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant est atteint; La population de pucerons est en augmentation; Les ennemis naturels sont faibles. Toutefois, l’atteinte du seuil d’alerte ne signifie pas qu’un traitement insecticide doit être appliqué immédiatement, mais plutôt qu’un dépistage plus soutenu est nécessaire (tous les 3 à 7 jours). Il est primordial de faire au moins deux dépistages avant de prendre la décision d’intervenir afin de s’assurer que la population de pucerons est en augmentation. Lire la suite
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