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05 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 17, 5 août 2022
03 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 16, 29 juillet 2022
Grandes cultures, Avertissement No 15, 22 juillet 2022
21 juillet 2022
Puceron du soya : dépistage recommandé dans la plupart des régions. Altises à tête rouge : observées dans du maïs (stades végétatifs), mais pas d'inquiétude. Pourriture à sclérotes du soya : suivi et vigilance. Pucerons et virus de la jaunisse nanisante de l'orge : présence observée dans des céréales de printemps. Mauvaises herbes : dépistage et détection de résistances. Ravageurs du canola : situation tranquille. Ver-gris occidental des haricots : faibles captures de papillons, dépistage dans les champs à risque.   PUCERON DU SOYA : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LA PLUPART DES RÉGIONS S. Mathieu 1, B. Duval 1, J. Breault 1, J. Saguez 2 et M. Neau 3 1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)   Les populations du puceron du soya sont en augmentation dans plusieurs champs suivis par le RAP Grandes cultures depuis la semaine dernière. Puisque l’ensemble des champs de soya sont encore à un stade de développement critique face à ce ravageur, le dépistage des champs est recommandé pour les régions du Centre-du-Québec, de l'Estrie, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie. Le seuil d’alerte (moyenne de 250 pucerons/plant) indiquant qu’il faut suivre les champs de près a été atteint dans 15 des 65 champs dépistés par le RAP (voir les données). La densité de pucerons par plant et d’ennemis naturels étant variable d’un champ à l’autre, il est important de faire une vigie dans chaque champ. Pour rappel, il n’est pas justifié de traiter à partir de 250 pucerons/plant. Ce seuil indique qu’il faut dépister plus régulièrement les populations de pucerons, évaluer le stress causé aux plants et suivre l’évolution des ennemis naturels avant de décider s’il faut intervenir. Il est donc important d’effectuer deux dépistages espacés de trois à sept jours afin de connaître l’évolution du nombre de pucerons.   Certains facteurs pourraient aider à contrôler les populations de pucerons dans les prochains jours : Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 15 juillet 2022
15 juillet 2022
Puceron du soya : seuil d'alerte non atteint (majorité des champs dépistés). Insectes défoliateurs du soya : à surveiller. Carence en potassium dans le soya : à surveiller. Pourriture phytophtoréenne : quelques cas observés. Pourriture à sclérotes du soya : champs à risque? Maladies dans les céréales : à surveiller. Pucerons dans les céréales : faut-il s'en préoccuper? Chrysomèle des racines du maïs : évaluation des dommages racinaires et dépistage des adultes à prévoir dans les prochaines semaines.     PUCERON DU SOYA : LA MAJORITÉ DES SITES NE DÉPASSENT PAS LE SEUIL D'ALERTE M. Neau 1, S. Boquel 2, J. Saguez 2, J. Breault 3, S. Mathieu 3 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi la soixantaine de champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quatre sont près du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, et seulement cinq l’ont dépassé. Pour rappel, ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près, dépister tous les trois à sept jours pour noter l’évolution des populations de pucerons et l’abondance des ennemis naturels, et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le puceron du soya peut affecter la culture jusqu’au stade « R5 ». La plupart des champs sont encore loin de ce stade. Pour rappel, un traitement phytosanitaire hâtif entraîne un risque de réinfestation du champ par le puceron en éliminant les ennemis naturels, comme les coccinelles. Le dépistage est recommandé, particulièrement en Lanaudière, dans les Laurentides et en Montérégie, où les populations sont actuellement plus abondantes. Les autres régions semblent pour le moment épargnées. En plus de la quantité de pucerons, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 8 juillet 2022
08 juillet 2022
Légionnaire uniponctuée : diminution des captures, dépistage de larves (champs à risque). Puceron du soya : présence en Montérégie, dépister avant tout traitement. Cicadelle de la pomme de terre : présence faible, sauf en Montérégie-Ouest. Criocères des céréales : quelques observations, mais rarement problématique. Cécidomyie du chou-fleur : certains champs semés tardivement sont à risque. Charançon de la silique : abondances élevées dans un nouveau champ en Capitale-Nationale. Altises du canola : faible risque de défoliation. Rouille jaune : présence dans quelques champs de blé d'automne. Pourriture à sclérotes du soya : risques lors des prochains jours? Fusariose de l'épi : évaluer le risque et stade d'intervention avec un fongicide. Pucerons dans les céréales : quelques cas mentionnés.     LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : LE PIC DE VOL DES PAPILLONS EST PASSÉ, LA SURVEILLANCE DES LARVES EST DE MISE DANS LES CHAMPS À RISQUE M. Neau 1, J. Saguez 2 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronome (MAPAQ)   Depuis la semaine dernière, les captures de papillons de légionnaire uniponctuée ont fortement diminué. Depuis le début mai, les captures sont globalement faibles, excepté dans quelques pièges localisés dans les régions de l’Abitibi-Témiscamingue, de Lanaudière, de la Montérégie-Est et de l’Outaouais (voir les données ici).   Considérant que les œufs auraient été pondus avant et pendant le pic de vol qui s’est produit la dernière semaine de juin, et tenant compte de la vitesse de développement de l’insecte, liée aux conditions climatiques actuelles (fraîches et humides) favorables à l’insecte, le RAP estime qu’il est temps de dépister les larves de légionnaire uniponctuée dans les champs à risque. Un dépistage des larves peut être envisagé dans les champs à risque situés dans des secteurs où des papillons ont été capturés, et ce, peu importe le nombre de papillons : Les champs de céréales de printemps Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 30 juin 2022
30 juin 2022
Puceron du soya : premières observations en Montérégie. Légionnaire uniponctuée : faibles captures de papillons et dépistage de larves à envisager dans certains secteurs. Pourriture à sclérotes du soya : quels champs sont à risque? Altises, cécidomyie du chou-fleur, charançon de la silique et méligèthe des crucifères : situation dans le canola. Céréales : maladies à surveiller. Syndrome de croissance rapide : premières observations.     PREMIÈRES OBSERVATIONS DE PUCERONS DU SOYA EN MONTÉRÉGIE M. Neau 1, S. Boquel 2, B. Duval 3, J. Saguez 2 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   De faibles populations de puceron du soya ont été observées dans certains champs de la Montérégie, ce qui est habituel à la fin juin. La situation est loin d’être alarmante, d’autant plus que des ennemis naturels sont actifs, notamment des coccinelles. Ces dernières sont très efficaces pour contrôler les populations de pucerons. À partir du 11 juillet, le RAP Grandes cultures dépistera les pucerons dans une soixantaine de champs de soya et vous informera de l’évolution des populations dans les différentes régions productrices de soya au Québec.   Pour plus d’information sur le puceron du soya et sur l’identification des ennemis naturels, consultez le bulletin d'information Stratégie d’intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya et la vidéo Le dépistage du puceron du soya en cinq points.   Pucerons prédatés par une coccinelle asiatique sur du soya Source : S. Mathieu, agr. (MAPAQ) LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : FAIBLES CAPTURES DE PAPILLONS et DÉPISTAGE DE LARVES À ENVISAGER DANS CERTAINS SECTEURS M. Neau 1, B. Duval 2, J. Saguez 3 et V. Samson 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   Depuis le début mai, les captures de papillons de la légionnaire uniponctuée sont faibles dans la majorité des pièges installés par Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 10, 17 juin 2022
17 juin 2022
Tipule des prairies : nouveaux dommages rapportés. Cécidomyie du chou-fleur : suivi recommandé en Abitibi-Témiscamingue. Altises du canola : début de saison tranquille. Herbicides du groupe 4 : précautions à prendre. Limaces : dommages dans du canola et du soya au Bas-Saint-Laurent et en Chaudière-Appalaches. Punaise brune : quelques dommages observés sur du maïs.     TIPULE DES PRAIRIES : NOUVEAUX DOMMAGES RAPPORTÉS M. Neau 1 et S. Boquel 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)   Cette semaine, le RAP Grandes cultures a reçu de nouveaux avis de dommages causés par la tipule des prairies au Bas-Saint-Laurent et en Chaudière-Appalaches. Depuis la fin de mai, près d’une trentaine de cas confirmés ont été répertoriés dans des prairies, des céréales de printemps et du maïs. Les larves se reconnaissent par leur corps gris-brun dépourvu de pattes. Toutefois, elles peuvent être confondues avec des larves de ver gris (cette fiche technique explique comment les distinguer). Les prairies et les céréales infestées par la tipule des prairies présentent de larges zones jaunies ou dénudées. Dans les grandes cultures, des plants plus petits et grignotés pourraient également être observés. D’autres dommages pourraient être observés, mais les larves de tipule cessent généralement de s’alimenter à partir de la mi-juin. Lorsqu’elles atteignent entre 4 et 5 cm de longueur, elles se préparent à se transformer en pupes. Si les dommages sont importants et qu’un resemis est envisagé, la taille des larves doit être évaluée afin de semer lorsque l’activité des larves est terminée. Cette évaluation aidera à limiter le plus possible des dommages aux nouvelles pousses. Rappelons qu'aucun insecticide n’est homologué contre la tipule des prairies. Pour l'adhésion à l'assurance récolte, les dates prorogées de fins de semis peuvent être consultées ici. Afin de répertorier la présence de la tipule des prairies et des dommages aux grandes Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 7, 3 juin 2022
03 juin 2022
Tipule des prairies : nouveaux dommages rapportés. Chrysomèle du haricot : présence observée, mais pas d'inquiétude. Mouche des semis : pic d'activité des adultes mis à jour. Ver-gris noir : dépistage des larves (champs à risque). Altises du canola : faibles défoliations. Fusariose : à surveiller dans le blé d'automne. Amarante tuberculée : contrôle en postlevée.     TIPULE DES PRAIRIES : NOUVEAUX DOMMAGES RAPPORTÉS DANS PLUSIEURS RÉGIONS M. Neau 1, V. Samson 2 et S. Boquel 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronome (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   Depuis la semaine dernière, de nouveaux dommages causés par la tipule des prairies au Bas-Saint-Laurent (1 champ), en Chaudière-Appalaches (3 champs) et en Estrie (2 champs) ont été rapportés au RAP Grandes cultures. Les cultures affectées sont une prairie, une céréale de printemps, un champ de canola et des champs de maïs. Les larves sont reconnaissables à leur corps gris-brun dépourvu de pattes. Toutefois, elles peuvent être confondues avec des larves de vers gris. Cette fiche technique présente les critères distinctifs des deux types de ravageurs. Le comportement des deux espèces est différent lorsqu’on les dérange; la tipule se tortille alors que le ver gris s’enroule sur lui-même. Les prairies et les céréales infestées par la tipule des prairies présentent de larges zones jaunies ou dénudées. Dans les grandes cultures, des plants plus petits et grignotés pourraient également être observés.   Aucun insecticide n’est homologué contre la tipule des prairies. Les dommages pourraient se poursuivre jusqu’à ce que les larves atteignent entre 4 et 5 cm de longueur (soit entre la mi et la fin juin), taille à laquelle elles se préparent à se transformer en pupes. Si les dommages sont importants et qu’un resemis est envisagé, la taille des larves doit être évaluée afin de semer lorsque l’activité des larves est terminée. Cette évaluation aidera à limiter Lire la suite
03 septembre 2021
Bilan des ravagerus du canola depuis 2017
Grandes cultures, Avertissement No 15, 6 août 2021
06 août 2021
Cas de SYNDROME DE LA MORT SUBITE dans le soya. Suivi des adultes des CHRYSOMÈLES DES RACINES DU MAÏS. LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : cas rapporté en Outaouais. POURRITURE À SCLÉROTES : que faire en cas de symptômes de la maladie? VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : état de la situation. PUCERON DU SOYA : dépistage des champs sous le stade R5 toujours recommandé.   Télécharger l'enregistrement audio Avertissement RAP Grandes cultures no 15 du 6 août 2021   CAS DE SYNDROME DE LA MORT SUBITE DANS LE SOYA Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Yvan Faucher, agr. (MAPAQ), Sarah Brousseau-Trudel, agr. (MAPAQ) et Antoine Dionne, phytopathologiste (MAPAQ) Le laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) a rapporté avoir reçu des échantillons de soya atteints par la maladie du syndrome de la mort subite (SMS) en provenance de deux champs cette année, localisés en Montérégie. Même si la présence de la maladie au Québec a déjà été suspectée par le passé, c’est l’année dernière qu’un cas a officiellement été identifié pour la première fois dans la province, dans un champ au Centre-du-Québec. Le SMS pourrait également toucher d’autres régions du Québec. Cette maladie est causée par le champignon Fusarium virguliforme qui, lorsqu’introduit dans un champ, reste dormant pendant de longues années et peut donc infecter le soya quand les conditions sont propices à son développement. Si l’infection est sévère, les pertes de rendement peuvent s’élever à 30 %. C'est d’autant plus inquiétant que cette maladie peut être associée à la présence du nématode à kyste du soya (NKS). Si des symptômes sont observés, il est recommandé de faire analyser les plants pour identifier la maladie. Si jamais la présence du SMS est confirmée, il serait pertinent de faire la prise d’un échantillon de sol pour l’analyse du nématode à kyste. Symptômes de la maladie Les symptômes apparaissent après la floraison du soya. Les plants flétrissent rapidement. Un jaunissement entre les nervures Lire la suite
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