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Crucifères, Avertissement No 16, 31 août 2017
31 août 2017
À surveiller : même si la saison avance, la protection contre les insectes et les maladies des crucifères se poursuit. Dernier envoi régulier pour la saison.     Bien que très peu de précipitations soient tombées au cours de la dernière semaine, les températures plus fraîches ainsi que les fortes rosées matinales ont fait en sorte que le feuillage des crucifères demeurait mouillé plus longtemps. Une période de mouillure prolongée du feuillage favorise le développement de maladies, ce qui explique que certains de nos collaborateurs aient observé une évolution des taches alternariennes (Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola), de la pourriture sclérotique et de la nervation noire. Lorsque nécessaire, des fongicides homologués ont été appliqués. La liste de ces produits est disponible dans le bulletin d’information N° 2 du 10 mai 2017.   Aussi, le contraste de température entre le jour et la nuit a occasionné de l’œdème sur des choux à certains endroits.     RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION     Malgré qu’elles soient très variables d’un site à un autre, on note une hausse des captures de la cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone de certains des sites suivis par le réseau de piégeage de ce ravageur. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région :     Des dommages (ex. : avortement du point de croissance [plant borgne], feuilles tordues et présence de cicatrices liégeuses près du point de croissance) plus importants ont également été rapportés. Actuellement, le seuil d’intervention dans les cultures maraîchères au Québec est atteint aussitôt qu’il y a présence de l’insecte dans les pièges à phéromone. Des essais réalisés au Québec ont démontré que des dommages importants pouvaient être causés par la cécidomyie du chou-fleur au-delà de ce seuil si les crucifères ne sont pas protégées par des traitements.   Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 15, 24 août 2017
24 août 2017
À surveiller : le développement des maladies et les ravageurs tels que la cécidomyie du chou-fleur, les thrips, les pucerons et les chenilles défoliatrices. Dans l’ensemble, les récoltes de crucifères vont bon train! Toutefois, la présence de maladies demeure inquiétante dans les champs infectés. Les plants arrivent à maturité et les symptômes progressent jusqu’à la partie commercialisable, et ce, principalement dans les crucifères-feuilles. En effet, l’évolution des taches alternariennes (Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola), de la pourriture sclérotique et de la nervation noire a été rapportée dans plusieurs régions dépistées par nos collaborateurs. Soyez attentif à l’apparition des premiers symptômes ainsi qu’à leur développement afin d’intervenir au bon moment. Les fongicides homologués contre les maladies des crucifères sont présentés dans le bulletin d’information N° 2 du 10 mai 2017.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 - DONNÉES PAR RÉGION Les captures de cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone se poursuivent dans l’ensemble des régions. Les niveaux de captures demeurent très variables d’un site à un autre. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région : Actuellement, le seuil d’intervention dans les cultures maraîchères au Québec est atteint aussitôt qu’il y a présence de l’insecte dans les pièges à phéromone. Des essais réalisés au Québec ont démontré que des dommages importants pouvaient être causés par la cécidomyie du chou-fleur au-delà de ce seuil si les crucifères ne sont pas protégées par des traitements.     AUTRES RAVAGEURS     Encore cette semaine, la présence de chenilles défoliatrices (fausse-teigne des crucifères, fausse-arpenteuse du chou et piéride du chou), de thrips et de pucerons a été rapportée dans l’ensemble des régions. Des œufs et des asticots de mouches du genre Delia (mouche du chou et mouche des semis) ont Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 14, 17 août 2017
17 août 2017
À surveiller : À nouveau, le développement des maladies par endroits et les ravageurs tels que la cécidomyie du chou-fleur, les thrips, les pucerons et les chenilles défoliatrices.     Le soleil était au rendez-vous au cours de la dernière semaine! Bien que les quelques épisodes de pluie aient favorisé le développement des plants dans la plupart des régions, le recours à l’irrigation était nécessaire à proximité de la Capitale-Nationale, tandis que certains champs de la Montérégie ont à nouveau souffert d’un surplus d’eau. Toujours à proximité de la Capitale-Nationale, des cas de brûlure de la pointe, qui résulte d’une carence en calcium sur certaines crucifères telles que les choux-fleurs et qui est souvent induite par des apports irréguliers en eau, ont été rapportés.     MALADIES     Une hausse légère de l’évolution des symptômes de plusieurs maladies, notamment les taches alternariennes (Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola), la pourriture sclérotique et la nervation noire, a été rapportée dans l’ensemble des régions dépistées par nos collaborateurs. Soyez attentif à leur développement et appliquez des fongicides homologués au bon moment. Il est important de se rappeler que la plupart des fongicides sont efficaces lorsqu’ils sont utilisés de manière préventive. Le moment d’application est précisé dans la colonne Remarques du bulletin d’information N°2 du 10 mai 2017 ainsi que sur l’étiquette d’homologation de chacun des produits.     RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION     Les captures de cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone se poursuivent dans l’ensemble des régions. Les niveaux de captures demeurent très variables d’un site à un autre. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région :   Des dommages (ex. : avortement du point de croissance [plant borgne]), des feuilles tordues et la présence Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 13, 10 août 2017
10 août 2017
À surveiller : le développement des maladies par endroits et les ravageurs tels que la cécidomyie du chou-fleur, les thrips, les pucerons et les chenilles défoliatrices. Le déluge (pluie et grêle) qui s’est abattu en Montérégie le 4 août dernier  a causé d’importants dommages aux cultures de crucifères. Les régions de Lanaudière et des Basses-Laurentides ont aussi été affectées par des épisodes de forte pluie et de grêle, laissant des portes d’entrée potentielles pour les maladies sur les plants endommagés. Des fongicides ont été appliqués pour prévenir le développement des infections. Plus à l’est, les faibles précipitations ne suffisent pas à maintenir de bonnes conditions d’humidité pour le développement des plants. Le recours à l’irrigation est donc nécessaire par endroits.   MALADIES   Les maladies (taches alternariennes (Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola), mildiou, pourriture sclérotique, hernie des crucifères et nervation noire) ont évolué de manière variable au cours de la dernière semaine. Soyez attentifs à leur développement et appliquez des fongicides homologués au bon moment. Il est important de se rappeler que la plupart des fongicides sont efficaces lorsqu’ils sont utilisés de manière préventive. Le moment d’application est précisé dans la colonne Remarques du Bulletin d’information N°2 ainsi que sur l’étiquette d’homologation de chacun des produits.   Dommages de pourriture sclérotique (Sclerotinia spp.) sur un chou pommé. Photo : LaviEauChamp   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION   Malgré qu’elles soient très variables d’un site à un autre, on note une hausse des captures de la cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone de certains des sites suivis à travers le Québec. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région :   Des dommages importants (ex : avortement du point de croissance (plant borgne)), Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 12, 3 août 2017
03 août 2017
À surveiller : situation phytosanitaire similaire à la semaine dernière, poussées de croissance à prévoir au cours des prochains jours dans certains secteurs. Le manque d’eau de la dernière semaine a causé des stress aux crucifères tels le développement de carences en oligo-éléments (ex : B et Mo) ainsi que la montaison prématurée. Leur croissance a également été au ralenti. L’irrigation des cultures et/ou la pluie des dernières heures à certains endroits pourraient entraîner des poussées de croissance. Il serait donc possible que de la brûlure de la pointe associée à une carence en calcium soit observée au cours des prochains jours. Pour prévenir ce problème, on recommande un apport régulier en eau et des applications foliaires de calcium. Des épisodes de grêle ont eu lieu à quelques endroits au début de la semaine causant des dommages légers à modérés aux crucifères. Des fongicides ont alors été appliqués pour prévenir le développement de maladies.   Brûlure de la feuille sur feuille de chou-fleur Photo : Mélissa Gagnon, agr. MAPAQ   MALADIES Les maladies (taches alternariennes (Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola), mildiou, pourriture sclérotique, hernie des crucifères et nervation noire) n’ont évolué que légèrement dans la dernière semaine. Soyez attentifs à leur développement et appliquez des fongicides homologués lorsque nécessaire. Ils sont listés dans le Bulletin d’information N°2. RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION Malgré qu’elles soient très variables d’un site à un autre, on note une hausse des captures de la cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone de certains des sites suivis en Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Estrie, Laval-Lanaudière, Laurentides et Mauricie. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région : Des dommages (ex : avortement du point de croissance (plant borgne), feuilles Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 11, 27 juillet 2017
27 juillet 2017
À surveiller : irrigation des cultures et insectes en activité. Dans la plupart des régions, les précipitations de la dernière semaine n’ont pas été suffisantes pour combler les besoins des cultures de crucifères. L’irrigation est donc en cours à plusieurs endroits. Les maladies n’ont pas beaucoup progressé au cours des derniers jours. On rapporte seulement quelques nouveaux cas de pourriture sclérotique, de hernie des crucifères et de nervation noire. Toutefois, soyez attentifs à la présence des maladies puisque l’irrigation peut prolonger la période de mouillure du feuillage et ainsi, favoriser leur développement. Les fongicides homologués contre les maladies des crucifères sont présentés dans le Bulletin d’information N°2   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION   Les captures de la cécidomyie du chou-fleur dans les pièges à phéromone sont très variables d’un site à un autre, mais on observe une augmentation dans des sites suivis en Chaudière-Appalaches, Estrie et Mauricie. Consultez le tableau qui suit pour connaître les niveaux d’infestation dans votre région :  Encore cette semaine, des dommages tels que l’avortement du point de croissance (plant borgne), des feuilles tordues et la présence de cicatrices liégeuses près du point de croissance ont été rapportés dans plusieurs régions. Actuellement, le seuil d’intervention dans les cultures maraîchères au Québec est atteint aussitôt qu’il y a présence de l’insecte dans les pièges à phéromone. Des essais réalisés au Québec ont démontré que des dommages importants pouvaient être causés par la cécidomyie du chou-fleur au-delà de ce seuil si les crucifères ne sont pas protégées par des traitements insecticides.   INSECTES EN ACTIVITÉ   La ponte de la seconde génération de la mouche du chou (Delia radicum) est un peu plus importante cette semaine. Rappelez-vous qu’il est important de protéger les crucifères à racine tubéreuse (ex : rutabagas Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 10, 20 juillet 2017
20 juillet 2017
À surveiller : les maladies bactériennes et fongiques, la cécidomyie du chou-fleur, la fausse-teigne des crucifères près du cœur des plants, les thrips et les pucerons. La température en hausse et l’humidité élevée ont causé des désordres physiologiques par endroits. En effet, des observations de montaison prématurée sont à nouveau rapportées dans les régions à proximité de Montréal. Quelques carences minérales et des cas d’asphyxie racinaire ont également été rapportés.   Asphyxie racinaire dans les zones à drainage insuffisant. Photo : ProfitEauSol   LES INFECTIONS BACTÉRIENNES ET FONGIQUES AFFECTENT LES CULTURES À DIFFÉRENTS STADES DE DÉVELOPPEMENT Le taux d’humidité élevé a favorisé le développement de plusieurs maladies fongiques et bactériennes et le retour de la chaleur a favorisé l’apparition des symptômes associés. Dans les régions à proximité de Montréal, les taches alternariennes sont principalement observées sur les vieilles feuilles de chou et de chou-fleur, mais des dommages causés par la tache noire alternarienne (champignon responsable : Alternaria brassicicola) ont aussi été rapportés sur des inflorescences de brocoli.      Tache noire alternarienne (Alternaria brassicicola) sur un capitule de brocoli. Photo : PleineTerre Plusieurs cas de fonte des semis et/ou tige noire (complexe fongiques formé de Rhizoctonia spp., Fusarium spp. et/ou Pythium spp.) et de pourriture molle bactérienne (Pectobacterium spp.) ont été observés à différents stade de développement (du semis à la récolte) des cultures de crucifères-feuilles et à racine tubéreuse. Aussi, les cas de nervation noire causée par la bactérie Xanthomonas campestris pv. campestris, sont en hausse dans Lanaudière et les Basses-Laurentides.   Les fongicides homologués contre les maladies des crucifères sont présentés dans le Bulletin d’information N°2.   RÉSEAU DE PIÉGEAGE DE LA CÉCIDOMYIE DU CHOU-FLEUR 2017 – DONNÉES PAR RÉGION   Les captures Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 9, 13 juillet 2017
13 juillet 2017
La progression des maladies bactériennes et fongiques se poursuit. À surveiller : la cécidomyie du chou-fleur, la fausse-teigne des crucifères près du cœur des plants, les œufs et les larves de piéride du chou et la seconde génération de la mouche du chou.   Les précipitations fréquentes compliquent encore cette semaine la gestion des interventions au champ. Néanmoins, les récoltes des cultures hâtives semblent aller bon train. Par contre, des cas de montaison prématurée ont été rapportés en Montérégie et dans la Capitale-Nationale sur des plants de brocoli et de chou-fleur sur le point d’être récoltés. Un stress hydrique peut favoriser ce désordre physiologique chez les crucifères-feuilles. Pour le chou-fleur et le brocoli, la montaison prématurée est généralement associée à un fort stress ayant lieu lorsque les plants sont jeunes. Par exemple, des transplants trop âgés à la plantation, des plants trop endurcis ou insuffisamment endurcis avant la plantation ou un stress divers subit au champ: gel, fertilisation insuffisante, manque ou excès d’eau, dommages par les insectes, etc.   Montaison prématurée observée sur des plants de brocoli et de chou-fleur. Photos : Club BioAction   LE MAINTIEN DES CONDITIONS D’HUMIDITÉ ÉLEVÉE FAVORISE ENCORE LA PROGRESSION DE PLUSIEURS MALADIES   Le taux d’humidité élevé a favorisé le développement de plusieurs maladies fongiques et bactériennes. Du côté des maladies fongiques, plusieurs cas de mildiou, causé par le champignon Peronospora parasitica, ont été rapportés sur des crucifères à racine tubéreuse dans Chaudière-Appalaches, la Capitale-Nationale et Lanaudière. La présence de mycélium sur la surface inférieure des feuilles est observée sur les vieilles feuilles et les feuilles intermédiaires principalement.  De plus, les cas de hernie des crucifères, causée par le champignon Plasmodiophora brassicae, continuent d’augmenter en Montérégie et de nouveaux cas ont été rapportés dans la Capitale-Nationale. Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 8, 6 juillet 2017
06 juillet 2017
Les conditions météorologiques ont favorisé le développement de plusieurs maladies fongiques et bactériennes dans les crucifères. Avec la chaleur et le soleil, soyez à l’affût des ravageurs puisque leur activité risque de s’intensifier.     Depuis plusieurs semaines, les précipitations compliquent la gestion des interventions au champ. Lorsque l’accès au champ est possible, il faut faire attention de ne pas causer de dommages sur les plants avec la machinerie agricole, puisque ces dommages peuvent servir de porte d’entrée aux maladies. Les conditions d’humidité élevée des sols peuvent également induire des problèmes; des cas d’asphyxie racinaire et d’œdème ont été observés par endroits au cours des dernières semaines. Avec le retour du beau temps, des carences en calcium pourraient survenir, puisque la croissance des tissus de la plante sera accélérée.     LE MAINTIEN DES CONDITIONS D’HUMIDITÉ ÉLEVÉE FAVORISE LA PROGRESSION DE PLUSIEURS MALADIES     Le taux d’humidité élevé a favorisé le développement de plusieurs maladies fongiques et bactériennes. Du côté des maladies fongiques, des cas de mildiou, causé par le champignon Peronospora parasitica, ont été rapportés sur des crucifères à racine tubéreuse et des brocolis en Montérégie, Chaudière-Appalaches ainsi que dans Lanaudière. De plus, les cas de hernie des crucifères, causée par le champignon Plasmodiophora brassicae, sont en hausse en Montérégie et en Chaudière-Appalaches, tandis que des taches alternariennes sont observées dans Lanaudière et les Basses-Laurentides. Des interventions seront effectuées pour contrôler ces taches causées par les champignons Alternaria brassicae et Alternaria brassicicola. Finalement, on note à quelques endroits la présence de pourriture sclérotique causée par le champignon Sclerotinia sclerotiorum.   Du côté des maladies bactériennes, les cas de nervation noire, causée par la bactérie Xanthomonas campestris pv. campestris, sont en hausse dans les Lire la suite
Crucifères, Avertissement No 7, 29 juin 2017
29 juin 2017
Avec les conditions d’humidité élevée, plusieurs maladies se sont développées au cours de la dernière semaine : fonte des semis/tige noire, hernie des crucifères, nervation noire, taches alternariennes et pourriture sclérotique. À surveiller : chenilles défoliatrices et cécidomyie du chou-fleur.     Avec les nombreuses averses dispersées, l’accès aux champs avec de la machinerie pour travailler le sol ou pour appliquer des traitements peut s’avérer impossible si les conditions de sol sont trop humides. De plus, l’efficacité des traitements est parfois remise en question en raison du lessivage potentiel des produits par les pluies. Également, la grêle qui est tombée par endroits en Montérégie, dans les Basses-Laurentides et dans Chaudière-Appalaches a causé quelques dommages aux cultures. Dans ces mêmes régions, des cas de montaison prématurée, à la suite de stress, ont également été rapportés dans des champs de brocolis prêts pour la récolte. Par ailleurs, les conditions d’humidité élevée des sols et de l’air ont occasionné des symptômes d’asphyxie racinaire et de l’œdème par endroits.   Asphyxie racinaire observée dans les champs trop humides Oedème foliaire observé sur des feuilles de chou où les conditions d'humidité des sols et de l'air sont élevées Photos : club Lavi-Eau-Champ   LES CONDITIONS D’HUMIDITÉ ÉLEVÉES ONT FAVORISÉ LE DÉVELOPPEMENT DE PLUSIEURS MALADIES     Les symptômes de la fonte des semis se sont intensifiés dans des champs de jeunes crucifères. De la tige noire, causée par le même complexe fongique que la fonte des semis, a également été observée dans les cultures plus développées. Le taux d’humidité élevé a favorisé le développement des pathogènes causant ces maladies.   Dans ces mêmes conditions, les cas de hernie des crucifères, causée par le champignon Plasmodiophora  brassicae, sont en augmentation en Montérégie, tandis que les premières observations de taches alternariennes ont été rapportées Lire la suite
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